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Vouliez-vous dire : 

Le fil des pavés tous azimuts.

Tout d'abord, la formule de politesse of course.

 

.

 

Ce fil afin de ne pas envahir les autres avec les pavés dont je suis coutumier. Si l'envie vous en prend, vous pouvez également en poster, ils seront les bienvenus.

 

Vous pouvez, bien entendu, chouiner si vous n'êtes pas d'accord avec les écrits. Toute contestation sera prise en considération. Homme clignant de l'œil

 

Á chaque pavé, j'indiquerai l'auteur(e) des écrits, ce qui vous permettra éventuellement de lui envoyer des lettres de menaces, d'insultes, voire des colis piégés.

 

En tout état de cause, si vous voulez participer, la porte est :

 

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Message 1 sur 514
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513 RÉPONSES 513

Le fil des pavés tous azimuts.

          QUELQUES PHRASES À MÉDITER.

 

  • Si tout le monde savait ce que tout le monde dit à tout le monde, personne ne parlerait à personne.
  • Quand une femme commence à critiquer, c'est qu'elle a atteint l'âge critique.
  • Mon frère, c'est la boisson qui l'a tué. Il s'est fait renverser par un camion de Heineken.
  • En politique, il faut toujours suivre le droit chemin. On est sûr de n'y rencontrer personne.
  • C'est dommage, tous les gens qui savent comment diriger le pays sont occupés à conduire les taxis ou à couper les cheveux.
  • Il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des c0nneries que mobiliser sa c0nnerie sur des choses intelligentes.
  • La popularité, c'est d'éternuer à l'écran et de recevoir le lendemain des centaines de cartes postales avec écrit : "A vos souhaits".
  • Aujourd'hui, la cigale, comme chanteuse, gagnerait plus que la fourmi. (Céline Dion)
  • On fait toujours rire de soi, par un plus niaiseux que soi.
  • L'un des avantages du désordre, c'est qu'on fait constamment des découvertes passionnantes.
  • Si vous obtenez quelque chose pour rien, c'est qu'on ne vous l'a pas encore facturé.
  • Le poisson est un animal dont la croissance est excessivement rapide entre le moment où il est pris et le moment où le pêcheur en fait la description à ses amis.
  • Le travail est l'0pium du peuple et je ne veux pas mourir dr0gué.
  • Au royaume des aveugles les borgnes sont mal vus!
  • Avant je croyais, maintenant je suis fixé! (Jésus).
  • Avec 3 fois rien, on n'a plus grand-chose!
  • Mieux vaut embaucher une jolie femme qui travaille bien, qu'une moche qui ne fout rien! (JC Algala)
  • Notre société a cessé de grandir, elle est maintenant adulte. Dorénavant, elle épaissit.
  • Si tu veux qu'on parle de toi après ta mort ... Laisse des dettes!
  • Hésiter ou ne pas hésiter, là est la question... Ou peut-être pas.
  • Il est intéressant de voir que les gens qui se moquent de la science-fiction se fient à la météo et aux économistes.
  • Si les ours polaires hibernaient, ils ne feraient pas grand-chose de leur vie.
  • Les gens qui vivent dans les cabanes à pêche l'hiver, où vivent-ils l'été?
  • Le travail d'équipe est essentiel. En cas d'erreur, ça permet d'accuser quelqu'un d'autre.
  • L'optimiste voit le verre à moitié plein, le pessimiste le verre à moitié vide, et l'optométriste n'y voit aucune différence.
  • L'humour, c'est de savoir que tout, absolument tout est drôle; dès l'instant que c'est aux autres que cela arrive. (Marcel Achard).
  • Le critique d'art est un être pas tout à fait assez doué pour pratiquer la discipline qu'il juge.
  • Si vos parents sont stériles, vous avez de grandes chances de l'être aussi.
  • Pas encore un film muet ...Homme triste (Un aveugle)
  • Le travail c'est une maladie. La preuve c'est qu'il existe une médecine du travail!
  • Le temps peut être grand guérisseur mais c'est aussi un ignoble esthéticien.
  • Quand tout semble aller dans votre sens, c'est sans doute que vous vous êtes trompé de direction.
  • Le fait que le monde soit peuplé de cré*tins permet à chacun de nous de ne pas se faire remarquer.
  • Les gens se ruinent la santé pour devenir riches et dépensent ensuite tout leur argent pour recouvrer la santé.
  • Je ne sais qu'une chose sur la vitesse de la lumière, c'est qu'elle arrive beaucoup trop tôt le matin.
  • Qu'importe si la tentation de donner des conseils est irrésistible! La faculté de les ignorer est universelle.
  • Les cellules du cerveau viennent et vont mais les cellules de graisse vivent à jamais.
  • La diplomatie c'est envoyer quelqu'un chez le diable de façon à ce qu'il ait hâte de faire le voyage.
  • Tous les chemins de la vie aboutissent au cimetière, alors ce n'est pas la peine d'aller si vite.
  • Quand on marche vers le succès, un coup de pied au derrière vous fait faire beaucoup plus de chemin qu'une poignée de main.
  • La laideur a ceci de supérieur à la beauté : c'est qu'elle dure.
  • La longueur d'une minute dépend toujours de quel côté de la porte de la salle de bain ou celle des toilettes tu te trouves.
  • Le vrai art de la conversation ce n'est pas seulement de dire la bonne chose au bon moment, mais c'est aussi de laisser inexprimée la mauvaise chose au moment le plus tentant.
  • Si vous voulez que votre conjoint écoute et fasse attention à chaque mot que vous dites, parlez dans votre sommeil.

 

Message 141 sur 514
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Le fil des pavés tous azimuts.

Ce que dit l'ingénieur et sa signification.

 

 

1. Différentes approches ont été essayées.
(On essaye encore de deviner ce qui se passe).


2. On approche d'une solution.
(On s'est réuni pour prendre un café).


3. On prépare un rapport complet, selon une approche entièrement nouvelle.
(On vient juste d'engager trois punks sortis de l'école).


4. Ce sera une avancée technologique majeure!
(Ça fonctionne pas mieux qu'avant, mais ça a une allure franchement hi-tech...).


5. On peut tenir pour assuré que le client sera satisfait.
(On est tellement en retard sur le planning, que le client acceptera n'importe quoi).


6. Les tests préliminaires n'ont pas été franchement concluants.
(Cette sal0perie a planté dès qu'on l'a lancée).


7. Les tests ont été vraiment encourageants!
(Incroyable! ça a vraiment fonctionné!).


8. Il va falloir abandonner le concept en son entier.
(Le seul mec qui y comprenait quelque chose vient de démissionner).


9. C'est en cours...
(On est tellement dans la m…. que c'est sans espoir...).


10. Nous allons y jeter un coup d'oeil.
(Laissez tomber! On a déjà assez de problèmes comme ça).


11. Veuillez prendre note et initialiser les documents.
(Partageons les responsabilités à propos de ce mer*dier).


12. Faites-nous part de vos réflexions.
(On écoutera ce que vous avez à dire, autant que ça n'interfère pas avec ce qui est déjà fait, ou avec ce que nous allons faire).


13. Faites-nous part de votre interprétation.
(On a hâte d'entendre vos c0nneries).


14. Voyons-nous pour en discuter.
(Passez à mon bureau : j'ai encore complètement foiré le truc).


15. Complètement nouveau!
(Les pièces ne sont pas interchangeables avec l'ancien modèle).


16. Le résultat d'années de développement.
(On a réussi à en faire fonctionner un finalement).


17. Ne nécessite aucune maintenance.
(Impossible à réparer).


18. Ne nécessite que peu de maintenance.
(PRESQUE impossible à réparer).

 

Message 142 sur 514
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Le fil des pavés tous azimuts.

Un petit Stéphane de Groodt? Y'avait longtemps.

 

                 NOSTRADAMUS.

 

Peut-être que vous le saviez-Bertrand, mais si vous ne le saviez pas il est préférable que vous le sachiez si vous vous emporter cette information avec vous, mais il y a quatre cent quarante-huit ans, soit un sacré bout de temps, et un sacré temps debout pour ceux qui ont laissé au Père la chaise, Michel de Nostradamus, dit Nostradamus pour les plus latins d'entre nous, ou Nostradamo pour les plus mélomanes, a fini par s'éteindre avant de trouver la lumière, allez comprendre, après avoir dit tout et n'importe quoi et surtout prédit tout nous laissant complètement coi.

 

Alors, comme on ne sait pas de quoi demain sera fait, sauf si on s'est posé la question hier, je voulais prophéter de cette chronique pour parler encore une fois dans le poste et dans le mortem. Je me suis donc dis, donc dis, donc ding dong, dong dong (oui je sais j'ai l'air un peu cloche), mais je me suis dit que c'était-là, ou cetelem si vous m'accordez encore un peu de crédit, de tirer quelques plans, non pas à Troyes, mais sur la comète avant de m'en Halley.

