le 07-02-2016 19:32
Tout d'abord, la formule de politesse of course.
Ce fil afin de ne pas envahir les autres avec les pavés dont je suis coutumier. Si l'envie vous en prend, vous pouvez également en poster, ils seront les bienvenus.
Vous pouvez, bien entendu, chouiner si vous n'êtes pas d'accord avec les écrits. Toute contestation sera prise en considération.
Á chaque pavé, j'indiquerai l'auteur(e) des écrits, ce qui vous permettra éventuellement de lui envoyer des lettres de menaces, d'insultes, voire des colis piégés.
En tout état de cause, si vous voulez participer, la porte est :
le 14-02-2016 01:23
A TOUS LES AMOUREUX DES FORUMS,
des plus JEUNES aux plus ANCIENS...
le 14-02-2016 07:09
LA VACHE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Qu'est-ce que ça fait du bien de se marrer comme ça de bon matin.
le 14-02-2016 12:11
Bonjour Lekandid
J'aime beaucoup aussi... je voulais en faire profiter tout le monde ...
le 14-02-2016 12:23
Bonjour SL,
Je confirme ce que j'ai dit :commencer une journée en lisant ça, que du bonheur.
14-02-2016 15:37 - modifié 14-02-2016 15:40
Les tous débuts de l'informatique :
Extrait d'un journal trouvé près d'une poubelle au pavillon Ignace-Bourget. L'auteur est hélas inconnu.
12 octobre Les collègues du département ne cessent de se moquer de moi parce que je prépare mes examens au stylo et que je les fais dactylographier au secrétariat. Ils tournent en ridicule les documents que je remets aux élèves car les graphiques faits à la main sont toujours flous. Et je sens que la préparation des bulletins ne sera pas rose, moi qui ne me sers que du calcul mental et d'une petite calculette.
5 novembre La pression est trop forte. C'est décidé. Je m'achète un ordinateur. On n'arrête pas de me dire combien cela va m'économiser de travail. Reste à savoir si ce sera un Mac ou un PC. Tout ce que je sais, c'est l'argent que je peux y consacrer: 4000$.
13 novembre Ça y est. J'ai pris le virage technologique. Si tout va bien, la vie facile commence.
14 novembre J'ai réussi à allumer le tout, et à taper un petit texte. Mais l'imprimante n'a imprimé que des hiéroglyphes. Le beau-frère de mon voisin qui, paraît-il, s'y connaît, doit venir demain.
15 novembre Le beau-frère est venu. C'était un problème de police (?). Rien compris à ce qu'il a dit. Je peux imprimer, mais le souligné ne fonctionne pas. Je téléphone au vendeur. Je vais préparer mon examen à la main après tout. Ça semble plus sûr.
16 novembre Il paraît que l'ordinateur n'a pas assez de mémoire, et que je dois dépenser un autre 500$. Je n'ai pas le choix. J'ai sorti ma vieille Remington du placard.
21 novembre J'ai repris possession de « la bête ». Il n'y a qu'un petit problème avec certains accents, mais tout va bien.
23 novembre Un collègue m'a donné une copie d'un logiciel de dessin. Il paraît que ça coûte 800$ et que ça dessine quasiment tout seul. J'ai réussi à faire un cercle (pas tout à fait rond) et à le remplir de bleu. Ai terminé le test sur la Remington, après avoir perdu cinq heures.
24 novembre Ai passé la soirée à essayer de placer une image dans le texte. C'est toujours trop à gauche ou trop à droite, et le fond est foncé alors que je le veux pâle. Il paraît que cette version ne permet pas ça, mais qu'une mise à jour s'en vient. J'ai fini le travail avec des ciseaux et de la colle.
26 novembre Ai préparé l'examen final sur l'ordinateur, mais il y a eu un problème à la sauvegarde et j'ai tout perdu. Un collègue m'a dit que c'était fréquent. Il m'a donné un logiciel pour faire des copies de sauvegarde. J'ai dû formater 13 disquettes. Je pense que je vais préparer l'examen sur la Remington.
