Je vais faire l'effort de vous répondre une dernière fois.
A force de tronçonner mon texte, vous répondez à un propos hors contexte et cela vous mène à un emballement hors sujet qui serait déjà relativement indigeste s'il n'était pas en plus drapé d'une morale qui tend à vous faire passser pour l'unique pragmatique.
De plus, ce qui n'est pas dit n'est pas ingoré de moi ou exlcu, c'est sous entendu, ne vous sentez pas contraint d'y répondre ou de compléter comme un bon élève.
Nous parlions précédemment du règlement et vous disiez : "ebay n'apprécie rien...".
Je vous réponds qu'au point de vue de ce dernier (le réglement), Ebay s'autorise bien à apprécier le caractère frauduleux d'un produit, c'est inscrit, c'est factuel.
Vous me répondez que la réalité est tout autre, ce que je ne conteste pas et dont je suis paraitement conscient ce qui n'est plus le même domaine d'appréciation, sous-tendu par d'autres observations et analyses.
En france les abus de biens sociaux sont punis par la loi, mais l'actualité nous montre souvent parfois le contraire. Vous voyez la différence?
Pourtant Ebay chaque année procède à des enquêtes spontanées ou sur plaintes et détruit des milliers de comptes frauduleux.
Mais bien sûr vous et moi ne sommes pas dupes, un certain nombre est toujours en activité et le zèle des services dans l'application stricte des règles est peut-être inversement proportionnel à l'intérêt qu'Ebay doit en tirer.
Votre condescendance sied en ce point car votre tropisme à considérer votre interlocuteur comme un crédule trivial vous permet par opportunisme affectif de jouer les doctes intervenants sur la crudité du monde.
Pensez-vous réellement que vous allez me donner des leçons de réalisme social et économique?
Non je ne suis pas un certain personnage de Voltaire qui manifeste une indéfectible confiance dans les rapports entre êtres humains, estimant ces derniers foncièrement bons et encore moins lorsque ceux-ci sont liés par des intérêts pécuniaires.
Je ne me crois pas dans le meilleur des mondes et vous n'êtes pas Cunégonde.
Très entre nous, je me fiche totalement de savoir que les rapports étaient encore moins courtois il y a quelques années. On devrait se féliciter de l'évolution et il y a sans doute meilleure distraction.
Cela ne me console guère des piètres liens que nous entretenons sur ce médium et où encore une fois je fais l'expérience du manque de neutralité bienveillance dont mes contemporains font preuve.
Sur 4 intervention, une majorité se résume à jeter l'anathème. Fort heureusement d'autres sont passés pour livrer des critiques constructives et des informations utiles.
Les règles du débat se perdent, nous sommes ici si loin de l'Hôtel Saint-Florentin dans lequel Fouché et Talleyrand ont devisé sur l'avenir de ce dernier. Leurs fleurets n'étaient pas mouchetés non plus mais aucun n'aurait fait l'erreur de sous estimer l'autre pour jouir d'une fatuité vaniteuse.
Mais si l'ennui vous gagne, je vous conseille "L’art d’avoir toujours raison de Schopenhauer" qui traite de casuistique dialectique. Après cela vous serez champion du monde.
Bien à vous cher professeur.
Ps : Oui je parlais bien d'Hermione, Severus est mon pesonnage favori ( Prisonnnier d'Azkaban, scène
dans laquelle la demoiselle se fait rabrouer pour avoir pris à maints reprises la parole sans y avoir été autorisée).