 

L'avenir appartient à ceux qui se lèvent…qui se lèvent…déjà c'est bien, je partis rencontrer Nostradamus dans son fief, c'est toujours mieux d'avoir un peu de fief pour prendre la température, de Salon-de-Provence, baptisé ainsi car il y tient salon, et Provence car il y tient beaucoup, ce qui me permit de faire d'une pièce deux cu*ls, expression bien connue de ceux qui professent à l'air.

 

Arrivé devant son humble demeure, la Nostradam'house, je vais pour frapper à la porte, mais ayant prédit que je viendrais chez lui, il l'ouvre avant même que je ne puisse retenir mon geste. Du coup je lui colle un pain, non pas au chocolat, mais au pif, faisant ainsi passer le voyant au rouge. Vite rétabli, oui, avec le temps ma façon d'apaiser rapidement les morts-agit, il m'invite à le suivre dans son boudoir décoré par son épouse Valérie Nostra-Damidot, elle aussi est très voyante…et après m'avoir offert un café et un petit morceau de sucre de Jean-François, du sucre de Khan quoi, enfin une sucrette d'apothicaire, il m'invite à m'asseoir pour tailler le bout…de gras, preuve qu'une ponctuation mal placée peut parfois prêter à contusion. Face au mage, j'en profite pour lui demander d'évoquer à présent mon futur retour, mais ne voyant pas où je voulais en venir il me demande pourquoi je suis passé. Comme nous avons beaucoup de mal à conjuguer nos emplois des temps, j'explique que j'ai commencé mes chroniques par un "Retour vers le futur", et qu'il me semblait donc logique de boucler la boucle, afin de la boucler. En gros, je lui demandais une prédiction.

 

Me sortant alors ses vieilles paraboles pour m'expliquer ses télé-visions, il en appelle à Dieu, même si ce n'est qu'un au revoir, puis se rabat finalement sur sa femme car la Déesse-elle, capte mieux! Le regard sombre mais quand même un peu illuminé, Nostrad-s'amuse alors à prédire l'avenir du "Supplément". Il y voit le meilleur pour toute cette équipe avec qui j'ai passé deux années sublimes; le prestige pour Maïtena dans ses nouvelles fonctions de première dame de France, ça finira bien par lui tomber dessus…, beaucoup de succès pour Cyril en tant que ministre de la démence, plein de bonheur à Raphaëlle qui va se marier avec un célèbre chanteur rwandais et devenir ainsi Raphaëlle Baillot-Corneille, et puis un prix Goncourt pour Guillaume grâce à son roman "L'Hénette de mon moulin". Eh oui ainsi causa-Nostra-Damus. Mais quand je lui fais remarquer que c'est un peu n'importe quoi de prendre ses prophéties pour des lanternes, il considère ça comme un signe de mauvaise volonté et décide de mettre un terme astral à notre discussion. J'aurai pourtant tout Tessier.

 

Et voilà, pendant que je me dirige sortie de cette émission reconduite à la rentre, le très pro-ducteur du "Supplément", Laurent Bon, qui m'a rendu meilleur et que je reconnais Autret…m'annonce que pour clôturer ma période décès, je me verrai offrir un "prime" de départ.

 

Ce sera là une belle occasion de vous remercier tous et de vous saluer une dernière fois avant le générique défunt.

Message 143 sur 514
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Le fil des pavés tous azimuts.

QUELQUES DÉFINITIONS (1/2).

 

 

Absence : Se dit d'une personne ou d'une chose qui ne se trouve pas où l'on voudrait qu'elle soit.

 

Adolescence : L'ennuie d'être seul, l'envie d'être deux, la peur d'être trois.

Âge : Contrairement aux fruits, il est moins tendre quand il est mûr.
 
Agriculteur : L'agriculteur est un homme qui transpire beaucoup afin de faire de son fils un monsieur qui rougira de lui plus tard.
 
Âme : on râle avant d'être obligé de la rendre et son départ nous laisse froid!
 
Ancêtre : Feu arrière.                         
 
Âne : Ânesse du se*xe masculin.  
 
Ânesse : Âne du se*xe féminin.             
 
Ânon : Suite au précédent.                 
 
Ah oui : Contraire du précédent.         
 
Anémie : Zéro pour sang.

 

 

Anesthésie : Prélude avant l'ouverture.
 
Angine : Rouge-gorge.
 
Anglais : Un Anglais, c'est comme nous, sauf qu'on ne comprend pas ce qu'il dit.


Aqueux : Qui contient de l'eau. Habit aqueux, piano aqueux.

Arsenic : arme adroite pour faire passer l'arme à gauche.

 

Assidûment : Dûment assis.                                                   

Autopsie : permet aux autres de découvrir ce qu'on n'a jamais pu voir en soi-même.


Autopsie (bis) : Interview posthume.



Avenir : L'avenir, c'est du passé en préparation ... 

 

Barbelé : Homme pas beau qui porte une barbe. 

Bigamie : C'est avoir une femme de trop. La monogamie aussi !!!

Bien & mal : sont des préjugés de Dieu... dit le Serpent

 

Blennorragie : Ver*ge et martyre.

 

Boléro : Courte veste espagnole mise en musique par Ravel.

 

Boulimie : Maux de la faim.

Café : Breuvage qui fait dormir quand on n'en prend pas.
 
Cannibale : Homme qui aime son prochain avec de la sauce.
 
Clé : Ne réussit pas sans pêne.

 

Cleptomane : Si c'est une femme, elle a vraiment des mains ravissantes.
 
Cobaye : Animal d'essais qui devient un animal décès.
 
Crapule : Femelle du crapaud     

   

Déodorant : Sauve qui pue.

          

Dromadaire : chameau qui bosse à mi-temps.               

Éducation : Apprendre que vous ne saviez pas ce que vous ne saviez pas.

 

Égoïste : c'est un type qui ne pense pas à moi.

         

Encens : Odeur que dégage le prêtre pendant la messe. 

 

Épargne : Argent que l'on met de côté afin de l'avoir devant soi et d'assurer ainsi ses arrières.

  

Épître : Femme d'un apôtre.

 

Étouffement : on risque d'en mourir faute de ne pouvoir expirer!
 
Expérience : nom dont les hommes baptisent leurs erreurs.
 



Message 144 sur 514
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Le fil des pavés tous azimuts.

QUELQUES DÉFINITIONS (2/2).

 

Frigidité : Un défaut d'allumage joint à une panne des sens.

 

Gardien d'enfants: Adolescents tenus de se conduire comme des adultes, de manière que les adultes qui sortent puissent se comporter comme des adolescents.

 

Héritier : Homme qui vous prend le pouls chaque fois qu'il vous serre la main.

Idiot : Il a toujours le mot pour faire rire... ...de lui!

Imb*écile (grand) : Sot en hauteur.

Intellectuel : Un intellectuel est un homme qui emploie plus de mots qu'il n'en faut pour dire moins qu'il en est.

Intervention mineure : Opération subie par quelqu'un d'autre.

Jésus : est un fils à papa.

Jury : groupe de douze personnes d'ignorance moyenne, réunies par tirage au sort pour décider qui, de l'accusé ou de la victime, a le meilleur avocat.

Liberté d'expression : Notion qui prend tout son sens le jour où l'on s'écrase les doigts d'un coup de marteau.               


Mariage : Le mariage est l'art difficile, pour deux personnes, de vivre ensemble aussi heureuses qu'elles auraient vécu, seules, chacune de leur côté.

 

Mariage (bis) : Le mariage est une façon très coûteuse de faire faire son lavage gratuitement...

 

Martyre : Façon de devenir célèbre quand on n'a pas de talent.

Mas0chiste : Homme qui aimant les douches froides, les prend chaudes!!

Médecin : Chercheur de pouls.          
 
Modestie : La modestie est l'art de faire dire par d'autres tout le bien  qu'on pense de soi-même.                                        

Obèse : Né sous le signe de la balance.   

 

Paresse : Habitude prise de se reposer avant la fatigue.

Râler : façon de propager des bruits de dernière heure.

Remariage : Triomphe de l'espérance sur l'expérience.

 

Retraite : Après avoir filé droit, voici le temps venu de tourner en rond.

Rides : offensive sur le front présageant la retraite.

 

Rigidité : prouve que l'on est mort ou que l'on est en vie avec envie!

 

Scout : un petit gars déguisé en téteux qui suit un grand téteux déguisé en petit gars...

Synonyme : Mot qu'on écrit pour remplacer celui dont on ne connaît pas l'orthographe.

 

Slogan : N'importe quoi dit par n'importe qui.

Touriste : Voyageur qui fait des centaines de kms pour se faire photographier devant un car.

Vie : Maladie Se*xuellement Transmissible.

 

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Le fil des pavés tous azimuts.

COMPAGNONS ET COMPAGNES.

