le 01-01-2019 18:41
que penser d un vendeur que je ne nommerai pas qui mets en vente un objet d antiquite presente comme d origine et d epoque 18eme et qui apres une information privee d un autre ebayeur lui indiquant qu il s agit d une copie fin 19eme , rectifie a contre coeur son annonce ....et le prix... et menace le dit ebayeur d intervention aupres d ebay pour harcelement...sic
ce monsieur ne supportant pas de se voir tres poliment et tres gentiment appeler a verifier son annonce
merci de vos avis
Bonjour
Après tous ces commentaires décalés et parfois hors de propos, je vais rebondir sur votre message étant moi-même collectionneur et vendeur d'objets d'arts et de collections ....j'ai déjà eu à rectifier une de mes annonces à la suite d'une remarque d'un collectionneur et je ne m'en offusque pas car l'erreur est humaine et que la vente d'antiquité n'est pas une science exacte !
Mais je peux comprendre que cela soit irritant pour un amateur comme un professionnel d'avoir à rectifier un annonce suite à une erreur d'autant que dans le cas que vous citez, entre une copie du 19ème d'une pièce du 18ème la valeur n'est pas la même bien que ! et un amateur comme un professionnel peu avoir été lui-même abusé de bonne foi où plus simplement s'être trompé dans la rédaction de son annonce ...Mais ce qu'il est bien plus agaçant c'est la manière cavalière dont cela est fait car certains prennent un malin plaisir d'y rajouter des indélicatesses ! Il ne faut pas toujours voir le mal là où il ne réside pas et ne pas penser que les vendeurs qu'ils soient dans des domaines qui attirent la convoitise le font forcément par calcul et dans le but de tromper un amateur.
Dans le domaine des antiquités; les erreurs ne sont pas rares même de la part des experts et des commissaires-priseurs et j'ai moi-même déjà eu l'occasion d'initier et d'informer des vendeurs et des collectionneurs sur des pièces qu'ils avaient en leur possession et dont je suis initié mais on apprend toute sa vie .....Dans les objets d'arts et de collections au-delà de la valeur vénale de l’objet, il y a surtout une affaire de goût et il arrive parfois que des copies soient plus inspirés, plus qualitatives et globalement d'une meilleure facture que l'objet copié ...J'espère simplement que les amateurs savent faire le distinguo entre une copie et une contrefaçon ....
Il arrive aussi parfois que des lanceurs d'alertes soient mal inspirés mais tout dépend de l'art et de la manière de communiquer ses informations désintéressées ; Certains pouvant se laisser aller vers un manque d'humilité voir une forme de malveillance gratuite où pensent parfois à tort que leurs informations ne souffrent d'aucunes controverses ....Il faut que vous sachiez que internet est une source d'informations mais aussi une source d'erreurs voir même d'âneries dont nous sommes parfois tentés a en suivre les dérives , propager les excès et par toujours à bon escient .....
ps : Si j'ai pu malmener la grammaire, l'ortographe et la syntaxe de notre langue; Ne vous en formalisez pas , car les seules grandes écoles que j'ai pu fréquenter , ne faisaient que 4 mètres du sol au plafond
La langue Française est celle qui est la plus complète car elle est est nuancée par sa grammaire et la richesse de son vocabulaire ..... Encore eût-il fallu que je le sachiasse; Faut-il que je vous aimasse et qu'en vain je m'opiniâtrasse pour que vous ne m'assassinassiez point; il serait dommage qu'à trop manger de gâteaux, un jour vous en pâtissiez ......
Et que penser d'un tel poème par Alphonse Allais
Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de soupirs je rendis !
De quelle cruauté vous fûtes !
Et quel profond dédain vous eûtes
Pour les veux que je vous offris !
En vain, je priai, je gémis,
Dans votre dureté vous sûtes
Mépriser tout ce que je fis ;
Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre que vous lûtes
Et je ne sais comment vous pûtes,
De sang-froid voir ce que je mis.
Ah ! Fallait-il que je vous visse
Fallait-il que vous me plussiez
Qu'ingénument je vous le disse
Qu'avec orgueil vous vous tussiez
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassinassiez