Tout d'abord, la formule de politesse of course.
Ce fil afin de ne pas envahir les autres avec les pavés dont je suis coutumier. Si l'envie vous en prend, vous pouvez également en poster, ils seront les bienvenus.
Vous pouvez, bien entendu, chouiner si vous n'êtes pas d'accord avec les écrits. Toute contestation sera prise en considération. 
Á chaque pavé, j'indiquerai l'auteur(e) des écrits, ce qui vous permettra éventuellement de lui envoyer des lettres de menaces, d'insultes, voire des colis piégés.
En tout état de cause, si vous voulez participer, la porte est :
Triste nouvelle ! 
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Je me rappelle avoir épinglé, il y a fort longtemps, ce texte sur un certain panneau d'affichage d'une certaine salle... il n'a pas pris une ride 
Re bsr,
Triste nouvelle !
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Vraiment désolé pour ce post qui ne veut plus rien dire, dans sa forme actuelle ! 
Tristement amputé, pour deux mots qui le composait, très correct cependant, mais le " rob*t "
en a décidé autrement ? Inutile donc de se prendre la tête avec une machine programmée bête*ent !
Bonne continuation à toutes et tous. 
J'me rappelle plus où j'ai trouvé ce texte, si c'est dans un bouquin à moi ou un c/c sur la toile, ni de l'auteur. 
Je me sens de plus en plus écœuré de l'actualité chaque jour qui passe, mais tout à fait déterminé quant à ces états de faits, dans la mesure où j'y suis préparé, et que j'ai toujours suivi ma voie, sans courber l'échine... L'actualité au quotidien pourrait plonger bien des gens au suicide, tant elle est gravissime, un peu plus chaque jour. Mais au contraire, elle pousse au mépris, lorsqu'on sait depuis longtemps que ce monde n'est qu'une illusion! Le monde et la vie ne sont pas un rêve, il existe bel et bien mais tel qu'il est proposé à l'être humain c'est une illusion, un leurre une sorte de monde virtuel pour étouffer la vérité en maintenant la masse dans l'ignorance. De plus en plus de division ici bas, et même au travers du net, c'est affligeant, une grande majorité de gens définissent leur façon de penser, en s'appuyant sur des textes, des écrits, des acquis qui ne sont pas les leurs, mais des choses qu'on leur a éduquées avec lesquelles on leur a bourré le crâne depuis tout jeunes, ils sont agressifs, se penchent au dessus de tout, alors qu'ils ne font que répéter un discours formaté, correspondant à leur aveuglement et à leur soumission involontaire à un ordre d'idée bien établi. Sans ces doyennes, ces croyances, cette éducation, ils n'auraient aucun schéma de conception de vie, et aucune notion de perspective, dans la mesure où elle les conditionne. D'où le danger de ce système qui inculque des valeurs de patrie, de réussite sociale, des pages d'histoire détournées, des faits historiques amplifiés pour orienter le cerveau, magnifique outil de compréhension et de perception, dans une sorte d'aliénation mentale, une sorte de programme qui fait garder en tête pour la plupart des gens, de priorités qui ne sont pas les leurs, mais qui répondent à l'éthique d'une société marchande et capitaliste. Ou comment garder le cheptel en place, grâce à une politique de conditionnement du cerveau dès l'enfance. Bien des gens en recherche de leur propre voie rétorquent alors systématiquement : "Bah oui, mais qu'est ce qu'on peut faire, on ne va quand même pas retourner à l'âge de pierre". Tout de suite, la question de leur petit confort personnel les inquiète! Là n'est pas la question! La question est la base du fonctionnement même de nos soi-disant sociétés civilisées! Aucun principe n'est justifié, tout n'est qu'idéologie imposée, éducation, scrutin, urnes, lois, impôts, taxes.... Tout cela ne correspond à rien d'autre qu'un esclavagisme déguisé sous des termes plus attrayants. Une fois de plus, on me répondra "Bah oui mais qu'est-ce qu'on peut faire? C'est comme ça, on y peut rien!" "Ah bon! Vous êtes donc d'accord pour subir votre vie, plutôt que de la transcender? Combien mais alors combien d'hommes politiques mis en causes ces dernières années dans de sales affaires, corruption, détournement d'argent, et vous continuez à gémir de plaisir quand votre favori est élu! Nous ne faisons que passer ici bas. Alors à quel titre