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Le fil des pavés tous azimuts.

Tout d'abord, la formule de politesse of course.

 

.

 

Ce fil afin de ne pas envahir les autres avec les pavés dont je suis coutumier. Si l'envie vous en prend, vous pouvez également en poster, ils seront les bienvenus.

 

Vous pouvez, bien entendu, chouiner si vous n'êtes pas d'accord avec les écrits. Toute contestation sera prise en considération. Homme clignant de l'œil

 

Á chaque pavé, j'indiquerai l'auteur(e) des écrits, ce qui vous permettra éventuellement de lui envoyer des lettres de menaces, d'insultes, voire des colis piégés.

 

En tout état de cause, si vous voulez participer, la porte est :

 

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513 RÉPONSES 513

Le fil des pavés tous azimuts.

                                              A TOUS LES AMOUREUX DES FORUMS,

 

                                                      des plus JEUNES aux plus ANCIENS...

 

                                        

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Le fil des pavés tous azimuts.

@serpentlaineux

 

LA VACHE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

Qu'est-ce que ça fait du bien de se marrer comme ça de bon matin.

 

.  .  .

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Le fil des pavés tous azimuts.

Bonjour Lekandid content.gif1.gif

 

J'aime beaucoup aussi... je voulais en faire profiter tout le monde c.gif...

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Le fil des pavés tous azimuts.

Bonjour SL,

 

Je confirme ce que j'ai dit :commencer une journée en lisant ça, que du bonheur. Cœur

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Le fil des pavés tous azimuts.

Les tous débuts de l'informatique :

 

Extrait d'un journal trouvé près d'une poubelle au pavillon Ignace-Bourget. L'auteur est hélas inconnu.

 

 

12 octobre Les collègues du département ne cessent de se moquer de moi parce que je prépare mes examens au stylo et que je les fais dactylographier au secrétariat. Ils tournent en ridicule les documents que je remets aux élèves car les graphiques faits à la main sont toujours flous. Et je sens que la préparation des bulletins ne sera pas rose, moi qui ne me sers que du calcul mental et d'une petite calculette.

 

5 novembre La pression est trop forte. C'est décidé. Je m'achète un ordinateur. On n'arrête pas de me dire combien cela va m'économiser de travail. Reste à savoir si ce sera un Mac ou un PC. Tout ce que je sais, c'est l'argent que je peux y consacrer: 4000$.

 

13 novembre Ça y est. J'ai pris le virage technologique. Si tout va bien, la vie facile commence.

 

14 novembre J'ai réussi à allumer le tout, et à taper un petit texte. Mais l'imprimante n'a imprimé que des hiéroglyphes. Le beau-frère de mon voisin qui, paraît-il, s'y connaît, doit venir demain.

 

15 novembre Le beau-frère est venu. C'était un problème de police (?). Rien compris à ce qu'il a dit. Je peux imprimer, mais le souligné ne fonctionne pas. Je téléphone au vendeur. Je vais préparer mon examen à la main après tout. Ça semble plus sûr.

 

16 novembre Il paraît que l'ordinateur n'a pas assez de mémoire, et que je dois dépenser un autre 500$. Je n'ai pas le choix. J'ai sorti ma vieille Remington du placard.

 

21 novembre J'ai repris possession de « la bête ». Il n'y a qu'un petit problème avec certains accents, mais tout va bien.

 

23 novembre Un collègue m'a donné une copie d'un logiciel de dessin. Il paraît que ça coûte 800$ et que ça dessine quasiment tout seul. J'ai réussi à faire un cercle (pas tout à fait rond) et à le remplir de bleu. Ai terminé le test sur la Remington, après avoir perdu cinq heures.

 

24 novembre Ai passé la soirée à essayer de placer une image dans le texte. C'est toujours trop à gauche ou trop à droite, et le fond est foncé alors que je le veux pâle. Il paraît que cette version ne permet pas ça, mais qu'une mise à jour s'en vient. J'ai fini le travail avec des ciseaux et de la colle.

 

26 novembre Ai préparé l'examen final sur l'ordinateur, mais il y a eu un problème à la sauvegarde et j'ai tout perdu. Un collègue m'a dit que c'était fréquent. Il m'a donné un logiciel pour faire des copies de sauvegarde. J'ai dû formater 13 disquettes. Je pense que je vais préparer l'examen sur la Remington.