 

  • 9 types de compagnons : Reconnaissez le vôtre.
  • LE CHIC TYPE - "Quand j'aurai fini la vaisselle, on se fera un câlin, d'accord?"
    Alias: mon chéri.
    Avantages: toujours aimable, repasse ses chemises lui-même.
    Inconvénients: pas assez mâle.
  • LE VIEUX GRINCHEUX - "Les gens sont vraiment c0ns. Ils peuvent tous aller se faire voir. Restons à la maison et regardons un film."
    Alias: ronchon.
    Avantages: prévisible.
    Inconvénients: est vraiment chi@nt.
  • LA LIMACE - "Je... Je suis vraiment désolé. je n'aurais pas du..."
    Alias: la tremblote, le couard.
    Avantages: tressaute de façon rigolote quand on l'effraie.
    Inconvénients: facilement intimidé même par plus faible que lui.
  • LE GROS BÊTA - "Tais-toi! Je n'arrive pas à réfléchir quand tu parles."
    Alias: grosse tête vide.
    Avantages: est facilement berné.
    Inconvénients: peut vous casser en deux, transpire comme un porc.
  • LE GARS DANS LE CANAPÉ - "Ron...zzzzzz".
    Alias: le parasite.
    Avantages: toujours bien reposé.
    Inconvénients: ne pas compter sur lui pour réaliser vos rêves.
  • LE FAUX DERCHE - "Qui... Moi?"
    Alias: le rat.
    Avantages: peut se sentir coupable de temps en temps.
    Inconvénients: est toujours en train de faire un coup en douce.
  • LE CHAMPION DE L'AMOUR - "Quand j'aurai fini la vaisselle, je te ferai l'amour comme une bête!"
    Alias: Casanova.
    Avantages: toujours excité.
    Inconvénients: toujours excité.
  • LE RÊVEUR - "Un jour, je deviendrai riche et célèbre. je ne sais pas quand mais..."
    Alias: le **bleep**, le philosophe, l'idéaliste.
    Avantages: Raconte de belles histoires.
    Inconvénients: se transformera rapidement en "le vieux grincheux".
  • LE SEUL ET UNIQUE - "pendant que les domestiques lavent la vaisselle, faisons l'amour comme des bêtes dans mon nouveau yacht!"
    Alias: le dandy, l'homme parfait.
    Avantages: répond à tous les souhaits d'une femme.
    Inconvénients: a été pourchassé jusqu'à l'extinction de la race.

 

  • 9 types de compagnes: Reconnaissez la vôtre :
  • LA CHIC FILLE - "Des tickets pour PSG-Marseille? Oh tu n'aurais pas du!".
    Alias: la fille mec.
    Avantages: agréable, bonne copine.
    Inconvénients: finira par changer tôt ou tard.
  • LA HURLEUSE - "Espèce de satané bon à rien, mou du bulbe, incapable! Tu ne vois pas que tu me fais perdre mon temps?"
    Alias: la hyène.
    Avantages: elle fait attention à vous.
    Inconvénients: elle griffe et lance des ustensiles ménagers à la tête.
  • LA GEIGNEUSE - "Oh comme j'ai mal à la tête! Je suis trop grosse! J'ai de la cellulite là?!"
    Alias: Mme je-ne-sais-que-me-plaindre.
    Avantages: Prévisible.
    Inconvénients: Contagieuse.
  • LE CHEF - "Tiens-toi droit, change de cravate, fais le plein de la voiture, demande une augmentation à ton patron!"
    Alias: le rouleau compresseur.
    Avantages: a souvent raison.
    Inconvénients: a souvent raison, et alors?
  • MADAME NI OUI NI NON - "Je ne peux pas me décider. Est-ce que je change ma couleur de cheveux?"
    Alias: La tourmentée.
    Avantages: facilement rassurée.
    Inconvénients: encore plus facilement inquiétée.
  • LA FOLDINGUE - "J'ai une super idée: on va se bourrer la gueule et on fera l'amour sur le gazon, devant la maison. Je l'ai déjà fait, c'est top-délire!"
    Alias:la disjonctée.
    Avantages: plus fun que fr.rec.humour à elle toute seule.
    Inconvénients: pas digne de confiance.
  • LA SUSCEPTIBLE - "je ne comprends pas pourquoi tu ris en lisant ça? je ne vois rien de drôle là dedans!"
    Alias: l'iceberg.
    Avantages: Vos amis ont pitié de vous.
    Inconvénients: vous n'avez déjà plus d'amis.
  • L'ARTISTE - "je vais t'interpréter une danse censée décrire ce que je ressens à propos de notre relation".
    Alias: la loufoque.
    Avantages: distrayante.
    Inconvénients: elle lit ses poèmes tout haut et en public!
  • LA RÊVEUSE - "Tu es mon Monsieur Muscle, mon Don Juan, mon Casanova. Viens, allons faire l'amour tout de suite!"
    Alias: la perfection.
    Avantages: drôle, intelligente.
    Inconvénients: n'a rien à faire avec vous.
Message 146 sur 514
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Le fil des pavés tous azimuts.

LES VENDEUSES DES MAGASINS DE LUXE.

 

Êtes vous déjà allé dans une boutique de luxe sapé comme un prolo? Peu importe que vous ayez de la thune dans le morlingue, il y a systématiquement une vendeuse, apprêtée comme un sapin de Noël, aussi raide qu'un ministre de l'intérieur socialiste, et qui use d'un langage ampoulé (en comparaison Chateaubriand fait vulgaire), pour vous aborder et dire : "Monsieur, je vous prie de bien vouloir m'excuser, mais je me dois de vous signaler que nos collections sont réservées à une certaine clientèle et que nos modèles démarrent à 2.000 euros!"

 

Des fois que vous auriez cru être chez Babou, le soldeur de la Porte de Montreuil. Ces petites pét@asses, payées au SMIC, exploitées par les enseignes, ont tellement vécu au contact de clients fortunés, dans des décors somptueux où l'on cause avec délectation de sacs à main Hermès, de foulards Dior et de chaussures Louboutin, qu'elles ont cru un instant faire partie du cercle avec leur sac à main Monoprix, leurs fichus Jennyfer et leurs pompes André!!! Elles vous parlent avec prétention et supériorité comme si vous n'apparteniez pas à leur monde, sans se rendre compte qu'elles sont les petites mains d'un système qui les méprise avec politesse et bonnes manières. Il y a aussi le chauffeur de Madame qui se soucie soudain de l'état de la bourse du Venezuela ou du cours de la peau de panthère alors qu'il a un compte à la banque postale. La femme de chambre de Monsieur s'inquiète pour l'état des routes enneigées au sud-est du Tadjikistan alors qu'elle ne quitte pas sa chambre de bonne, et le groom du palace s'insurge que les ouvriers de l'usine aient pu se mettre en grève pour réclamer de meilleures conditions de travail. Ils pensent comme les riches, parlent comme les riches, mais sont payés comme des pauvres et se font humilier comme des sous-prolos complaints de plaire à la classe dominante. Le luxe les a anesthésiés comme une piquouse de Temesta. À chaque fois qu'ils croisent un produit haut de gamme, ils se prosternent devant ce dieu inaccessible. Le luxe inspire une forme de respect et la valeur des gens ne se calcule plus qu'à la somme dépensée en fringues et en montres de marques. Ils sont persuadés d'être des élus et des personnes de goût, car comme ils aiment à le dire en salivant : "Ils aiment les belles choses". Ils n'ont pas compris que leur goût a été entièrement fabriqué par la mode et l'imitation, et que la frustration est leur lot puisque de ce qu'ils adulent ils n'auront que de pâles copies ou des photos à accrocher dans leurs armoires. Parfois, toujours insatisfaits de leur condition et se contentant de sentir les produits luxueux sans y accéder, comme on sent un bon mets dans la cuisine en se tapant une boîte de conserves dégueul@sse dans sa piaule, se paient à force de sacrifices un petit objet qui les rapproche de leurs idoles. Une cravate, une paire de chaussettes, un stylo, un briquet…Tous ces restes que le snobisme marchand peut laisser aux prolos qui rêvent…Les miettes de pigeon.

 

(Étienne Liebig).

 

 

Message 147 sur 514
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Le fil des pavés tous azimuts.

Etienne Liebig est TRES méchant......

j'espère qu'il faut prendre ton dernier envoi au deuxième degré,    parce que, si c'est au premier, ça pue l'ENVIE....

 

En revanche, il est vrai que dans certaines boutiques on est mal reçu.......    Je n'ai pas la taille mannequin et, il y a.... un certain temps....  je suis entrée dans l'un de ces antres du luxe car j'avais vu une jolie robe que je voulais offrir à ma fille. La vendeuse est venue au devant de moi, les deux mains écartées devant elle:    "Madame, nos modèles ne vont pas au delà de la taille 40  !!!!!!!"

 

j'ai répondu, souriante:

 

"Madamoiselle, c'est à MON AGE qu'on a de l'argent......."

Message 148 sur 514
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Le fil des pavés tous azimuts.

@rauschommdite Lafleur.

 

Oui, Étienne Liebig est très (voire très très) méchant. Mais dans ses écrits, si tu fouilles un peu, il y a toujours une part de vérité noyée au milieu d'autres mots. Si tu remontes le fil, tu pourras t'en rendre compte.

