Bonjour,
Comment aviez-vous fait pour annuler l'enchère de votre acheteur défaillant ? Normalement, si vous avez fait les choses dans les règles, vous ne devriez pas avoir de commission à payer pour un objet invendu.
Bref, commencez à vérifier soigneusement le détail de votre facture (affichez-la, et regardez tout en bas : le détail doit s'y trouver), parce qu'il est possible que les 37€ qui vous sont réclamés correspondent bien à des frais d'insertions et d'options, toujours dûs, même si l'objet ne trouve pas preneur. Les options ne sont en tout cas jamais remboursables, et les frais d'insertion ne le sont que lorsque, à la remise en vente, l'objet est effectivement vendu.
De plus, vous nous dites que vous vendiez des jantes alu, il est donc aussi possible que vous vous soyez trompé de catégorie, et qu'au lieu de les placer dans la catégorie "accessoires", vous les ayez mis en vente dans la catégorie "véhicules", dont les frais d'insertion sont bien plus onéreux (9€).
Si c'est bien ça (options chères ou mauvaise catégorie), vous n'avez aucun recours, malheureusement, puisque les choix et/ou "l'erreur" viennent de vous. Vous devez donc bien vous acquitter de ce qu'eBay vous réclame. Désolée pour vous.
Mais, si les 37€ ne correspondent ni à des options onéreuses, ni à une mise-en-vente dans une catégorie erronée ; bref, s'ils sont bien dus, en grande partie, à une commission sur vente réussie, c'est que vous n'aviez pas annulé l'enchère de l'autre correctement... et que l'objet est considéré comme vendu par eBay.
Recherchez-le dans la rubrique "Ventes réussies" de votre eBay, et vérifiez.
Dans ce cas, et dans ce cas seulement, vous pourrez être re-crédité par eBay de la commission erronée en ouvrant un litige pour objet non-payé. Attention : vous n'avez que 60 jours après "vente" pour ouvrir ce litige. Or comme vos annonces remontent déjà à plus d'un mois, puisqu'elles n'apparaissent pas dans votre historique de ventes...
Quoi qu'il en soit, je vous conseille de déjà payer votre facture, afin d'éviter la suspension, quitte à ouvrir un litige, ou à faire une quelconque réclamation, pour obtenir un remboursement qui, de toute façon, ne sera logiquement accordé, s'il doit l'être, qu'après la date limite de paiement.
Bonne chance !