 

30 novembre Je passe tout mon temps à mon ordinateur, ce qui fait que je néglige mon journal. Je téléphone sans cesse à mon collègue-qui-connaît-ça. Ma plus grande victoire est que je ne déplace plus la souris jusqu'au bord de mon bureau. (La « boule » est sortie de la souris lorsque je l'ai échappée hier.) J'écris en fait beaucoup moins qu'avant, car je passe le plus clair de mon temps à essayer de faire marcher la patente.

 

12 décembre Ai installé une nouvelle version du traitement de textes. Les quelques documents que j'avais réussi à sauvegarder ont disparu. Paraît que ça arrive parfois lors de mises à niveau de logiciels. Mon collègue-qui-connaît-ça m'a dit de ne pas m'en faire. Lui aussi a souvent perdu des documents (il ne me l'avait jamais dit, évidemment). La Remington trône à côté de l'ordinateur. Je tape tout sur la machine à écrire.

 

20 décembre Je suis passé à un cheveu de m'acheter un « scanner » pour Noël. « C'est magique », m'a dit le collègue-qui..., avec la voix de Jojo Savard. « Tu prends un texte, tu le passes dans la machine (?), et ça devient un fichier que tu récupères dans ton traitement de textes ». Jusqu'à maintenant, la seule magie informatique que j'ai vue faisait plutôt disparaître qu'apparaître du texte. J'ai décidé de m'acheter un lecteur CD-ROM plutôt. Un modèle « plug'n'play », car je ne veux pas avoir de problèmes d'installation. J'ai hâte au 25!

 

25 décembre Ai passé la journée à essayer de faire fonctionner le CD-ROM. Comme le collègue-qui... et le beau-frère du voisin fêtent en famille, je me suis retrouvé seul à pleurer au milieu du salon.

 

27 décembre Ai calculé les notes de mes élèves. Voyant qu'ils échouaient tous, je me suis douté de quelque chose... Mes formules étaient inexactes. Mon collègue-qui... est venu m'aider. Je commence à me méfier sérieusement. Ai tout vérifié avec ma calculette, au cas où...

8 janvier Mon ordinateur n'accepte pas que je tape PIEA. Si ces quatre lettres se suivent dans un texte, tout s'arrête. Je me méfie de plus en plus, et commence à en avoir ras-le-bol!

 

24 janvier Ai vendu mon ordinateur il y a quatre jours, la moitié du prix payé. Mon collègue-qui... m'a dit que c'était normal de perdre de l'argent à la vente. Un processeur plus puissant est sorti, ce qui rendait le mien « obsolète » (?). Me suis acheté la plume Mont-Blanc qui me tente depuis 12 ans. Je m'aperçois que j'ai maintenant le temps d'écrire et que ce que j'écris ne disparaît plus de la surface du globe.

 

(La suite du journal est manquante).

 

 

 

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            DE FUNÈS/CLAUDE FRANÇOIS.

 

Alors, c'est toujours bon à savoir, donc savons-le ensemble (cherchez pas, c'est une conjugaison qui m'est propre à moi), mais le 27 janvier dernier Louis Germain David de Funès de Galarza pour l'état civil, ou Louis El'dinFunès pour l'état Cyril, ou encore Louis le Funeste pour ceux qui trouvent ça triste, enfin lundi quoi, cela faisait 31 ans que Fufu fut, quittant ainsi l'écran de ce monde à l'âge de 68 ans.

 

Parce que c'était Louis, parce que c'était moi, un peu de Boétie ne fait pas de mal. Je voulais évoquer la folie des grandes heures avec celui qui incarnat Rabbi Jacob, jadis symbole de tolérance, et qui aujourd'hui ne provoque plus que des tollés rances.

 

Me recueillant alors au panthéon du cinéma où il repose aux côtés de Jean Gabin, Jean Marais, Jean Lefèvre ou Jean Carmet, il aurait pu tomber pire-Louis. Je dus renoncer, car bien vite je fus perdu au milieu de tous ces Jean. Réalisant que mon panthéon était un peu décousu, je me mis en-quête exclusive de Cloclo qui aurait fêté ses 75 ans le 1er février dernier. Un anniversaire qui aurait certainement fait grand bruit s'il n'avait fini comme Véronique, sans son.

 

Faisant alors jouer mon réseau, j'appris qu'il résidait à 4G de pierre de là. C'est donc tout content, sur un petit nuage, que je rencontrai Cloud François à Dannemois, où il vivait dans un Moulin-avant qu'il soit racheté et rebaptisé Par Enrico Macias :"Moulin de Danne-Dannemoi-ah-ah-Danne-Dannemoi".