30 novembre Je passe tout mon temps à mon ordinateur, ce qui fait que je néglige mon journal. Je téléphone sans cesse à mon collègue-qui-connaît-ça. Ma plus grande victoire est que je ne déplace plus la souris jusqu'au bord de mon bureau. (La « boule » est sortie de la souris lorsque je l'ai échappée hier.) J'écris en fait beaucoup moins qu'avant, car je passe le plus clair de mon temps à essayer de faire marcher la patente.
12 décembre Ai installé une nouvelle version du traitement de textes. Les quelques documents que j'avais réussi à sauvegarder ont disparu. Paraît que ça arrive parfois lors de mises à niveau de logiciels. Mon collègue-qui-connaît-ça m'a dit de ne pas m'en faire. Lui aussi a souvent perdu des documents (il ne me l'avait jamais dit, évidemment). La Remington trône à côté de l'ordinateur. Je tape tout sur la machine à écrire.
20 décembre Je suis passé à un cheveu de m'acheter un « scanner » pour Noël. « C'est magique », m'a dit le collègue-qui..., avec la voix de Jojo Savard. « Tu prends un texte, tu le passes dans la machine (?), et ça devient un fichier que tu récupères dans ton traitement de textes ». Jusqu'à maintenant, la seule magie informatique que j'ai vue faisait plutôt disparaître qu'apparaître du texte. J'ai décidé de m'acheter un lecteur CD-ROM plutôt. Un modèle « plug'n'play », car je ne veux pas avoir de problèmes d'installation. J'ai hâte au 25!
25 décembre Ai passé la journée à essayer de faire fonctionner le CD-ROM. Comme le collègue-qui... et le beau-frère du voisin fêtent en famille, je me suis retrouvé seul à pleurer au milieu du salon.
27 décembre Ai calculé les notes de mes élèves. Voyant qu'ils échouaient tous, je me suis douté de quelque chose... Mes formules étaient inexactes. Mon collègue-qui... est venu m'aider. Je commence à me méfier sérieusement. Ai tout vérifié avec ma calculette, au cas où... 8 janvier Mon ordinateur n'accepte pas que je tape PIEA. Si ces quatre lettres se suivent dans un texte, tout s'arrête. Je me méfie de plus en plus, et commence à en avoir ras-le-bol!
24 janvier Ai vendu mon ordinateur il y a quatre jours, la moitié du prix payé. Mon collègue-qui... m'a dit que c'était normal de perdre de l'argent à la vente. Un processeur plus puissant est sorti, ce qui rendait le mien « obsolète » (?). Me suis acheté la plume Mont-Blanc qui me tente depuis 12 ans. Je m'aperçois que j'ai maintenant le temps d'écrire et que ce que j'écris ne disparaît plus de la surface du globe.
(La suite du journal est manquante). |
le 15-02-2016 11:28
DE FUNÈS/CLAUDE FRANÇOIS.
Alors, c'est toujours bon à savoir, donc savons-le ensemble (cherchez pas, c'est une conjugaison qui m'est propre à moi), mais le 27 janvier dernier Louis Germain David de Funès de Galarza pour l'état civil, ou Louis El'dinFunès pour l'état Cyril, ou encore Louis le Funeste pour ceux qui trouvent ça triste, enfin lundi quoi, cela faisait 31 ans que Fufu fut, quittant ainsi l'écran de ce monde à l'âge de 68 ans.
Parce que c'était Louis, parce que c'était moi, un peu de Boétie ne fait pas de mal. Je voulais évoquer la folie des grandes heures avec celui qui incarnat Rabbi Jacob, jadis symbole de tolérance, et qui aujourd'hui ne provoque plus que des tollés rances.
Me recueillant alors au panthéon du cinéma où il repose aux côtés de Jean Gabin, Jean Marais, Jean Lefèvre ou Jean Carmet, il aurait pu tomber pire-Louis. Je dus renoncer, car bien vite je fus perdu au milieu de tous ces Jean. Réalisant que mon panthéon était un peu décousu, je me mis en-quête exclusive de Cloclo qui aurait fêté ses 75 ans le 1er février dernier. Un anniversaire qui aurait certainement fait grand bruit s'il n'avait fini comme Véronique, sans son.