devrait-on se plier à tous ces devoirs d'obligations, de contraintes, de précarité, sous prétexte d'identité nationale? Fierté du drapeau? Ou idiotie due au formatage? Nous sommes vivants, et à ce titre, ça n'est pas une oligarchie, qui de plus se comporte de manière complètement désinvolte, qui doit définir les modes de pensée, les cordes et les devoirs. Ouvrez les yeux! Bien des gens trouvent comme facilité mentale l'arrogance de parler de conspirationnistes (c'est à la mode), alors que c'est justement en étant objectif et ouverts d'esprit que l'on se rapproche de la vérité". Et non en choisissant un camp dès le départ. C'est comme la politique, droite ou gauche, gauche ou droite, quel intérêt? La vérité se trouve en nous. Et nul besoin d'être guidé parmi l'élite. Ne sait-on plus faire la différence entre une tragédie et une comédie? Est-ce qu'un billet vert est plus important que tout le bonheur du monde? Le bipède humain n'est-il pas capable de rechercher son autonomie mentale et spirituelle, loin des sentiers battus? Je reste convaincu que nous ne sommes qu'au début de l'effondrement de tout un système. L'ennui, c'est si nous laissons l'ordre établi redéfinir le monde de demain. Nous serons complètement asservis à une dette virtuelle. Pourquoi devions-nous encore payer pour des erreurs dont nous ne sommes absolument pas responsable pour avoir le droit de continuer à travailler (jusqu'à 62, 63 ans bientôt!) Le droit de continuer à consommer pendant qu'on prend de plus en plus le contrôle de nos vies et que le monde de la finance continue d'évoluer en toute impunité, sans contrôle et sans états d'âme! Alors à qui servent donc les pantins qui gouvernent, sinon nous poignarder dans le dos? Je pense que tout cela a un rapport avec 2012 "pseudo pandémie, crise financières, grèves, licenciements, chômage, une sorte de chaos est entrain de naître, mais ça n'est que l'illusion de la réalité!!!" C'est un retour à la source qu'il faut! Certains verront venir les choses. Beaucoup ne comprendront rien en temps voulu. Mais chacun est libre entre chercher sa libération ou accepter sa soumission. L'heure est grave, mais le hasard tout comme la chance existe en faibles proportions. Alors il faut interagir sur la réalité en refoulant ce système et sa continuité en refusant ces soi-disant "devoirs", et chercher de plus en plus l'autonomie et la solidarité (noble espoir) il ne s'agit pas de sauver ce système, puisqu'il est déjà condamné il s'agit de comprendre qu'il faut détruire et définir nous-mêmes le vrai sens de l'existence. Les marchés financiers sont comme des chasseurs à l'affût d'une proie, une "proie virtuelle" destructible d'un clic de souris. Devons nous subir les assauts d'un monde d'illusion, qui a bien formé"ces fous"? Il faut reprendre en main notre pouvoir en tant que vivant, je n'appelle pas à la violence mais à la conscience et le lâcher prise de toute cette société de consommation qui nous emprisonne!!!!!!!!!!!!!!!!
Extrait de :
D'autres à venir, mais, pour commencer, une histoire qui nous concerne, nous, en majorité judéo-chrétiens.
JUDAS ET JÉSUS.
Dans les douze s@lopards, il y a bien douze s@lopards.
On pourrait féliciter Jésus de Nazareth (ravi de la crèche en chef) qui coule allègrement les boulangeries du coin, décourage les pêcheurs et vide les salles d'attente des cliniques environnantes, de s'être entouré de douze bons gars fiables et serviables pour mener à bien l'entreprise. Certes, ils ne sont pas futefutes, mais ils ne mordent pas: rien à voir avec les tempéraments volcaniques des Bronson, Sutherland et autres Cassavetes. Sauf qu'à y regarder de plus près, il semble que les entretiens de personnalité pour recruter l'armée des Bisounours n'ont pas été menés avec assez de rigueur: absence d'enquête poussée sur les antécédents familiaux, non-consultation des casiers judiciaires, manque de discernement face aux déclarations du type "je ne crois que ce que je vois"… Encore un coup de l'Esprit-Saint qui a mal calculé son angle d'atterrissage et s'est abattu sur un pauvre comptable qui ne demandait rien à personne: Judas. Seulement, c'est comme recevoir une convocation pour être jury d'assises: c'est pas de bol, il y a une chance sur dix mille, mais quand faut y'aller, faut y'aller.