 

Arrivé à la porte de la maison, close, Sûrement sur l'ordre de Madame, je fus accueilli par un Clodo et une Clodette fumant des cloclopes, qui se proposent de me servir de guide, et comme j'avais pas fait tout ce chemin pour me tailler, je les suis. Les suit-tout d'ailleurs, car j'étais au bout du rouleau.

 

Chemin faisant, ils me font alors découvrir la ferme du bonheur, sa grange, ses poules, là-bas ses vaches alors que cet âne est là, au détour d'un champs-de-son et je découvre enfin le Claude en train de donner la denrée à ses chèvres qui bêlent bêlent bêlent. Les main moix, je me précipite à sa rencontre, et même si le style est un peu ampoulé, je suis ébloui de le voir si étincelant dans ses habits de lumière.

 

Sentant sous la pluie que le courant passe bien entre nous, je m'applique à ne pas le froisser et lui propose de nous mettre dans le bain de la discussion. Il refuse aussi sec et m'invite plutôt à le suivre au bar de la piscine afin de Saluer les Copains. Là je découvre Gainsbourg au bar accoudé, ba-ra-cou-dé, pendant que Carlos raconte des histoires de Dolto entre deux bombes dans la piscine et que Dalida fait des Bécaud à Gilbert. Plus loin je reconnais Chacha, enfin Sacha disent-elles, qui fait un show près de la mare, tout content d'avoir pêché un cageot de carpes-entier. Il n'arrêtait pas de faire des bonds de joie, au point de me faire la réflexion :"Mais va-t-il s'asseoir ou jamais?"

 

Á un moment, tandis que Claude observe pensivement les magnolias, faux rêveur, il m'avoue que son grand regret aura été sa rupture fracassante avec France Gall, alors qu'elle méritait juste-un bris-doux. C'est peut-être pour ça qu'elle est allée tâter du bâton de Berger. Lorsque je lui demande s'il n'est pas un peu frustré d'avoir fait péter les plombs, je sais, c'est glauque François, il se met à fredonner "Écoute, ma main est près de toi", histoire de me faire gentiment comprendre que je vais m'en prendre une si je continue à lui poser ce genre de questions et que d'ailleurs je devrais plutôt prendre exemple sur Mike Brant, qui lui sait quand il faut s'écraser.

 

Tandis que nous nous engageons dans l'allée, il me confie ne rien regretter, car grâce à l'amour de toutes ses fans il demeure un chanteur mâle heureux.

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Onze idés fausses avec lesquelles nous nous martyrisons.

 

  • Il est essentiel que je sois aimé ou approuvé par presque chaque personne avec laquelle je rentre en contact.
  • Je dois être complètement efficace, suffisant, et capable de réussir dans tous les domaines afin de me considérer comme ayant une valeur intrinsèque.
  • Certaines personnes sont méchantes, mauvaises, elles doivent être sévèrement blâmées et punies pour leur méchanceté.
  • C'est terrible et catastrophique quand les choses ne sont pas telles que je les désire.
  • Mon malheur est causé par les circonstances extérieures et j'ai peu de capacités ou aucune pour contrôler mes tristesses, troubles ou perturbations.
  • Devant un danger irréel ou problable, je dois être inquiet et réfléchir continuellement sur la possibilité de sa réalisation.
  • Il est plus facile d'éviter que d'affronter certaines difficultés de la vie et certaines responsabilités par rapport à moi-même.
  • Je dois être dépendant des autres et j'ai besoin de quelqu'un de plus fort que moi sur lequel m'appuyer.
  • Mon passé détermine mon comportement actuel et ce qui m'a profondément affecté jadis doit avoir indéfiniment sur moi un effet similaire.
  • Je devrais être troublé par les problèmes et les perturbations des autres.
  • Il y a certainement une solution exacte, juste et parfaite aux problèmes humains et ce serait catastrophique si cette solution n'était pas trouvée.

(Extraits des ouvrages de Albert Ellis)

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Le fil des pavés tous azimuts.

Afficher l'image d'origine!!!!!!!

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LES NOUVEAUX MÉDECINS DE CAMPAGNE.