Message 149 sur 514
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Pour changer des méchancetés :

 

Le sottisier de l'école - Voici quelques perles tirées du dernier sottisier de Philippe Mignaval.

 

  • Les hommes préhistoriques portaient le nom d'H0mos comme, par exemple les H0mos se*xuels.
  • En analysant les squelettes, on peut savoir si ces hommes sont vraiment morts. Pour connaître l'âge de leurs membres, on les enduit de carbone 14.
  • Les Egyptiens transformaient les morts en momie pour les garder vivants.
  • Les Amazones étaient comme des femmes, mais encore plus méchantes.
  • Les empereurs organisaient des combats de radiateur.
  • César poursuivit les Gaulois jusqu'à Alésia car Vercingétorix avait toujours la gaule.
  • Clovis mourut à la fin de sa vie.
  • Charlemagne se fit châ*trer en l'an 800.
  • Les mauvais élèves étaient souvent décapités.
  • Quand les paysans avaient payé leurs impôts, ça leur faisait un gros trou aux bourses.
  • La mortalité infantile était très élevée, sauf chez les vieillards.
  • Les enfants naissaient souvent en bas âge.
  • Jeanne d'Arc n'aimait quand même pas trop qu'on la traite de puc*elle.
  • L'Armistice est une guerre qui se finit tous les ans le 11Novembre.
  • Les nuages les plus chargés de pluie, sont les gros cunn*ilingus.
  • Les Américains vont souvent à la messe car les protestants sont très catholiques.
  • La Chine est le pays le plus peuplé avec un milliard d'habitants au kilomètre carré.
  • Pour mieux conserver la glace, il faut la geler.
  • Le passage de l'état solide à l'état liquide est la niquéfaction.
  • Un kilo de mercure pèse pratiquement une tonne.
  • La climatisation est un chauffage froid avec du gaz, sauf que c'est le contraire.
  • Autrefois les Chinois n'avaient pas besoin d'ordinateur car ils comptaient avec leurs boules.
  • Les fables de La Fontaine sont si anciennes qu'on ignore le nom de l'auteur.
  • Les Français sont de bons écrivains car ils gagnent souvent le prix Goncourt.
  • Les peintres les plus célèbres sont Mickey l'Ange et le Homard de Vinci.
  • Le chien en remuant la queue, exprime des sentiments comme l'homme.
  • Les lapins ont tendance à se reproduire à la vitesse du son.
  • Pour faire des œufs, la poule doit être fermentée par un coq.
  • Les poissons sont bien adaptés à l'eau. On dit qu'ils ont le pied marin.
  • Grâce à la structure de son œil, un aigle est capable de lire un journal à 400 mètres.
  • La femelle du corbeau s'appelle la corbeille.
  • Les calmars géants saisissent leurs proies entre leurs gigantesques test*icules.
  • Les escargots sont tous des hom0sexuels.
  • L'artichaut est constitué de feuilles et de poils touffus plantés dans son derrière.
  • Le cerveau de la femme s'appelle la cervelle.
  • Après un accident de voiture, on peut être handicapé du moteur.
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Le fil des pavés tous azimuts.

Là, pour un pavé, c'est un

 

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Le vieil homme et le cheval blanc.

 

Il était une fois un vieil homme qui vivait dans un petit village.
Bien que pauvre, il était envié par tous car il possédait un magnifique cheval blanc. Même le roi enviait ce trésor.
On n'avait jamais vu de tel cheval, tant par sa splendeur, sa majesté que par sa force.
Les gens offraient des fortunes pour cette monture, mais le vieil homme refusa toujours de le vendre :


- "Ce cheval n'est pas un cheval, pour moi", disait-il. "Il compte pour moi comme une personne. Comment pourrait-on vendre une personne? Il compte pour moi comme un ami, pas comme un animal que je possède. Comment pourrait-on vendre un ami?"

L'homme était pauvre et la tentation était grande, mais jamais il ne vendit le cheval.

Un matin, il constata que le cheval n'était plus dans son écurie. Tout le village vint le voir :


- "Vieux fou," se moquèrent-ils, "nous t'avions dit qu'un jour quelqu'un volerait ton cheval. Toi, si pauvre, comment as-tu pu garder sous ta protection un animal si précieux? Tu aurais mieux fait de le vendre. Tu aurais pu en tirer le prix que tu voulais. Aucune somme n'aurait été trop importante. Maintenant le cheval est parti, et c'est une mauvaise chose qui t'arrive."

Le vieil homme répondit :

 

- "Ne parlez pas trop vite. Dites seulement que le cheval n'est pas dans l'écurie. C'est tout ce qu'on sait, le reste n'est que jugements. Est-ce une mauvaise chose pour moi, ou non? Comment pouvez-vous savoir? Comment pouvez-vous juger?"

Les gens protestèrent :

 

- "Ne nous prends pas pour des imb*éciles! Nous ne sommes peut être pas philosophes, mais il n'y pas matière à philosopher ici. Le simple fait que ton cheval ne soit plus là constitue une mauvaise chose."

Le vieil homme parla de nouveau :


- "Tout ce que je sais, c'est que l'écurie est vide et que mon cheval est parti. Je ne sais rien de plus. Qu'il s'agisse d'une mauvaise chose ou d'une bonne chose, je ne peux pas le dire. Nous ne voyons qu'un fragment des choses. Qui peut dire ce qui va arriver ensuite?"

Les gens du village rirent et pensèrent que le vieil homme était fou. Ils avaient toujours pensé qu'il était imbé*cile, car, s'il ne l'était pas, il aurait vendu le cheval et vivrait des revenus de cette vente. Au lieu de cela, sa vie était celle d'un pauvre bûcheron, le vieil homme était encore obligé de couper du bois de chauffe, de le traîner à travers la forêt et le vendre. Il vivait au jour le jour, dans la misère et la pauvreté. Il avait désormais prouvé qu'il était vraiment fou.

Quinze jours plus tard, le cheval revint. Il n'avait pas été volé, il s'était seulement enfui dans la forêt.
Non seulement il était revenu, mais il ramenait une douzaine de chevaux sauvages avec lui.

Une fois encore, les gens s'assemblèrent autour du bûcheron et lui dirent :


- "Vieil homme, tu avais raison et nous avions tort. Ce que nous pensions être une mauvaise chose s'est révélé être une bonne chose. S'il te plaît, pardonne-nous."

L'homme répondit :

 

-"Encore une fois, vous allez trop loin. Dites seulement que le cheval est revenu et qu'une douzaine de chevaux l'accompagnaient, mais ne jugez pas. Comment pouvez-vous savoir s'il s'agit d'une bonne chose ou non? Vous ne voyez qu'un fragment des choses. À moins que vous sachiez toute l'histoire, comment pouvez-vous juger? Vous ne lisez qu'une page d'un livre. Comment pouvez-vous juger le livre en entier? Vous ne lisez qu'un mot d'une phrase. Comment pouvez-vous comprendre la phrase entière? La vie est si vaste, et pourtant vous jugez tout de la vie sur une page ou un mot. Tout ce que vous avez vu n'est qu'un fragment des choses! Ne dites donc pas qu'il s'agit d'une bonne chose. Personne ne le sait. Je me contente de ce que je sais et je ne me tracasse pas de ce que je ne sais pas."

- "Peut-être le vieil homme a-t-il raison" se dirent-ils entre eux. Ils n'en dirent pas beaucoup plus. Cependant, au fond d'eux-mêmes, ils étaient persuadés qu'il avait tort. Ils savaient qu'il s'agissait d'une bonne chose. Une douzaine de chevaux sauvages étaient arrivés avec le cheval blanc. Avec un peu de travail, ces animaux pourraient être domestiqués, entraînés et vendus pour beaucoup d'argent.

Le vieil homme avait un fils, un fils unique.
Le jeune homme commença à domestiquer les chevaux sauvages.
Quelques jours plus tard, il tomba d'un des chevaux et se cassa les deux jambes.

Une fois encore, les villageois s'assemblèrent autour du vieil homme et émirent leurs jugements.


- "Tu avais raison" dirent-ils. "Tu nous as prouvé que tu avais raison. La venue des douze chevaux n'était pas une bonne chose. C'en était une mauvaise. Ton fils unique s'est cassé les jambes, et maintenant, à ta vieillesse, tu n'auras personne pour t'aider. Tu es maintenant plus pauvre que jamais".

Le vieil homme parla encore :

 

-"Vous êtes vraiment obsédés par le jugement. N'allez pas si loin. Dites seulement que mon fils s'est cassé les jambes. Qui sait s'il s'agit d'une bonne chose ou d'une mauvaise chose? Personne ne le sait. Nous ne connaissons que des fragments des choses. La vie vient de cette façon, par fragments".