Alors, cahin-caha, l'affable Judas s'engage dans l'aventure, randonne à qui mieux mieux, supporte les ronflements des camarades et écoute le Patron sans toujours bien comprendre où il veut en venir.
Mais un jour la coupe est pleine (ou plutôt pas assez). Taire les dîners avec les escort girls repenties ou filer en cachette des taloches pour réveiller les souffreteux qui font des malaises vagaux, passe encore. Mais jamais un merci, jamais un bravo pour la bonne tenue des comptes, jamais une prime quand les adhésions grimpent, ça énerve.
Et ça énerve tellement qu'on en viendrait à fomenter un sale petit plan bien crapuleux pour que le conseil d'administration vire le Boss.
Alors il faut jouer finement. L'air de rien. Le mieux serait même de trouver le moyen d'être insoupçonnable. Prétendre être un soutien alors qu'en réalité c'est toi qui presseras la gâchette le moment venu. Judas se creuse la tête et finit par trouver un plan simple (presque grossier), mais imparable: je t'aime, je te tue. Je m'affiche comme un big fan et cette démonstration tapageuse sera précisément le signal envoyé aux complices pour finir le boulot. Vraiment, on n'a pas fait mieux depuis.
Mais comment dire "je t'aime" à son dirlo sans paraître flagorneur, ni équivoque ni même flippant? Trouver un geste. Les mots peuvent être mal interprétés (l'araméen c'est coton) et tu peux facilement te trahir si ta voix part dans les aigus. En plus, question prise de parole en public, Jésus ne s'en sort pas trop mal, le challenger sur ce terrain là, c'est risqué. Alors un "je t'aime" en langage corporel (en tout bien tout honneur) s'impose: ce sera un hug, possiblement assorti d'un petit bécot (pas scandaleux de la part d'un Bisounours).
Scène d'anthologie, et c'est Mathieu qui la raconte le mieux dans son Évangile. Dernière soirée entre potes pour Jésus, repas frugal mais mythique, ablutions chatouilleuses, clair de lune au milieu des oliviers, on se croirait chez Pagnol. Insomniaque, Jésus entend une cohorte d'où se détache Judas. Parvenu devant lui, Judas embrasse Jésus. Ni une ni deux, la cohorte s'empare du niaiseux berné. On connaît la suite, mais ça se corse…
Idiot du village Jésus? Vraiment?
En réalité, il a tout prévu, et c'est Judas qui va passer pour une and0uille.
N'oublions pas qu'en matière d'hérédité, Jésus a de quoi faire pâlir n'importe quel fils ou fille de… Ce petit est bien armé pour la vie, et ses parents l'ont bien briefé.
Ainsi, la victime du sale coup de Judas, non contente d'être consentante au sort qui lui est réservé, est elle-même une petite fouine qui a tout fomenté dans le dos du comploteur. Jésus n'a en effet pas trente-six solutions : Papa lui ayant promis d'être à sa droite au paradis, il a plutôt intérêt à assurer. Et pour assurer, il faut accepter de finir comme le pire des criminels, et mourir avec le sourire. La pilule est dure à avaler, mais on ne devient pas une divinité en se tournant les pouces. En accomplissant sa trahison, judas sert ainsi l'intérêt de Jésus: il lui permet d'entrer dans la légende, de réaliser les prophéties des Écritures et de sceller pour l'éternité l'alliance fondatrice de l'une des trois religions les plus puissantes au monde. It's not bad, eh?
Si Judas avait pu imaginer qu'une bise transformerait un homme en dieu, il aurait peut-être tenté sa chance avec un crapaud. D'autant que pour lui, nada. Pas de nomination, pas d'avenir clinquant, mais un nom à jamais sali et peu utilisé par la suite à l'état civil.
Se faire b@iser par un b@iser qui devait b@iser quelqu'un d'autre, c'est vraiment la loose. On appelle ça un coup de pu*te boomerang, et Judas est le père du genre, à défaut d'être le fils de Dieu. (Pour en discuter, aller sur twitter #justakiss).
Bon, il vaut mieux se méfier de tout le monde... c'est plus sûr 