 

Qu'est-ce qu'un travailleur qui vit entièrement de l'argent public? Un fonctionnaire. Qu'est-ce qu'un fonctionnaire sans chef de service? Un toubib. Et qu'est-ce qu'un toubib devant qui il faut s'agenouiller pour qu'il accepte de bosser? Un nouveau médecin de campagne. Voilà que ces dernières années ces messieurs dames aux études pratiquement intégralement payées par nos impôts, d'un coût de120.000 euros en moyenne pour un généraliste, ont décidé de s'installer uniquement dans les grandes villes et particulièrement là où le soleil brille. Certes, le médecin préfèrera toujours la clientèle âgée et fortunée qui lui garantit un revenu régulier comme à Nice, Cannes ou Menton, où il y aura bientôt plus de médecins que de patients… Mais il consent néanmoins à s'occuper d'une clientèle moins lucrative si l'environnement lui convient. Boîtes de nuit, universités, copains à proximité et pas trop de misère. Et la campagne est chi@nte, il faut le reconnaître. Ces fonctionnaires de la santé qui se sont baptisés "médecins libéraux" alors qu'ils ne vivent que sur l'argent de la Sécu ne se privent pas, et contre toute morale, de temps en temps, d'arrondir leurs fins de mois en dépassant les plafonds autorisés par la Sécu pour palper plus encore. C'est facile puisque dans la santé, comme dans la mort, les clients sont désemparés, fragilisés et plus que tout maintenus dans l'ignorance par une profession qui continue de faire semblant de détenir un savoir magique et un pouvoir de vie et de mort sur le pauvre pékin! Alors que d'autres agents de l'État tels que flics, gendarmes, profs, sont contraints d'aller là où on a besoin d'eux, les toubibs se réfugient derrière leur profession libérale pour faire un marchandage immonde avec le pouvoir soucieux de limiter les déserts médicaux en France. La partie est facile dans la mesure où l'ensemble des professions médicales est majoritaire devant les profs à l'Assemblée Nationale, le lobby est tout puissant et obtient à peu près tous les avantages qu'il désire. L'essentiel étant qu'on leur f0ute la paix pour faire ce qu'ils veulent avec notre pognon. Soigner qui ils veulent, accepter ou refuser les patients bénéficiaires de l'AME ou de la CMU, organiser leur temps de travail, s'installer où bon leur semble, traiter en direct avec les labos, participer aux colloques qui les intéressent, se former s'ils le veulent et ne pas lire les revues qui dénoncent les médicaments dangereux.

 

Ces assistés ne veulent donc plus s'installer à la campagne! Cette bonne blague! Trop de pauvres et pas suffisamment d'amusements dans le coin. On compatit. Alors au lieu de simplement leur imposer là où ils manquent, comme à n'importe quel autre de ses agents, l'État, toujours courageux, leur propose des ponts d'or injustifiés. Des primes d'installation, des incitations fiscales, des prêts délirants. Mais le plus extraordinaire, le plus surréaliste nous vient des socialistes au pouvoir qui sont prêts quant à eux à filer carrément un salaire minimum à ces libéraux! Et pas le SMIC hein! 4.500 euros! Les médecins devraient refuser et exiger, qu'en plus de cette obole, ils aient accès à un harem, une Ferrari et huit masseuses thaïlandaises.

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POUR LES FILLES, COMMENT SAVOIR QU'IL FAUT FUIR CETTE SOIRÉE?

 

  • Tout le monde est bourré…. sauf vous.

 

  • Personne n'est bourré…Sauf vous

 

  • Vous êtes la seule personne déguisée.

 

  • Il n'y a plus rien à boire à 23:00.

 

  • Il n'y a que des célibataires et vous allez encore passer pour la meuf chi@nte qui traîne son mec partout.

 

  • On vous demande de quitter vos chaussures à l'entrée.

 

  • On vous demande de parler "un peu moins fort".

 

  • Il n'y a que des couples, vous êtes la seule célibataire…L'horreur.

 

  • Les mecs de la soirée ont commencé à enlever leurs tee-shirts. (Exception faite des rugbymen du Sud-Ouest qui, eux, ont le droit. C'est même fortement recommandé).

 

  • Quelqu'un a changé la musique alors que vous commenciez à entamer votre fameuse chorégraphie sur "Toxic" de Britney Spears.

 

  • L'hôtesse a décidé de vous montrer ses albums de vacances "avec les cousins à la Baule".

 

  • Les invités bossent tous dans la même boîte et ont beaucoup d'anecdotes sur "Gilles de la compta".

 

  • Il s'agit d'un buffet végétarien en faibles calories.

 

  • Alors que vous avez mis votre robe spéciale NRJ Music Awards…Tout le monde est en short et en espadrilles.

 

  • L'un des invités a décidé d'improviser un slam.

 

  • Les invités sont tous nus et portent des masques de catcheurs mexicains.

 

 

                                    FUYEZ!!!!!!!!!!!!