Il arriva alors que, quelques semaines plus tard, le pays s'engagea dans une guerre contre un pays voisin. Tous les jeunes hommes du village furent réquisitionnés, sauf le fils du vieil homme, parce qu’il était blessé. Une fois encore les gens se rassemblèrent autour du vieil homme, pleurant et se lamentant parce que leurs fils étaient partis à la guerre et avaient peu de chances d'en revenir. L'ennemi était fort et la guerre serait une sévère défaite. Ils ne reverraient jamais leurs fils.


- "Tu avais raison, vieil homme," gémirent-ils. "Dieu sait que tu as raison. Tout cela le prouve. L'accident de ton fils était une bonne chose. Ses jambes sont peut être cassées, mais, au moins, il est avec toi. Nos fils, eux, sont partis pour toujours".

Le vieil homme répondit une fois de plus :


- "C'est vraiment impossible de discuter avec vous. Vous n'arrêtez pas de tirer des conclusions. Alors que personne ne sait rien. Dites seulement : nos fils sont partis à la guerre, et le tien non. Personne ne sait si c'est une bonne chose ou une mauvaise chose. Personne n'est assez sage pour le savoir. Dieu, s'il existe, seul le sait".

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Le fil des pavés tous azimuts.

POURQUOI LES CHIENS SONT MIEUX QUE LES HOMMES.


- Les chiens ne se vantent pas quand ils dorment avec quelqu'un.
- Vous n'avez pas de soupçons sur les rêves de votre chien.
- Les chiens magnifiques ne savent pas qu'ils sont magnifiques.
- Va seule chose que votre chien peut vous filer, c'est des puces (la rage, ça serait vraiment pas de bol.

- Les chiens ne se gênent pas pour montrer leur affection en public.
- Vous manquez à votre chien lorsque vous vous absentez.
- Vous ne vous demandez jamais si votre chien est assez bon pour vous.
- Les chiens se sentent coupables quand ils ont fait quelque chose de mal.
- Les chiens sont contents quelle que soit le DVD que vous avez choisi de louer, parce qu'ils savent que la chose la plus importante, c'est d'être ensemble.
- Les chiens n'ont pas peur de votre intelligence.
- On peut apprendre à un chien.
- Les chiens savent ce que "NON" veut dire.
- Les chiens n'ont pas pour habitude de tuer ceux de leur propre espèce.
- Les chiens vous prennent pour un génie culinaire.
- Vous pouvez apprendre un chien à être propre à la maison.
- Les chiens n'éprouvent pas le besoin de vous abandonner pour quelqu'un de plus jeune au bout de quelques années de vie commune.

- Les chiens plaisent pratiquement toujours à votre famille.
- Les chiens s'en foutent si vous conduisez la voiture pendant tout le trajet.
- Les chiens n'appuient pas sur des freins imaginaires.
- Les chiens l'admettent lorsqu'ils sont perdus.
- Les chiens s'en foutent que vous vous rasiez les jambes.
- Les chiens ne sont pas embêtés si vous gagnez plus qu'eux.
- On peut forcer un chien à prendre un bain.

POURQUOI LES CHIENS ET LES HOMMES, C'EST PAREIL.

 

- Les deux prennent trop de place dans ou sur le lit.
- Les deux ont une peur irrationnelle de l'aspirateur.
- Les deux sont intimidés par leurs propres enfants.
- Les deux marquent leur territoire.
- Les deux ne savent pas poser une question.
- Aucun des deux ne sait dire ce qui les embête.
- Les plus petits sont souvent les plus énervés.
- Aucun des deux ne fait la vaisselle.
- Les deux pètent sans se gêner.
- Aucun des deux ne remarque lorsque vous avez changé de coiffure.
- Les deux n'aiment jouer pour dominer l'autre.
- Les deux sont très susceptibles quand ils voient le postier.
- Aucun des deux ne sait répondre au téléphone.
- Aucun des deux ne comprend pourquoi vous aimez les chats.
- Les deux éprouvent de la fascination envers l'entrejambe des femmes.

POURQUOI LES HOMMES SONT MIEUX QUE LES CHIENS.


- Les hommes ne salissent qu'avec deux pieds lorsque le temps est boueux.
- Un homme ne veut pas systématiquement jouer avec les autres hommes qu'il rencontre lorsque vous vous promenez avec.
- Les hommes savent ouvrir les boites de conserve eux-mêmes.
- Les chiens ont une haleine de chien *Tout Le Temps*.
- Les hommes connaissent les mathématiques.(Mieux qu'ils connaissent les femmes).
- Les hommes sont acceptés à l'hôtel et dans les restaurants.
- Les hommes ne vont pas bouffer la bouffe du chat dès qu'on a le dos tourné.

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Le fil des pavés tous azimuts.

Les Deux Anges.

 

Deux anges s'arrêtèrent pour passer la nuit dans la maison d'une famille aisée. La famille était méchante et refusa que les anges demeurent dans la chambre d'amis de la maison.
À la place, ils laissèrent les anges dormir dans une petite pièce située dans le sous-sol froid.
Durant le temps qu'ils faisaient leur lit sur le sol dur, le plus âgé des anges aperçut un trou dans le mur et le répara.

Quand le plus jeune des anges demanda : "Pourquoi?"
Le plus âgé des anges répliqua : "Les choses ne sont pas toujours ce qu'elles paraissent".

La nuit suivante, les deux anges arrivèrent pour se reposer dans une maison où les gens étaient vraiment pauvres, mais où le fermier et sa femme étaient très hospitaliers.


Après avoir partagé le peu de nourriture qu'ils avaient, le couple laissa les anges dormir dans leur lit pour qu'ils aient une bonne nuit de sommeil.


Lorsque le soleil se leva le lendemain matin, les anges trouvèrent le fermier et sa femme en larmes. Leur unique vache, de laquelle le lait était une bénédiction, gisait morte sur le sol.

Le plus jeune des anges était furieux et demanda au plus âgé des anges comment il avait pu laisser faire cela?


- "La première famille avait tout et tu l'as aidée en réparant un trou dans leur mur au sous-sol", accusa l'ange.
"La deuxième famille avait peu, mais était disposée à tout partager, et tu as laissé sa vache mourir."

"Les choses ne sont pas toujours comme elles paraissent", répliqua le plus âgé des anges.
"Quand nous sommes restés dans le sous-sol de la maison de la première famille, je me suis aperçu qu'il y avait de l'or dans le trou du mur.
Le propriétaire était tellement rempli de haine et qu'il ne voulait pas partager sa fortune, j'ai bouché le trou afin qu'il ne retrouve plus cet or.

Et, la nuit dernière, lorsque nous étions endormis dans la chambre du fermier, l'ange de la mort venait chercher la femme du fermier.
J'ai négocié avec lui et je lui ai donné l'unique vache du fermier à la place."

 

Moralité : Les choses ne sont pas toujours ce qu'elles paraissent.
Quelques fois, c'est exactement ce qui arrive lorsque les choses ne tournent pas de la façon dont on voudrait qu'elles tournent.
Si vous, vous n'avez qu'à croire que chaque mauvaise tournure des choses est à votre avantage, il se peut que vous ne vous en rendiez pas compte au début, jusqu'au jour où vous vous apercevrez qu'elles étaient effectivement à votre avantage.

 

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Le fil des pavés tous azimuts.

Un petit Stéphane de Groodt? Y'avait longtemps.

 

 

LE PÈRE NOËL.

 

Alors, vous ne le savez sûrement pas pour la simple et bonne raison que je viens de l'inventer, mais après avoir payé mon tribu à Mandela, ou avoir Mandelon-dition si on veut se conformer à la restorique du jour, j'ai souhaité évoquer l'un ou l'autre Maître Queux, avec vous ou avec Maïté-là.

 

Afin de savoir si on peut se faire Maître facilement, je me rends donc dans les cuisines d'un grand restaurant, où Guy trouva sa-voie, dans le but de rencontrer Le grand chef Ducasse Alain-proviste. Ducasse du siècle s'entend qui à force de décrocher des étoiles va un jour finir gastronaute. Ducasse, qui n'est pas du genre à ménager ses visiteurs, puisqu'en plein coup de feu, je fus accueilli par un tonitruant "Ducasse-toi, pauv'con!"

Ce que je fis bien volontiers, n'ayant pas du tout envie que ça masterchauffe entre nous.

 

Me revint alors à l'esprit que le 25 décembre, décembre à coucher pour ceux qui aiment faire la grasse mat', n'était pas qu'un jour de lendemain de cuite, mais surtout le jour de Noël. Du coup, je profitai du temps qui m'était avendu, ou alloué si vous avez un budget serré, pour chausser mes Alain Mimoun-boots et rejoindre la Laponie au pas de course, ou au pas-Winfrey si vous êtes Américain ou au pas Line si vous voulez en Renaud, afin de retrouver le père Noël.

 

Au terme d'un voyage de six jours et une nuit, j'arrive au seuil de la maison de Santa Claus, l'époux de Santa Barbara, où une vieille femme, sûrement lapone du curé, m'informe que même s'il est joyeux, Noël, à l'idée de me rencontrer, il est trop occuper pour me recevoir car c'est la hotte saison. Tentant quand même le coup, je tape à l'intersonne, puis phone à la grille, ou l'inverse, et crie très fort : "Où t'es?! Papa où t'es?!" car même si mes papilles font de la résistance, j'avais quand même l'eStromae dans les talons.

