7 SOLUTIONS APPROUVÉES
Solutions approuvées
@rauschomm a écrit :t..... j'ai remarqué qu'aucun d'entre vous n'a cité de films italiens, pourtant très populaires et faisant partie u Panthéon du cinéma....
Et Il était une fois dans l'Ouest ? Italien / Américain
Et Fellini Roma ? Franco / Italien
Sergio Leone Italien
Federico Fellini Italien
Et Borsalino ....c'est que le chapeau qui est Italien ... mais bon 
Puis le fil n'est pas fermé 
Puis j'en ai parlé sur d'autres fils
je l'ai vu au moins 3 fois...et j'adore ..je crois que je pourrais le voir une 4ème fois
quelle jolie idée....
Longtemps j'ai adoré ce film...... j'étais très fleur bleue... PICNIC (ah Kim Novack et William Holden...
année 1955
Bonjour et bonne idée Christian.
Tu fais bien de demander de développer, c'est ce qui fait le charme d'un forum.
Copier une "image" d'un film sans commentaire, sans avis ou pourquoi ils vous ont marqués est pour moi sans intérêt.
Sinon, je suis assez grand pour les visualiser tout seul sur Google 
Je vais , suivant mes inspirations passer de temps en temps poster ...
ah, le gros critiqueur: je developperai, n'ayez crainte.... Là je n'ai pas le temps: et je pensais que les "locandine" (j'ignore le nom en français) du film sont toujours très évocatrices.....
et vous voulez du ROMA?????????????? Voici voici........
Le film qui a révolutionné le style Western en 1968 . je ne m'en lasse pas de le revoir
Pour la petite anecdote, je n’avais presque rien vu du film car j’étais avec ma petite amie
sur le même fauteuil.
La faute à qui ? A Pullman qui venait de sortir des sièges tellement larges que ….
(Non, non , je ne divulgue pas la suite )
Le jeudi suivant, j’y suis allé seul 
Pourquoi seul ? la petite amie n'a pas fait l'affaire ?(non je ne développe pas )
ça y est , je sais , pile ou face est un garçon ! ou alors ?
bravo!!j'espère que ça a aussi marqué ta ptite amie!!dans le film , ils avaient des winchester!!fusils à plusieurs coups!!suis sur que ça t'as inspiré et insufflé un second souffle!!merci Pulman!!!
Un peu de tenue Linette et Christian .... NON MAIS !
Elle portait un Pull en mohair 
et j'étais son Man ...heu ! je m'égare aussi
@linette7503 ça y est , je sais , pile ou face est un garçon
Non, non , nous sommes deux Pile et Face
Un film intemporel remarquable par son esthétisme et la magie qui s'en dégage. Les remakes qui ont été faits sont ... misérables ... Un film que j'ai vu quand j'avais 4 ou 5 ans et que je ne lasse pas de revoir ...
et aussi, pour l'esthétisme et la portée philosophique 
Un film prémonitoire que j'ai aussi regardé souvent et qui est resté quelques années à l'affiche d'un cinéma des Grands Boulevards. :
L'ultra violence, on est en plein dedans, avec "ce vieux Ludwig Van" au service de ladite violence.
Un extrait d'une critique trouvée sur la toile qui va tout à fait dans le sens de mon ressenti.
Les scènes d’horreur sur une musique classique s’enchaînent dans le film jusqu’au moment où la bande sonore devient presque sujet du film, un personnage à part entière. Soigner la violence par la violence, la musique a fait partie du processus de «guérison» d’Alex. Il en vient à ne plus pouvoir l’écouter sans en être malade (il est pris de hauts le cœur quand, par malheur ou hasard, il l’écoute) car elle est devenue indissociable de son vice.
Si l’on pense que le protagoniste est guéri de sa violence, le réalisateur nous fait comprendre le contraire à la fin du film : Alex a retrouvé son rictus du début, effrayant. La musique repart et le générique défile sur «I’m singing in the rain», musique utilisée plus tôt dans le film … Sous piqûre «d’extra-violence».
«Culotté» de choisir de la musique classique pour tant de violence, mais là était l’idée brillante de Kubrick. Enfin, de mon point de vue. Il donne un autre sens à la musique classique. Ici, une inspiration à la violence qui, elle, est jouissive. Et quand elle ne l’est plus, suite à la «guérison» d’Alex, la musique ne l’est plus non plus. Aux premiers abords, on se demande «pourquoi cette musique?» mais finalement tout prend forme, sens, au fur et à mesure du film. Mais tout de même, je suis prête à parier que si Beethoven entendait son chef-d’œuvre accompagner une telle orgie de violence, il se retournerait dans sa tombe.
(Mathie).