 

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Petits pavés du matin , bon appétit jj

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En c/c, quelques épitaphes:

 

EPITAPHE : N.M. : Quelques vers sur beaucoup d'autres... (Léo Campion)
 
Vu sur la tombe d'un dentiste :
"Ce fût la dernière cavité qu'il a remplie"
 
 
De Sacha Guitry à Yvonne printemps :
Sur votre tombe on mettra pour épitaphe "enfin froide"
Réponse de la dame : Et sur la vôtre, on mettra "enfin raide"
 
 
Epitaphe d'un hypocondriaque :
"je vous l'avais bien dit que j'étais malade"
 
Sur la tombe d'un marchand de tissu
Ci-git Issac Rubinstein
1941 - 19....
Mais la vente continue
12, rue du rosier...
Paris
 
Anonyme
Versez sur ma mémoire chère
Quelques larmes de chambertin
Et sur ma tombe solitaire
Plantez des soles... au gratin.

Charles Monselet pour Richelieu
Ci-gît un fameux Cardinal,
Qui fit plus de mal que de bien,
Le bien qu'il fit, il le fit mal,
Le mal qu'il fit, il le fit bien.

Anonyme
La Marquise de Pompadour
Ci-gît qui fut vingt ans pucelle,
Quinze ans put@in et sept ans maquerelle.

Anonyme
Pour Robespierre
Passant, ne pleure pas ma mort
Si je vivais tu serais mort.

Anonyme
Ci-gît ma femme :
Oh ! Qu'elle est bien,
Pour son repos et pour le mien !

Jacques de Lorens sur un critique
Lorsque, mort, dans la terre, on portera tes os,
Pour la première fois, on verra qu'un cadavre
Peut dégoûter les asticots

Pétrus Borel pour un banquier
La dernière échéance lui fut fatale.
 
A ma belle mère
Si elle monte au Paradis,
Il n'y aura bientôt plus que deux enfers.
 
A mon épouse
Elle ne voulait que mon bonheur
Sa mort l'a bien prouvé
Ci-gît ma femme, grâce à Dieu
Cette furie perpétuelle
Empoisonna ma vie.
Passant, écoute mon avis :
Avant qu'elle ne te querelle,
Quitte prudemment ces lieux.
 
Ci-gît un poète
Entré sans sonnet
 
Pour un bègue :
Pour lui la réalité dépassa toujours la diction
 
Pour un avare :
Ci-gît dessous ce marbre blanc
Le plus avare des hommes de Rennes
Qui mourut tout exprès le dernier jour de l'an
De peur de donner des étrennes.
 

 

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D'autres épitaphes :

 

Au Père-Lachaise
A mon mari, mort après 1 an de mariage.
Sa femme reconnaissante
 
Pour un postier :
Parti sans laisser d'adresse
 
Epitaphe trouvée sur une urne funéraire :
"Paix à mes cendres : ne pas éternuer"
 
Epitaphe trouvée dans un cimetière de Louisiane :
"Je reviens dans 5 minutes"
 
Epitaphe d'un pétomane
"Pet à son âme" -- Frédéric Dard
 
Epitaphe sur la tombe d'un insomniaque :
"Je suis guéri"
 
 
Quelques-unes en vrac.
 
"Bouge de là. T'as les pieds sur ma tombe"

"Si vous pouvez lire ceci, c'est probablement que vous êtes debout sur ce qui reste de moi"

"N'oubliez pas d'arroser les fleurs"

"Un autre a mordu la poussière - Queen"

"Vous pourriez parler moins fort. On essaie de dormir ici !"

"Laissez tomber les fleurs. Apportez-moi plutôt une bière"

"Je reviendrai..."

"Je ne suis pas là pour le moment, mais vous pouvez laisser un message après le HouOUUou "

"Aidez-moi... Aidez-moi....laissez-moi sortir..."

"Veuillez avoir l'obligeance de retirer les crottes de chiens et de chats de ma tombe si vous en voyez. Merci. "

"J'entends qu'ils font la bringue deux tombes plus loin, quel dommage que je ne puisse pas y aller..."

"Comme je voudrais t'avoir avec moi"

"Les voisins sont pas mal, mais la télé câblée me manque"
 

"Ci-gît ma femme dans son écrin de terre;

Qui de sa vie n'a rien fait qu'à râler
Mes amis marchez sans bruit faire
De peur qu'elle ne se remette à jaser"

 

 

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Allez, un 3ème pavé pour ce matin, et après, on se calme.

 

Best of presse.

 

Très gravement brûlée, elle s'est éteinte pendant son transport à l'hôpital. (Dauphiné Actualité)
 
Des trous dans sa culotte laissaient entrevoir une famille pauvre. (Le Parisien)
 
La conférence sur la constipation sera suivie d'un pot amical. (Ouest-France)
 
Il abusait de la puissance de son **bleep** pour frapper son ex-épouse.
 