Faisant alors jouer mon réseau, j'appris qu'il résidait à 4G de pierre de là. C'est donc tout content, sur un petit nuage, que je rencontrai Cloud François à Dannemois, où il vivait dans un Moulin-avant qu'il soit racheté et rebaptisé Par Enrico Macias :"Moulin de Danne-Dannemoi-ah-ah-Danne-Dannemoi".
Arrivé à la porte de la maison, close, Sûrement sur l'ordre de Madame, je fus accueilli par un Clodo et une Clodette fumant des cloclopes, qui se proposent de me servir de guide, et comme j'avais pas fait tout ce chemin pour me tailler, je les suis. Les suit-tout d'ailleurs, car j'étais au bout du rouleau.
Chemin faisant, ils me font alors découvrir la ferme du bonheur, sa grange, ses poules, là-bas ses vaches alors que cet âne est là, au détour d'un champs-de-son et je découvre enfin le Claude en train de donner la denrée à ses chèvres qui bêlent bêlent bêlent. Les main moix, je me précipite à sa rencontre, et même si le style est un peu ampoulé, je suis ébloui de le voir si étincelant dans ses habits de lumière.
Sentant sous la pluie que le courant passe bien entre nous, je m'applique à ne pas le froisser et lui propose de nous mettre dans le bain de la discussion. Il refuse aussi sec et m'invite plutôt à le suivre au bar de la piscine afin de Saluer les Copains. Là je découvre Gainsbourg au bar accoudé, ba-ra-cou-dé, pendant que Carlos raconte des histoires de Dolto entre deux bombes dans la piscine et que Dalida fait des Bécaud à Gilbert. Plus loin je reconnais Chacha, enfin Sacha disent-elles, qui fait un show près de la mare, tout content d'avoir pêché un cageot de carpes-entier. Il n'arrêtait pas de faire des bonds de joie, au point de me faire la réflexion :"Mais va-t-il s'asseoir ou jamais?"
Á un moment, tandis que Claude observe pensivement les magnolias, faux rêveur, il m'avoue que son grand regret aura été sa rupture fracassante avec France Gall, alors qu'elle méritait juste-un bris-doux. C'est peut-être pour ça qu'elle est allée tâter du bâton de Berger. Lorsque je lui demande s'il n'est pas un peu frustré d'avoir fait péter les plombs, je sais, c'est glauque François, il se met à fredonner "Écoute, ma main est près de toi", histoire de me faire gentiment comprendre que je vais m'en prendre une si je continue à lui poser ce genre de questions et que d'ailleurs je devrais plutôt prendre exemple sur Mike Brant, qui lui sait quand il faut s'écraser.
Tandis que nous nous engageons dans l'allée, il me confie ne rien regretter, car grâce à l'amour de toutes ses fans il demeure un chanteur mâle heureux.
le 15-02-2016 20:26
Onze idés fausses avec lesquelles nous nous martyrisons.
(Extraits des ouvrages de Albert Ellis)
le 15-02-2016 20:28
!!!!!!!
le 16-02-2016 06:13
LES NOUVEAUX MÉDECINS DE CAMPAGNE.