 

La porte s'ouvre. Comme l'occasion fait le marron et que j'étais glacé, j'entre dans ce qui s'apparente à une auberge de Genèse, et où dans la salle à manger se dresse les-tables, remplies de convives et de vifs c0ns. C'est pas pour rien qu'on a les boules à Noël. Passe alors une serveuse qui avait un très beau-cuse, que j'attrape au vol et au vent pour parcourir la carte du soir par curiosité. Au menu : entrecôte de bœuf cairote, une spécialité égyptienne, servie avec sa Rémy Julienne de légumes en cascade, le tout accompagné d'un grand cru bordé de nouilles. Dans la foulée, la serveuse, qui porte également un ravissant carré Hermès autour du cou, m'apprend qu'en cuisine c'est un peu le combat des chefs car certains ont été retoqués alors que d'autres ne sont simplement pas venus. L'un des Troisgros est allé faire son Fooding et Alain Passard a préféré s'adonner à sa passion : l'Arpège à la ligne, pendant qu'Hélène Darroze les plantes de son Vergé.

 

Je me dirige ensuite vers le patio du Christ, où j'aperçois le Pernault…tout court. Pendant que Madame Pernault-elle, traîne-au salon, Jean-Pierre me demande avec des 13 heures de précaution d'éviter de parler trop fort afin de ne pas importuner la Marie accouche-toi-là.

Effectivement, plus loin sur la paille, je reconnais Francis et Franck, Lalanne et Lebœuf, ainsi que Sophia le renne, occupés à brouter en attendant l'heureux avènement du nouveau chef étoilé.

 

Comprenant qu'en cette avant-veille de fin de l'avent, au quasi début de l'après, enfin maintenant quoi je n'avais plus grand-chose à faire là, je sortis avant même d'avoir pu prendre une entrée afin de commander un taxi-renne. Vu l'heure tardive, je priai pour que mon renne arrive, que ma volonté soit fête. C'est alors que pas moins de six rennes de police débarquent à  vive allure afin de me déposer chez moi, dans le quartier Lutin.

 

Sur la route, alors que le jour se lève, je ne peux m'empêcher de boire le rosé du matin à votre santé avant d'aller profiter d'un repos bien mérité.

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Le fil des pavés tous azimuts.

Papa, combien tu gagnes par heure?

 

 

Un jour, un homme revenant du travail très tard, fatigué et agacé trouva son fils de 5 ans, à l’entrée de la porte.

- "Papa, je peux te poser une question?"
- "Qu'est-ce que c'est?" répondit l’homme.
- "Papa, combien tu gagnes par heure?"
- "Ce n’est pas ton problème ... Pourquoi une question pareille?" répondit l’homme d’une façon agressive.
- "Je veux juste savoir. S'il te plaît, combien tu gagnes par heure?"
- "Tu sais quoi? Je gagne 12 € par heure!"
- "Ah!..." répondit le garçon, avec sa tête vers le bas.
- "Papa, prête-moi seulement 6 € s'il te plaît..."

Le père était furieux :

- "C’est pour cette raison que tu demandais cela? Penses-tu que c’est comme ça que tu peux obtenir de l’argent pour acheter des jouets? Vite, file au lit dans ta chambre! Je ne travaille pas si durement chaque jour pour de tels enfantillages"

Le garçon, restant silencieux, entra dans sa chambre et ferma la porte...

L’homme assis devient de plus en plus nerveux sur les questions de l'enfant.


- "Comment ose-t-il poser ce genre de questions juste pour gagner de l'argent?"

Une heure plus tard, l'homme se ressaisit et se dit :


- "Peut-être qu’il avait vraiment besoin d'acheter quelque chose avec ces 6 € et après tout ce n’est pas dans ses habitudes."

L’homme alla à la chambre du gamin et ouvrit la porte.


- "Tu dors, mon fils?" demanda l'homme.
- "Non papa, je suis éveillé", répondit le gamin.
- "Je pense que j’ai été trop dur avec toi mon fils. J’ai eu une journée très dure, à tel enseigne que je me suis déchargé sur toi. Voici les 6 € que tu as demandé."

 

Le petit tout souriant s'écria :

 

- "Oh, merci papa!"


L’homme a vu que le gamin avait déjà de l'argent, et commença à se fâcher de nouveau.
Le garçon comptait son argent doucement, puis regarda son père.


- "Pourquoi voulais-tu plus d'argent si tu en avais déjà?"
- "Papa, c'est parce que je n'en avais pas assez." Répondit le gamin.
- "Papa, maintenant j’ai 12 €. Puis-je acheter une heure de ton temps? S'il te plaît, arrive demain une heure plus tôt à la maison. J'aimerais dîner avec toi."

Le père a été brisé.
Il a mis ses bras autour de l’enfant et a demandé pardon.


C'est juste un petit rappel à tous ceux qui travaillent dur dans la vie.
Nous ne devons pas la laisser filer entre les doigts sans avoir passé un temps, ou une partie de ce temps avec ceux qui en ont vraiment le besoin, ceux qui sont proches de notre cœur.

N'oubliez pas de partager cette somme qui est symbolique (la valeur de votre temps) avec quelqu'un que vous aimez.

Si on meurt demain, la société pour laquelle nous travaillons, pourrait facilement nous remplacer dans les prochaines heures.

Mais la famille et les amis que nous avons délaissés, eux, ne peuvent pas.

 

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Le fil des pavés tous azimuts.

Tenez, encore un pavé du "méchant" Étienne Liebig. Homme clignant de l'œil

 

 

LES ÉCONOMISTES FRANÇAIS.

 

Avec la crise, ce que l'on savait intuitivement depuis longtemps nous a sauté aux yeux : les économistes français sont des charlatans aux prédictions aussi crédibles que celles de Madame Irma dans sa caravane aux Saintes-Maries-de-la-Mer. La différence? Les économistes sont écoutés par le public, les médias et les politiques… Pas Madame Irma.  Ils sont tous forgés à la même école de la confiance aveugle dont l'autorégulation magique du libéralisme. On le comprend car le schéma de l'organisation capitaliste du monde est le garant de leur propre existence. Sur le papier, toute la construction économique du système tient merveilleusement bien la route, les entreprises créent de la richesse, les employés consomment, les banques prêtent, l'État assure. Les entreprises se renforcent, les actionnaires prennent des risques, les entreprises investissent, embauchent, amassent de l'argent, partagent. Les banques plus riches prêtent d'avantage et le cercle vertueux du libéralisme balaie d'un coup l'ensemble des thèses contraires ou critiques taxées de vieilleries absurdes, ce qu'elles sont par ailleurs. Les économistes établissent des théories qui tiennent compte des aléas de l'histoire, du temps, des contingences humaines, ils établissent les algorithmes complexes mettant en jeu le hasard, les intempéries, les catastrophes, les attentats oui… Mais les économistes, aussi pointus que les soviétologues aveugles à la veille de la chute du Mur de Berlin, n'ont rien vu venir de la crise financière, qui trouve sa source dans l'avidité égoïste  et sans limites de quelques-uns prêts à ruiner sciemment un pays comme la Grèce pour engranger des profits plus colossaux encore. Puis ils ont conseillé les dirigeants avec cet air effronté de ceux qui dominent une science exacte alors même qu'ils allaient de déception en déception. Dépassés eux-mêmes par la capacité du libéralisme à avoir engendré des monstres financiers plus puissants que les états et remettant en cause la démocratie. Tout est faussé aujourd'hui, les entreprises ne cherchent plus à enrichir la France mais à faire fortune pour leur compte en délocalisant, en se moquant ouvertement des pays dont elles sont issues et qui les ont fait vivre si longtemps. Les grands patrons qui avaient une renommée d'honnêteté et d'impeccable gestion ont à présent pour principal souci d'échapper à l'impôt et de fréquenter la même table que le Président de la République. Ils peuvent accumuler les erreurs stratégiques, les fautes de gestion du personnel, voir des espions partout, se tromper lourdement dans les projets, ils restent en place, soutenus par les patrons d'autres boîtes qui les cooptent et touchent 424 fois le SMIC par an sans que cela ne fasse vomir personne. Les actionnaires ne prennent plus de risques, ils investissent et veulent des bénéfices rapides et énormes au risque de casser les crédits de l'innovation et les banques ne prêtent plus, détruisant le système d'investissement et de développement. La machine est devenue folle mais nos économistes n'ont pas changé le braquet et continuent de réfléchir comme dans les années 70 à partir des théories de leurs maîtres qui n'avaient pas prévu la victoire de l'avidité destructrice contre les lois du marché. Les économistes ne servent à rien, ils ressemblent à ces religieux effrontés et bornés qui confrontent la Bible à la grandeur de l'univers.