Ses hémorroïdes l'empêchaient de fermer l'oeil.
 
Il y aura un appareil de réanimation dernier cri.
 
En raison de la chaleur, les musiciens ne porteront que la casquette de l'uniforme. (Ouest France)
 
L'individu n'était pas à prendre avec du pain sec.
 
M. Jean C. remercie chaleureusement les personnes qui ont pris part au décès de son épouse.
 
Ses dernières paroles furent un silence farouche.
 
L'église étant en travaux, ses obsèques ont été célébrées à la salle des fêtes.
 
Tous portaient une crêpe à la boutonnière.
 
Comme il s'agissait d'un sourd, la police dut pour l'interroger avoir recours à l'alphabet braille.
 
Détail navrant, cette personne avait déjà été victime l'an dernier d'un accident mortel.
 
Quand vous doublez un cycliste, laissez-lui toujours la place de tomber. (Le Républicain Lorrain).
 
Les mosquées sont très nombreuses car les musulmans sont très chrétiens.
 
Il remue la queue en cadence comme un soldat à la parade.
 
Tombola de la Société Bayonnaise des Amis des Oiseaux : le numéro 5963 gagne un fusil de chasse.
 
A aucun moment le Christ n'a baissé les bras. (Le Paroissien de Lamballe)
 
Le syndicat des inséminateurs fait appel à la vigueur de ses membres.
 
Les kinés se sont massés contre les grilles de la préfecture. (Presse Océan)
 
Visiblement, la victime a été étranglée à coups de couteau. (Journal du Dimanche)
 
A Montaigu, la fête du 1er mai aura lieu le 1er mai. (Le Rouge Choletais)
 
Journée du sang : s'inscrire à la boucherie. (Presse Océan)
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Un peu de sérieux pour changer.

 

 

                          CEUX QUI CROIENT Á LA CRISE.

 

Dans tous les dicos, la crise est un état passager, une sorte de paroxysme d'un malaise avant un retour à la normale, du genre, "après la pluie le beau temps" ou "après la guerre, la paix". Donc, pour ne pas trop nous affoler, les politiques, les journalistes et les fameux experts nous disent : "tenez bon, après la crise ça ira mieux", mais c'est un gros mensonge mesdames messieurs. Après la crise, la crise! Car cette crise n'est pas une perturbation ponctuelle due à un problème de banqueroute, de déficit soudain, de chute de l'immobilier ou des valeurs boursières. Non! Cette crise est notre nouveau contexte pour les deux décennies à venir. Nous assistons en effet à un réel basculement des paradigmes économiques dans lequel, depuis vingt ans, les pays émergents ont sombré. Il y a redistribution des cartes de la puissance, de la gouvernance du monde, des échanges commerciaux, des cerveaux et de la créativité. La France ne traverse pas, à côté des autres mini pays européens, une mauvaise passe dont elle sortirait comme en 29 pour repartir de plus belle. La France et ses copines sont devenues des petits pays sans envergure, sans industries et sans innovations, pour trouver une petite place où les géants du monde nous permettront de survivre. Producteur de vins fins, de délicieux fromages, pays de la poule au pot et du foie gras, la France a quelques qualités qu'il va nous falloir préserver et exploiter. Notre pays peut être un merveilleux pays pour le tourisme, une sorte de musée en plein air avec ses plages, ses forêts, ses châteaux et ses jolies filles en maillot de bain. Mais honnêtement, faites un trait sur son industrie, ses voitures, ses avions, ses moteurs…Nous garderons les usines que les grandes puissances accepteront de nous laisser pour des raisons de facilités d'exportation. Nos enfants émigreront très logiquement pour étudier et pour travailler là où il y aura de l'emploi et du mouvement. Ce n'est plus aussi terrible que ça l'a été pour ceux des pays pauvres venus en France. L'Europe aurait pu être une bonne alternative mais on voit que cette séduisante chimère ne sera jamais une réalité autrement que pour faire l'amour et apprécier la diversité de nos cuisines, et que les pays du Nord auront été incapables d'empêcher Goldman Sachs d'avaler tout cru la Grèce, le Portugal et l'Espagne pour commencer. Vous pensez sans doute que j'en rajoute, que j'exagère, que je panique pour rien, mais je peux vous jurer sur la tête de la Centrale de Flamanville que nos politiques sont parfaitement conscients de tout cela mais continueront de se prendre pour Zorro en promettant de sauver les entreprises, l'emploi, les sites industriels et les acquis sociaux. Pourtant, chaque jour, la France perd 1.000 emplois dans l'industrie. Mille vrais boulots de création de richesse parfois compensés par quelques ouvertures d'emplois de services, d'auto-entreprises, de fonctionnaires ou de CDI dans le commerce et la vente. Notre vie va changer dans les vingt ans à venir et le fait de passer d'un pays dominant à un pays en sous-dépendance économique ne va pas être simple pour tout le monde, mais cela se fera naturellement pourvu que nos dirigeants cessent de nous mentir et ne se fassent plus élire sur de fausses promesses : retrouver une France forte, une France dominante, une France conquérante, etc.

