Le problème c'est qu'ebay est complètement piégé par son système d'évaluation....
Ils savent bien que certains clients en jouent comme un systeme de chantage, mais ils n'ont pas les ressources humaines et matérielles pour juger chaque affaire.....
Donc le mieux pour eux est de répondre: on ne peut rien faire et en tant que vendeur sur ebay, vous acceptez de recevoir des évaluations négatives, même non justifiées... (sic)
Le problème avec ce genre de réponses, c'est que les evaluations ne servent plus ce pour quoi elles sont faites:
1) un acheteur est toujours 100% positif, donc impossible a jauger pour un vendeur. Un acheteur arnaqueur de toutes facons cree un profil en 5 minutes et aucun vendeur ne refusera la vente à un debutant, donc de ce coté la, un acheteur margoulin est tranquille....
2) un vendeur margoulin se fera démolir en évaluations négatives, mais lui aussi créera un nouveau profil en 5 minutes et repartira tout propre tout neuf... Et avec une arnaque, proposant la poule aux oeufs d'or a prix cassés, il n'aura aucun mal a trouver de nouveaux gogos même s'il n'a aucune evaluations positives prouvant son serieux.
3) le vendeur honnête, qui dans 99.9% des cas, fait du bon boulot sera lui soumis au chantage d'ebayeur plus ou mois honnêtes qui se serviront du système d'évaluation comme un moyen de pression, permettant d'obtenir tout et n'importe quoi....
Et ce vendeur pro, qui s'est construit un profil béton, de par son sérieux et sa compétence, et bien lui, il ne peux pas se permettre de le lâcher et de repartir de zero, sans références....
En conclusion, au bout d'un moment les évaluations négatives justifiées, laissées aux vendeurs margoulins disparaissent car ces profils sont abandonnés. Il ne reste plus que des évaluations négatives la plupart du temps non justifiées ou malhonnêtes sur les profils des vendeurs pro et qu'ebay refuse d'enlever...
Et quand on ajoute a cela, que le taux de staisfaction ebay est calculé sur le ratio evals + / eval - et que seulement 60% des staisfaits laissent une eval, on est doublement bai***