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Le fil des pavés tous azimuts.

@rauschomm et autres mélomanes.

 

 

Le violoniste incognito.

 

LA SITUATION.

 

À Washington DC, dans une station de métro un matin de janvier 2007, un homme avec un violon joua six pièces de Bach, pendant environ 45 minutes.

Durant ce temps, approximativement 2 000 personnes ont passé à travers cette station pour se diriger vers leur travail.

Après environ 3 minutes, un homme d’un certain âge a remarqué le musicien et a ralenti le pas pendant quelques seconds avant de s’empresser sur son chemin.

Environ 4 minutes plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar d'une femme qui lui a lancé sans même s’arrêter.   

À 6 minutes, un jeune homme s’est appuyé contre le mur pour l’écouter, puis a regardé sa montre et s'est remis à marcher.

À 10 minutes, un garçon de 3 ans s’est arrêté, mais sa mère le tira derrière elle en hâte.
L’enfant s'est arrêté pour regarder le violoniste encore une fois, mais sa mère le poussa à continuer à marcher, mais sa tête resta retournée tout le temps.

Cette même action s’est reproduite par plusieurs autres enfants, et chaque parent — sans exception – força leurs enfants de se dépêcher.

À 45 minutes, le musicien jouait encore.

Seulement six personnes s’étaient arrêtées pour l’écouter quelques minutes et environ 20 personnes ont donné de l’argent en continuant à marcher.

Le musicien a récolté un total de 32$ pour ses efforts.

Après une heure, il a fini de jouer et le silence revint.
Personne ne l’a remarqué, personne ne l’a applaudi et personne ne l’a reconnu.

Ce violoniste était Joshua Bell, un des meilleurs musiciens au monde.
Il a joué une des pièces les plus complexes jamais écrites avec son violon d’une valeur de 3,5 millions de dollars.
Deux jours auparavant, Joshua Bell avait joué à guichets fermés dans un théâtre de Boston, où les sièges se vendaient en moyenne 100 $ chacun pour s'asseoir et l’écouter jouer la même musique.

Cette histoire vraie de Joshua Bell jouant incognito dans une station de métro de Washington, a été organisée par le Washington Post et faisait partie d’une expérience sociale sur la perception, le goût et les priorités.
 
Cette expérience a relevé plusieurs questions :

  • Dans un environnement commun, à une heure inappropriée, percevons-nous la beauté? 
  • Si oui, est-ce que nous nous arrêtons pour l’apprécier?
  • Reconnaissons-nous le talent dans un contexte inattendu?


Une conclusion possible tirée de cette expérience pourrait être : 
Si nous n'avons pas un moment pour arrêter et écouter un des meilleurs musiciens au monde, jouant une des plus belles musiques jamais écrites, avec un des instruments les plus magnifiques jamais fabriqués…
Combien d'autres choses nous échappent lorsque nous nous précipitons dans la vie ?

Si cela vous intéresse, voici le lien vers l’article original du Washington Post ainsi qu'un lien vers le fichier audio de sa performance dans le métro.

Cet Américain, né en 1967 dans l’état d’Indiana, rempli des salles de spectacles à travers les continents en jouant du violon.

À l’âge de 4 ans, sa mère lui a offert des cours de violon lorsqu’elle l’aperçu en train d’étirer des bandes élastiques sur les poignées de son mobilier de chambre afin d'y entendre le son de la musique.
Comme tous les jeunes, il jouait aux jeux vidéo et faisait du sport.
Le violon n’était qu’une partie de plaisir pour lui, jusqu’à l’âge de 12 ans, où se plaisir s'est transformé en sérieuse passion.
C’est à 14 ans qu’il a joué son premier solo avec l’Orchestre de Philadelphie.
Il a poursuivi ses études à l’Université d’Indiana,
- A gagné le prix des Arts du gouverneur de l’état,
- A été nommé « Légende vivante d’Indiana »,
- A fait ses débuts au fameux Carnegie Hall à 18 ans,
- A remporté un « Grammy »
- Et a joué du violon dans plusieurs films incluant : "Le violon rouge" et "Anges et Démons".
Son instrument est un violon Stradivarius de 300 ans (fabriqué en 1713), et se nomme le Gibson ex Huberman.

 

Pour en savoir plus sur cet artiste :


- Lisez son article sur Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Joshua_Bell


- Visitez son site Web : www.JoshuaBell.com (anglais seulement).

 

 

 

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Le fil des pavés tous azimuts.

COUP DE GUEULE!!!!!!!!!

 

Depuis ce matin, aux infos, ça n'arrête pas de parler de la Française des Jeux. Comme s'il n'y avait pas encore suffisamment d'accros. Tenez, un texte d'Étienne Liebig qui remet un peu les pendules à l'heure.

 

LES NOUVEAUX ACCROS DU JEU.

 

Régulièrement, nous entendons des nouvelles alarmantes de pauvres types qui se sont détruits au jeu, bouffant leur paie au loto au tiercé ou dans les jeux en ligne. Bien avant les histoires d'addiction décrites par les psychiatres, on savait que le jeu était un danger pour les personnes particulièrement attirées par ce goût du risque instantané et cette montée d'adrénaline si plaisante qu'elle peut faire oublier toute mesure. Mais on se dit, dans un univers aussi borné que le nôtre, dans un pays aussi soucieux de notre santé qu'on a interdit le tabac dans les gares, avec des responsables politiques aussi dévoués à la cause commune, que des garde-fous vont se mettre en place et imposer une liste d'avertissements… Je t'en fous! Nos hommes politiques, si prompts à nous donner des leçons de morale, ont, semble-t-il un petit problème de responsabilisation concernant la question du jeu. La société dans son ensemble s'insurge mais multiplie les tentations pour les citoyens les plus fragiles qui se trouvent être également les plus pauvres, en particulier les chômeurs et les retraités. En dix ans, les jeux de hasard, gérés par l'État, se sont multipliés par dix sous la houlette de la Française des Jeux, sous deux formes, les jeux à tirage différé et les jeux instantanés. Il en faut pour tout le monde. Keno, Loto, Millionnaire, Super Loto, Euromillions…Très étonnamment, la télévision relaie ces jeux en faisant ce qui peut être assimilé pour certains à une pathologie un spectacle national. Imaginerait-on que l'on présente à vingt heures les plus belles déf0nces de t0xicos? Pensez qu'en quatre ans, entre 2008 et 2012, alors que l'ensemble des industries construites sur les addictions comme le tabac et l'alcool connaissent peu de progression, le chiffre d'affaires de la Française des Jeux est passé de 400 millions d'euros à 680 millions*, ce qui est une exception dans le paysage économique français de l'époque. Il a fallu pour cela utiliser toutes les ruses publicitaires, jouer sur la naïveté des clients, les inciter à devenir dépendants par des mensonges sur leur chances de réussir à gagner le gros lot (en réalité une chance sur deux millions) avec la complicité de l'État qui touche un large pourcentage, comme tous les patrons de casinos. Mieux, alors que la situation était déjà catastrophique dans la mesure où les Français étaient les plus grands parieurs européens, on a décidé de favoriser toutes les formes de paris en ligne sans aucun contrôle sur les joueurs potentiels, comme s'il fallait à tout prix conquérir une nouvelle clientèle, les mineurs par exemple. C'est un grand succès! Mais comme toujours, rassurez-vous, on s'offusque de l'horreur d'un tel risque et on crie au scandale. Et c'est cela qui est insupportable. On a aussi vu ces dernières années comment on pouvait amener une classe d'âge à venir accro à un nouveau jeu de hasard responsable aujourd'hui de catastrophes financières, psychologiques et sociales pour la jeunesse. La France, contrairement aux Etats-Unis, n'était pas concernée par le poker il y a encore dix ans! C'était un jeu de cartes peu répandu, il fallait créer la dépendance de toutes pièces. On s'est servi pour ça d'une chaîne de télé et d'une vedette de la chanson, champion de poker. On a proposé chaque semaine pendant plusieurs années des émissions qui retransmettaient des matchs endiablés de passionnés américains se croyant sur un ring. Peu à peu, on commence à parier dans les lycées, les universités. À Noël on vend des coffrets avec tapis, cartes, jetons comme chez les pros. Bientôt le poker devient le jeu de société le plus pratiqué en France. Le mal est fait! Tout cela s'est fait sous les yeux de l'État, des censeurs habituels des organismes de contrôle, et alors qu'on interdit les films ér0tiques aux mineurs de moins de seize ans, on n'empêche personne de s'intoxiquer devant des jeux dangereux et addictogènes. Il est toujours temps maintenant de condamner les mômes qui misent de l'argent ou de pondre des arrêtés municipaux pour interdire le poker. Quelle hypocrisie!!!!