 

C'est fini et ce n'est peut-être pas plus mal.

 

(Étienne Liebig.)

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                    QUELQUES BRÈVES DE COMPTOIR.

 

 - Ma femme peut pas me quitter, je suis jamais là !

- A la naissance le nain est normal, c'est en grandissant qu'il rapetisse.

- Ca m'inquiète de prendre la voiture bourré mais en ce moment j'ai pas le choix, je suis tout le temps bourré.

- Ce qui ne va pas dans la société, c'est les gens.

- En moto, tu peux boire plus qu'avec la voiture, le vent ça dessoûle.

- Faudrait lui passer la cervelle au Karcher tellement il est c0n.

- Il a perdu son taxi parce qu'il buvait trop, maintenant il est chauffeur de car en Bretagne.

- Il faudrait qu'à l'auto-école on nous apprenne à conduire bourrés, on apprend bien la conduite sur glace.

- J'étais ivre mort et j'ai pas pris ma bagnole... C'est bien, non ?

- Je n'achète rien quand c'est fabriqué par des enfants du tiers-monde, ça se casse tout de suite.

- Je serais chercheur, moi je saurais pas quoi chercher.

- Je suis chômeur occasionnel et en ce moment c'est l'occasion.

- Je suis le plus grand auteur maudit, j'ai jamais écrit une ligne.

- L'apéritif concert, j'y vais pour la musique parce que de l'apéritif j'en ai à la maison.

- La forme de l'eau, on la sait quand ça gèle.

- Le naturisme, sur le dépliant c'est des jeunes filles à poil sur la plage mais quand tu y es, c'est que des retraités de la SNCF.

- Les livres, j'aime pas le sujet.

- Les peintures de Lascaux on trouve ça génial, mais si ça se trouve à l'époque personne en voulait chez lui.

- Quand on voit ce que consomment les bagnoles, c'est pas un exemple pour les chauffeurs.

- Quand tu tues ta femme, c'est pas la peine de prendre la fuite, elle va pas te courir après.

- Si c'est toi qui décide de boire, c'est pas comme un microbe. Si c'est le microbe qui décide, c'est une maladie.

- Tant qu'elle est pas ouverte, l'huître sait pas qu'elle est dans la cuisine avec des gens qui la regardent.

- Une journée sans voiture ! T'as vu le b0rdel ? Des embouteillages partout ! Dans ce cas-là qu'ils fassent une journée sans pognon !

- Y faudrait un distributeur d'apéros dans le mur pour quand ça ferme, pareil que les banques !

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Tiens, un petit peu de Stéphane de Groodt.

 

 

                SERGE GAINSBOURG.

 

Alors je ne sais pas si vous êtes au courant, ou eau courante vu que ça ne coule pas de source, mais en ce dimanche 30 février 2016 ou 2 mars si vous êtes révolté du Bounty, 92 décembre 2015 si vous n'avez toujours pas envoyé vos vœux, bref en cette fin de mois dernier et début de mois prochain pour faire simple, cela fait 25 ans plus que des nouvelles, vagues, du beau Serge, Lucien Ginsburg de son vrai nom, Gainsbarre de son surnom, ou tout bêtement Gainsbourg de son renom.

 

Afin de rendre hommage à ce ser Cherge, ce cher Gers, ce cher Serge, pardon ma langue a Pierre Reppé, je pris la direction de la rue de Verneuil où Serge gît et lopez le pour et le contre de sa vie à se gainsbourrer la gueule, et où flotte encore son âme et cætera.

 

Á peine arrivé sur le pas de la porte entrou-bleue, c'est comme entrou-verte pour les daltoniens, quelques notes échappées d'une portée à clé-de-sol me mènent dans le salon où je découvre Serge au piano-bar à jouer Chopin, clopant.