Qu'est-ce qu'un travailleur qui vit entièrement de l'argent public? Un fonctionnaire. Qu'est-ce qu'un fonctionnaire sans chef de service? Un toubib. Et qu'est-ce qu'un toubib devant qui il faut s'agenouiller pour qu'il accepte de bosser? Un nouveau médecin de campagne. Voilà que ces dernières années ces messieurs dames aux études pratiquement intégralement payées par nos impôts, d'un coût de120.000 euros en moyenne pour un généraliste, ont décidé de s'installer uniquement dans les grandes villes et particulièrement là où le soleil brille. Certes, le médecin préfèrera toujours la clientèle âgée et fortunée qui lui garantit un revenu régulier comme à Nice, Cannes ou Menton, où il y aura bientôt plus de médecins que de patients… Mais il consent néanmoins à s'occuper d'une clientèle moins lucrative si l'environnement lui convient. Boîtes de nuit, universités, copains à proximité et pas trop de misère. Et la campagne est chi@nte, il faut le reconnaître. Ces fonctionnaires de la santé qui se sont baptisés "médecins libéraux" alors qu'ils ne vivent que sur l'argent de la Sécu ne se privent pas, et contre toute morale, de temps en temps, d'arrondir leurs fins de mois en dépassant les plafonds autorisés par la Sécu pour palper plus encore. C'est facile puisque dans la santé, comme dans la mort, les clients sont désemparés, fragilisés et plus que tout maintenus dans l'ignorance par une profession qui continue de faire semblant de détenir un savoir magique et un pouvoir de vie et de mort sur le pauvre pékin! Alors que d'autres agents de l'État tels que flics, gendarmes, profs, sont contraints d'aller là où on a besoin d'eux, les toubibs se réfugient derrière leur profession libérale pour faire un marchandage immonde avec le pouvoir soucieux de limiter les déserts médicaux en France. La partie est facile dans la mesure où l'ensemble des professions médicales est majoritaire devant les profs à l'Assemblée Nationale, le lobby est tout puissant et obtient à peu près tous les avantages qu'il désire. L'essentiel étant qu'on leur f0ute la paix pour faire ce qu'ils veulent avec notre pognon. Soigner qui ils veulent, accepter ou refuser les patients bénéficiaires de l'AME ou de la CMU, organiser leur temps de travail, s'installer où bon leur semble, traiter en direct avec les labos, participer aux colloques qui les intéressent, se former s'ils le veulent et ne pas lire les revues qui dénoncent les médicaments dangereux.
Ces assistés ne veulent donc plus s'installer à la campagne! Cette bonne blague! Trop de pauvres et pas suffisamment d'amusements dans le coin. On compatit. Alors au lieu de simplement leur imposer là où ils manquent, comme à n'importe quel autre de ses agents, l'État, toujours courageux, leur propose des ponts d'or injustifiés. Des primes d'installation, des incitations fiscales, des prêts délirants. Mais le plus extraordinaire, le plus surréaliste nous vient des socialistes au pouvoir qui sont prêts quant à eux à filer carrément un salaire minimum à ces libéraux! Et pas le SMIC hein! 4.500 euros! Les médecins devraient refuser et exiger, qu'en plus de cette obole, ils aient accès à un harem, une Ferrari et huit masseuses thaïlandaises.
le 16-02-2016 15:10
POUR LES FILLES, COMMENT SAVOIR QU'IL FAUT FUIR CETTE SOIRÉE?
FUYEZ!!!!!!!!!!!!
le 17-02-2016 06:08
Petits pavés du matin , bon appétit
17-02-2016 06:43 - modifié 17-02-2016 06:45
En c/c, quelques épitaphes:
le 17-02-2016 08:25
D'autres épitaphes :
"Ci-gît ma femme dans son écrin de terre;
le 17-02-2016 08:59
Allez, un 3ème pavé pour ce matin, et après, on se calme.
Best of presse.
le 17-02-2016 19:33
Un peu de sérieux pour changer.
CEUX QUI CROIENT Á LA CRISE.
