@rauschomm a écrit :mais n'as-tu pas écrit qu'il pleuvait tout le temps????
Pour les lunettes, dès cet automn e je retournerai chez l'ophtalmo, le temps de refaire une petite cagnotte..... car la cue coûte cher!
lol..où çà ? t'as dû mal interprété ... j'étais en Espagne avec ma petite fille chérie...on a eu 25 ° toute la semaine (il est vrai que d'habitude il fait + à cette époque de l'année)..mais on a pû se baigner et bronzer quand même pas mal ! ...en short toute la semaine lol...
sauf qu'en revenant samedi ..du sud jusqu'au centre il est tombé des trombes d'eau durant tout le trajet..
absolument prenant de bout en bout et une musique appropriée
Je ne sais pas qu’elle image choisir, alors je post les deux qui représentent bien ce film.
Les Damnés (titre original : The Damned (Götterdämmerung)) est un film germano-italien
réalisé par Luchino Visconti, sorti en 1969.
Ce film m’avait marqué à l’époque, je comprends maintenant le pourquoi avec le recul !
Lisez cette critique, elle résume bien ce film.
Et si les conflits familiaux de « Violences et passions » étaient palpables, ils sont ici tout bonnement déchirants. Les nombreux protagonistes se consument entre eux tout au long du film, assoiffés de pouvoir et d’ambition, et victimes de leurs désirs. Si cette diversité dans les personnages et les intrigues décontenance dans un premier temps (celui d’identifier et de caractériser chacun d’entre eux) tout cela est tellement bien mené que plus le récit se développe, plus la profondeur du film se dévoile avant un final en apothéose. Dressant différents portraits très diversifiés et nuancés, Visconti montre comment la montée d’une idéologie monstrueuse peut semer le trouble dans une famille en apparence si soudée. Trahisons, meurtres, manipulations, hypocrisies, tous les moyens sont bons pour s’accaparer le trésor de guerre familial. De la mère veuve manipulant son propre fils pour assoir le règne de son amant, en passant par l’officier des SA impitoyable, chacun s’enfonce dans son individualisme pour mener un combat destructeur et insensé, qui les mène à leur perte.
Pour renforcer cette critique de l’ambition, Visconti la contraste avec des thématiques autrement plus choquantes : l’**bleep** et la **bleep**. Aussi contre-nature et malsains ces actes soient-ils, ils paraissent paradoxalement bien plus humains que toutes ces tromperies et ces manigances pour l’accès au pouvoir. Ce machiavélisme trouve un visage absolu dans celui du cousin S S, qui joue sur tous les tableaux et manipule chaque personnage pour la gloire du 3ème Reich. C’est le seul protagoniste à n’être pas guidé par ses désirs et ses fins personnels, ce qui en fait une figure presque démoniaque.
Dans les Damnés, il y avait Charlotte Rambling 
… que j’adore,
vue pour la première fois dans ma jeunesse dans Portier de nuit,
un film qui m’avait marqué !
Portier de nuit est un film italien réalisé par Liliana Cavani, sorti en 1974.
Maximilian est portier de nuit dans un hôtel hébergeant des anciens **bleep**. Lucia accompagnant son mari, chef d'orchestre, loge dans cet hôtel. Maximilian reconnaît en elle une ancienne déportée qui était sa maîtresse. Lucia se trouve attirée par son ancien bourreau et redevient la maîtresse de Maximilian. Mais ils sont traqués par d'anciens **bleep** qui tentent de faire oublier leur passé.
Maximilian est portier de nuit dans un hôtel hébergeant des anciens **bleep**. Lucia accompagnant son mari, chef d'orchestre, loge dans cet hôtel. Maximilian reconnaît en elle une ancienne déportée qui était sa maîtresse. Lucia se trouve attirée par son ancien bourreau et redevient la maîtresse de Maximilian. Mais ils sont traqués par d'anciens **bleep** qui tentent de faire oublier leur passé.
Pas un film, mais une série qui vaut largement un film. Il y a de tout, VRAIMENT DE TOUT (en restant dans les limites du raisonnable).
Peut-être cela manque-t-il un peu, voire beaucoup (même qu'y en a pas à vrai dire) d'humour, mais on ne peut pas tout avoir.
Bref, 6 saisons, 10 épisodes d'environ 50mn par saison, soit à peu près 50 heures de visionnage.
2 films avec un acteur qui possède un charisme exceptionnel.
Pourquoi un charisme exceptionnel?
Lorsque j'étais actif et qu'une personnalité entrait dans la brasserie, deux options étaient possibles :
- Elle passait inaperçue.
- Il y avait un léger silence qui nous faisait pressentir que quelque chose était en train de se passer.
Et là, lorsqu'il est entré, un silence qui a duré minimum une minute. C'est long une minute.
Pour en revenir aux deux films avec un suspense efficace :
Film noir avec un suspens qui nous tient en haleine de bout en bout, une trame bien ficelée et un duo d’acteur juste sublime....
Excalibur
Je l'ai vu à sa sortie en 1981, et revu... jamais déçue...
Et ce soir, je vais revoir pour la énième fois "Buffet froid" qui passe sur Arte 