 

M'apercevant, il s'inter-rompt-comme une queue de pelle. Á le voir ainsi j'ai du mal à croire que cela fait déjà 25 ans que cet homme épique et Polygram, grand compositeur de musique, soûl, s'en est allé rejoindre Prévert dans les champs-de-son. Me prenant au-mot, oui, j'aime cet homme, il me mena alors à sa chambre et me confirme que Serge s'est bel et bien Gainsbarré, même si ce n'était point son heure sur ce lit là.

 

Décontenancé, j'essaie de détendre l'âme-austère et décide alors de parler avec Serge l'amant, de ses petites fans-depuis Gall jusqu'à Bardot. Mais quand j'évoque Initials BB-Fu*ck! Me répond-il. Dieu sait pourquoi, Serge n'était pas dans l'humour de la vanne. En revanche, et parce que ça, la muse, il connaît, il me demande des nouvelles non pas des étoiles, mais de Vanessa, si loin de lui et aussi Demouy, car tout ce qui touche à Paradis l'atteint.

 

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Le 1er janvier de cette année, une banque souhaitait mettre en fonction des terminaux-distributeurs de billets de banque de type Drive-Thru. Ces systèmes allaient permettre de retirer de l'argent rapidement et bien entendu sans descendre de la voiture. Cependant après une période de test, il est apparu que l'utilisation du terminal par une certaine catégorie de personnes allait engendrer des embouteillages monstres aux abords des bornes en question. La gendarmerie a donc décidé d'interdire l'installation de ce type de terminal. La Gendarmerie a constaté 2 procédures d'utilisation : la première ne posait pas de problème mais c'est la deuxième qui a engendré son veto.
 
 
PROCEDURE MASCULINE

1) Approcher le véhicule du distributeur
2) Baisser la vitre
3) Introduire la carte bancaire dans le lecteur et taper le code secret
4) Sélectionner la transaction souhaitée
5) Retirer la carte
6) Prendre les billets et le ticket
7) Fermer la vitre
😎 Repartir
 
PROCEDURE FEMININE

1) Approcher le véhicule du distributeur
2) Faire une ou deux manoeuvres pour aligner la vitre de la voiture devant le terminal
3) Redémarrer le moteur qui a calé pendant la manœuvre
4) Baisser la vitre
5) Trouver le sac à main et vider le contenu sur le siège passager pour trouver la carte bancaire
6) Localiser le porte-cartes et contrôler le maquillage dans le rétroviseur
7) Une ou deux tentatives pour introduire la carte dans le lecteur
😎 Ouvrir la portière pour faciliter l'accès au distributeur en raison de la distance excessive entre le véhicule et le terminal
9) Introduire la carte bancaire
10) Réintroduire la carte bancaire dans le sens exact
11) Retourner le contenu de la boîte à gant sur le siège passager pour trouver le code secret écrit sur la couverture de l'agenda
12) Taper le code secret
13) Appuyer sur CANCEL et réintroduire le code correct
14) Sélectionner la transaction souhaitée
15) Re-contrôler le maquillage dans le rétroviseur extérieur
16) Prendre les billets et le ticket
17) Trier le contenu du siège passager pour trouver le portefeuille et y placer les billets
18) Mettre le ticket dans la boîte à gants
19) Contrôler de nouveau le maquillage dans le rétroviseur
20) Démarrer et parcourir 2 mètres
21) Faire marche arrière jusqu'au distributeur
22) Reprendre la carte bancaire
23) Retirer le contenu du siège passager pour retrouver le porte-cartes
24) Mettre la carte bancaire dans la pochette prévue à cet effet
25) Re-contrôler le maquillage
26) Redémarrer le moteur qui a calé pendant l'opération de recherche du porte-cartes
27) Rouler 5 à 6 kilomètres
28) desserrer le frein à main
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Anonymous
Non applicable

Trois employés de la même boîte sortent déjeuner : la secrétaire, un commercial, et le DRH.

Sur un banc ils trouvent une lampe à huile.

Hilare, le commercial la frotte et ... Un génie en sort.

-D'habitude, j'exauce les trois voeux de la personne qui frotte ma lampe, mais là, vous êtes trois, alors je vous donne un vœu à chacun ....

La secrétaire dit : je voudrais passer le reste de mes jours à boire du nessepressoooo avec Georges Clooney. Et hop, elle disparaît.

 

Mince, dit le commercial : moi, je voudrais rouler sur la route 66 en Porsche avec Rihanna, et que celà ne s'arrête jamais . Et hop, il disparaît.

 

Le DRH frotte la lampe à son tour et dit ; "Eh, génie, ramène moi ces deux rigolos à la fin de la pause déjeuner!".

 

Moralité : En réunion, laissez toujours votre chef s'exprimer en premier, çà vous évitera bien des désillusions .....

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