 

*J'ai recopié les chiffres de l'auteur, mais il semblerait qu'il se soit planté. Comme ils me semblaient dérisoires, après quelques recherches, le chiffre d'affaires de la Française des Jeux a été de 14 milliards d'euros en 2015, dont 9 de redistribués, soit 5 milliards de bénéfices sur le dos de ceux qui en ont vraiment besoin, qui rêvent, parce qu'ils ne réfléchissent pas suffisamment et pensent qu'ils auront (quand?) une vie meilleure grâce au gain mirobolant que la chance va leur accorder un jour. Et tout ça sous l'œil bienveillant de l'État et des médias qui OSENT diffuser des spots alléchants pour entraîner ces "parfois désespérés" à jouer encore et encore.  Parce que l'addiction, c'est ça :

 

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Le fil des pavés tous azimuts.

Nous sommes tous riches.

 

  • Riches de potentialités extraordinaires.
  • Riches parce que nous sommes uniques.
  • Riches parce que nous vivons.

    Souvent, je suis étonné par le désespoir de personnes qui manquent d'argent. Elles se croient pauvres.
    Je leur demande :
    - Combien seriez-vous prêt à me vendre votre main gauche? Et votre main droite? Et votre jambe gauche?

    Bien souvent aucune somme ne serait suffisante pour payer tout cela.

    Le simple fait de vivre est une richesse.

    Le fait de voir des couleurs, la beauté de la nature est une richesse :
    – Demandez à un aveugle.

    Le fait d'entendre les sons, leur harmonie comme leur discorde, de goûter le silence, d'être porté par la musique est une richesse :
    – Demandez à un sourd.

    Le fait de pouvoir se déplacer, monter un escalier, sauter, courir est une richesse :
    – Demandez à une personne qui est en fauteuil roulant.

    Le fait de pouvoir savourer les goûts, les saveurs, les nuances des aliments est une richesse :
    – Demandez à celui qui a perdu le goût.

    Le fait de sentir, d'aimer, de rire, de manger, de toucher, de savoir lire et écrire, d'avoir chaud…


La liste de nos richesses quotidiennes, que nous oublions d'apprécier, tant nous sommes hypnotisés par d'autres préoccupations, est bien longue!

Nous avons tous, au fond de notre jardin intérieur, un trésor caché qui vaut beaucoup plus que toutes les pièces d'or du monde…

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Le fil des pavés tous azimuts.

EN ROUTE VERS LE GRAND N'IMPORTE QUOI.

 

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Et bon courage.

 

 

Au début, il y avait le néant. On l'appelait "zéro". On ne pouvait pas faire grand-chose avec zéro. On pouvait le contempler, on pouvait le soupeser, on pouvait tendre l'oreille pour l'écouter. Mais le néant se refusait obstinément à être quelque chose. Même pas le vide. On ne voyait rien, on n'entendait même pas la mer quand on l'approchait de son oreille.  Ce n'est que beaucoup plus tard que la situation évolua.

 

Tout commença lorsque Adam et Eve débarquèrent sur terre, par le vol direct AF747 (départ Paradis terminal B 18h00, arrivée quelque part en Afrique 21h30, tarifs couple et mi-couple). Adam, qui était plutôt manuel, s'occupait en bricolant. Mais Eve, qui était spécialiste en programmation récursive auParadis, s'emmerd@it ferme.  Un jour, elle avisa une sorte de pendentif qu'Adam avait bricolé avec deux bouts de bois et de la colle rapide. Une sorte de barre verticale, avec une deuxième barre plus petite, formant un angle aigu avec le sommet de la première. "Un" dit-elle. Tu m'entends, Adam? On va l'appeler "un".

 

Mais Adam n'entendait pas, car il était absorbé par le démontage du carbu de sa moto.  Eve était contente de pouvoir s'occuper avec autre chose que le néant.Elle pouvait contempler son bâton, le lancer en l'air, le tremper dans l'eau, puis le sécher dans le four à micro-ondes. Elle le rangea à côté du néant, et regarda successivement les deux: zéro, puis un; zéro puis un etc.  Elle prit soudain conscience que l'arrivée de "un" lui permettait de choisir entre plusieurs choses. Elle voulut faire part de sa nouvelle alternative à Adam, mais celui-ci s'en foutait, parce qu'il pestait contre le gicleur qui était bouché.

 

J'appellerai cela "bit" décida-t-elle, car elle était portée sur la chose. Beaucoup plus qu'Adam, qui préférait mettre les mains dans la graisse.  Prenant un bout de fil de fer qui traînait dans la caisse à outils, elle le tordit en une sorte de S à l'envers. "Deux" cria-t-elle, j'ai inventé le "deux". Folle de joie, Eve rangea le fil de fer à côté du bâton et du néant. Elle sentait confusément que cela lui ouvrait de nouvelles possibilités, mais elle ne savait pas exactement combien. Ah, si j'avais une prise pour brancher mon portable, soupira-t-elle. Mais les prises de Terre n'étaient pas normalisées, comme au Paradis. Elle n'avait pas d'adaptateur. Et les batteries n'avaient même pas duré le temps du vol aller.  Piquant trois tournevis dans la boîte à outils, en espérant qu'Adam ne s'en rendrait pas compte, elle voulut le disposer en une figure régulière.Mais comme elle n'était pas très à l'aise dans les travaux manuels, elle aboutit à une sorte de triangle avec deux côtés qui dépassaient. "Quatre", dit-elle, en allant ranger les tournevis à côté du fil de fer, du bâton et du néant.

 

Elle s'arrêta là car il était tard et elle se sentait un peu fatiguée.  Le lendemain matin, pendant qu'Adam était parti se tirer une bourre sur l'autoroute, elle reprit son jeu. A midi, Eve avait inventé le huit, le seize, le trente-deux, le soixante-quatre, le cent vingt huit, etc. jusqu'au soixante cinq mille cinq cent trente six, qu'elle trouvait un peu encombrant. Elle se demandait si elle aurait assez de temps pour finir le jeu avant le soir. Mais comme c'était, rappelons-le, une grande spécialiste des procédés récursifs, elle sentait confusément qu'elle n'arriverait pas au bout, ni en un jour, ni en un an, ni jamais.  Ainsi naquirent les nombres entiers.

 

 Lorsqu'Adam rentra et trouva la boîte à outils vide, il entra dans une grande colère. Eve eut beau lui dire que c'était Serpent qui avait fait des siennes, il ne voulut rien entendre et envoya tout balader en l'air.Très dépitée, Eve ramassa la courroie de ventilateur qu'elle avait croisée pour faire "huit". Dans sa colère, Adam l'avait aplatie et elle ne tenait plus debout. Eve la posa sur le côté, en se disant qu'elle n'était vraiment pas faite pour les travaux manuels, et qu'elle pouvait très bien continuer son jeu dans sa tête, le soir au lit par exemple, puisqu'Adam était toujours fatigué.  

 

Ainsi naquit l'infini.  La découverte d'Eve eut des répercussions considérables sur l'histoire de l'humanité. Les nombres entiers permirent l'invention des livres d'arithmétique, de la calculette, de l'IBM 360, de X-Windows, de Linux, et d'Internet.  C'était sans compter sur l'esprit malin de Serpent, qui prétendit améliorer l'invention d'Eve en ajoutant, pour combler les trous disait-il, des nombres inutiles comme "3", "5", "6", "7", "9", et aussi "1048575". Il disait qu'avec le système original, on ne pouvait même pas compter les doigts d'une main, et que cela le gênait. On avait beau lui dire que ça n'était pas fait pour ça, que de toutes façons les serpents n'avaient pas de mains. Il ajouta même "virgule" pour couper les cheveux en quatre.  Non seulement cela défigurait l'élégante construction d'Eve, mais cela donna naissance à toutes sortes d'inventions nuisibles comme la TVA, l'impôt sur le revenu, le prêt à remboursement progressif, les erreurs de troncature, et Windows 95.

 

Eve en pleura. Adam s'en, foutait, il disait qu'il avait assez de problèmes comme ça avec son embrayage. Ayant bricolé un adaptateur pour son portable avec ce qui restait de fil de fer, elle expédia un mail qui disait ceci :   

 

>From: eve@terre

>To: worldmaster@paradis>

>Subject: Mission Terre

>Impossible de continuer dans ces conditions. Rappelez immédiatement

>Serpent au siège, et changez-moi ce cré*tin de mari, ou je rentre par

>le premier vol direct et je demande une nouvelle affectation.  

 

Mais hélas, Serpent avait foutu un tel souk que le mail n'arriva jamais au Paradis, et que la carte de crédit d'Eve fut refusée par le terminal de l'aéroport avec le message "Puce pleine". L'histoire se finit tragiquement, car Adam dut revendre sa moto pour payer son premier tiers provisionnel. Et Eve sombra dans la dépression car Adam était toujours fatigué le soir et s'endormait tout de suite au lit.  

 

Un autre livre a raconté cette histoire un peu différemment, mais n'éclaire pas le mystère du mail perdu. Une enquête approfondie a permis de comprendre cet incident qui a changé le destin du monde.  Avec son invention diabolique de "virgule", Serpent avait aussi inventé le bug Pentium. Le portable d'Eve était une machine Pentium.

 

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