Dans tous les dicos, la crise est un état passager, une sorte de paroxysme d'un malaise avant un retour à la normale, du genre, "après la pluie le beau temps" ou "après la guerre, la paix". Donc, pour ne pas trop nous affoler, les politiques, les journalistes et les fameux experts nous disent : "tenez bon, après la crise ça ira mieux", mais c'est un gros mensonge mesdames messieurs. Après la crise, la crise! Car cette crise n'est pas une perturbation ponctuelle due à un problème de banqueroute, de déficit soudain, de chute de l'immobilier ou des valeurs boursières. Non! Cette crise est notre nouveau contexte pour les deux décennies à venir. Nous assistons en effet à un réel basculement des paradigmes économiques dans lequel, depuis vingt ans, les pays émergents ont sombré. Il y a redistribution des cartes de la puissance, de la gouvernance du monde, des échanges commerciaux, des cerveaux et de la créativité. La France ne traverse pas, à côté des autres mini pays européens, une mauvaise passe dont elle sortirait comme en 29 pour repartir de plus belle. La France et ses copines sont devenues des petits pays sans envergure, sans industries et sans innovations, pour trouver une petite place où les géants du monde nous permettront de survivre. Producteur de vins fins, de délicieux fromages, pays de la poule au pot et du foie gras, la France a quelques qualités qu'il va nous falloir préserver et exploiter. Notre pays peut être un merveilleux pays pour le tourisme, une sorte de musée en plein air avec ses plages, ses forêts, ses châteaux et ses jolies filles en maillot de bain. Mais honnêtement, faites un trait sur son industrie, ses voitures, ses avions, ses moteurs…Nous garderons les usines que les grandes puissances accepteront de nous laisser pour des raisons de facilités d'exportation. Nos enfants émigreront très logiquement pour étudier et pour travailler là où il y aura de l'emploi et du mouvement. Ce n'est plus aussi terrible que ça l'a été pour ceux des pays pauvres venus en France. L'Europe aurait pu être une bonne alternative mais on voit que cette séduisante chimère ne sera jamais une réalité autrement que pour faire l'amour et apprécier la diversité de nos cuisines, et que les pays du Nord auront été incapables d'empêcher Goldman Sachs d'avaler tout cru la Grèce, le Portugal et l'Espagne pour commencer. Vous pensez sans doute que j'en rajoute, que j'exagère, que je panique pour rien, mais je peux vous jurer sur la tête de la Centrale de Flamanville que nos politiques sont parfaitement conscients de tout cela mais continueront de se prendre pour Zorro en promettant de sauver les entreprises, l'emploi, les sites industriels et les acquis sociaux. Pourtant, chaque jour, la France perd 1.000 emplois dans l'industrie. Mille vrais boulots de création de richesse parfois compensés par quelques ouvertures d'emplois de services, d'auto-entreprises, de fonctionnaires ou de CDI dans le commerce et la vente. Notre vie va changer dans les vingt ans à venir et le fait de passer d'un pays dominant à un pays en sous-dépendance économique ne va pas être simple pour tout le monde, mais cela se fera naturellement pourvu que nos dirigeants cessent de nous mentir et ne se fassent plus élire sur de fausses promesses : retrouver une France forte, une France dominante, une France conquérante, etc.
C'est fini et ce n'est peut-être pas plus mal.
(Étienne Liebig.)
le 18-02-2016 07:02
QUELQUES BRÈVES DE COMPTOIR.
- Ma femme peut pas me quitter, je suis jamais là !
- A la naissance le nain est normal, c'est en grandissant qu'il rapetisse.
- Ca m'inquiète de prendre la voiture bourré mais en ce moment j'ai pas le choix, je suis tout le temps bourré.
- Ce qui ne va pas dans la société, c'est les gens.
- En moto, tu peux boire plus qu'avec la voiture, le vent ça dessoûle.
- Faudrait lui passer la cervelle au Karcher tellement il est c0n.
- Il a perdu son taxi parce qu'il buvait trop, maintenant il est chauffeur de car en Bretagne.
- Il faudrait qu'à l'auto-école on nous apprenne à conduire bourrés, on apprend bien la conduite sur glace.
- J'étais ivre mort et j'ai pas pris ma bagnole... C'est bien, non ?
- Je n'achète rien quand c'est fabriqué par des enfants du tiers-monde, ça se casse tout de suite.
- Je serais chercheur, moi je saurais pas quoi chercher.
- Je suis chômeur occasionnel et en ce moment c'est l'occasion.
- Je suis le plus grand auteur maudit, j'ai jamais écrit une ligne.
- L'apéritif concert, j'y vais pour la musique parce que de l'apéritif j'en ai à la maison.
- La forme de l'eau, on la sait quand ça gèle.
- Le naturisme, sur le dépliant c'est des jeunes filles à poil sur la plage mais quand tu y es, c'est que des retraités de la SNCF.
- Les livres, j'aime pas le sujet.
- Les peintures de Lascaux on trouve ça génial, mais si ça se trouve à l'époque personne en voulait chez lui.
- Quand on voit ce que consomment les bagnoles, c'est pas un exemple pour les chauffeurs.
- Quand tu tues ta femme, c'est pas la peine de prendre la fuite, elle va pas te courir après.
- Si c'est toi qui décide de boire, c'est pas comme un microbe. Si c'est le microbe qui décide, c'est une maladie.
- Tant qu'elle est pas ouverte, l'huître sait pas qu'elle est dans la cuisine avec des gens qui la regardent.
- Une journée sans voiture ! T'as vu le b0rdel ? Des embouteillages partout ! Dans ce cas-là qu'ils fassent une journée sans pognon !
- Y faudrait un distributeur d'apéros dans le mur pour quand ça ferme, pareil que les banques !
le 18-02-2016 14:39
Tiens, un petit peu de Stéphane de Groodt.
SERGE GAINSBOURG.
Alors je ne sais pas si vous êtes au courant, ou eau courante vu que ça ne coule pas de source, mais en ce dimanche 30 février 2016 ou 2 mars si vous êtes révolté du Bounty, 92 décembre 2015 si vous n'avez toujours pas envoyé vos vœux, bref en cette fin de mois dernier et début de mois prochain pour faire simple, cela fait 25 ans plus que des nouvelles, vagues, du beau Serge, Lucien Ginsburg de son vrai nom, Gainsbarre de son surnom, ou tout bêtement Gainsbourg de son renom.
Afin de rendre hommage à ce ser Cherge, ce cher Gers, ce cher Serge, pardon ma langue a Pierre Reppé, je pris la direction de la rue de Verneuil où Serge gît et lopez le pour et le contre de sa vie à se gainsbourrer la gueule, et où flotte encore son âme et cætera.
Á peine arrivé sur le pas de la porte entrou-bleue, c'est comme entrou-verte pour les daltoniens, quelques notes échappées d'une portée à clé-de-sol me mènent dans le salon où je découvre Serge au piano-bar à jouer Chopin, clopant.
M'apercevant, il s'inter-rompt-comme une queue de pelle. Á le voir ainsi j'ai du mal à croire que cela fait déjà 25 ans que cet homme épique et Polygram, grand compositeur de musique, soûl, s'en est allé rejoindre Prévert dans les champs-de-son. Me prenant au-mot, oui, j'aime cet homme, il me mena alors à sa chambre et me confirme que Serge s'est bel et bien Gainsbarré, même si ce n'était point son heure sur ce lit là.
Décontenancé, j'essaie de détendre l'âme-austère et décide alors de parler avec Serge l'amant, de ses petites fans-depuis Gall jusqu'à Bardot. Mais quand j'évoque Initials BB-Fu*ck! Me répond-il. Dieu sait pourquoi, Serge n'était pas dans l'humour de la vanne. En revanche, et parce que ça, la muse, il connaît, il me demande des nouvelles non pas des étoiles, mais de Vanessa, si loin de lui et aussi Demouy, car tout ce qui touche à Paradis l'atteint.
le 18-02-2016 16:18
le 18-02-2016 16:53
Trois employés de la même boîte sortent déjeuner : la secrétaire, un commercial, et le DRH.
Sur un banc ils trouvent une lampe à huile.
Hilare, le commercial la frotte et ... Un génie en sort.
-D'habitude, j'exauce les trois voeux de la personne qui frotte ma lampe, mais là, vous êtes trois, alors je vous donne un vœu à chacun ....
La secrétaire dit : je voudrais passer le reste de mes jours à boire du nessepressoooo avec Georges Clooney. Et hop, elle disparaît.
Mince, dit le commercial : moi, je voudrais rouler sur la route 66 en Porsche avec Rihanna, et que celà ne s'arrête jamais . Et hop, il disparaît.
Le DRH frotte la lampe à son tour et dit ; "Eh, génie, ramène moi ces deux rigolos à la fin de la pause déjeuner!".
Moralité : En réunion, laissez toujours votre chef s'exprimer en premier, çà vous évitera bien des désillusions .....
le 18-02-2016 17:07