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*.diablo.* · ‎03-03-2015

Bonjour..

Et si on riait.. de nos mésaventures.. gaffes.. et gamelles en tout genre..??

Je commence..

Ado je me fais "shooter" par une voiture.. je fais un vol plané et j'ai la chance d'aller m'écraser sur le capot d'une bagnole arrêtée au feu quelques mètres plus loin qui amortit mon retour sur terre.. bref les pompiers me ramassent et je me retrouve à hosto.. comme je suis quelqu'un de très chanceux nous sommes le..... 29 décembre.. on décide de m'opérer le 31.. je passe un super réveillon.. avec deux compotes (j'ai réussi à troquer la soupe contre une seconde compote.. cool)

Je me retrouve avec un plâtre à la cheville.. avec pour consigne de rester peinarde.. oui oui.. je me familiarise avec les béquilles et je prends très rapidement une certaine assurance.. en quelques heures les couloirs de l'hosto n'ont plus de secrets pour moi.. je "droppe" comme un lapin.. et c'est donc avec élan..... que je m'écrase au sol dans le couloir qu'ils venaient de laver.. the bonne gamelle.. j'ai le souffle coupé.. le coxis en vrac.. et mon plâtre est complètement explosé.. traumatisme des infirmières en découvrant la chose.. qui appellent le chirugien traumatisé lui aussi de voir l'état de mon plâtre.. j'ai droit à un sermont.. pourparlers sur ma sortie possible.. radio pour le rassurer.. nouveau plâtre.. ouf on me libère enfin.. je rentre à la maison.... yeeeeeeeeesssssss

Ma chambre est à l'étage.. on y accède par un escalier en colimaçon.. je le monte très élégamment sur le c.ul.. puis bien sûr il me faut redescendre.. je vais faire un effort.. je décide de descendre avec les béquilles.. hop.. une marche.. hop.......... la béquille ripe.. je pars tête première dans l'escalier.. trois secondes plus tard je suis en bas.. descente super rapide.. mais le plâtre est de nouveau explosé.. je suis entière avec quelques hématomes seulement.. tout baigne quoi..!!!

Le lendemain je vais au bahut.. il pleut comme vache qui pisse.. le plâtre explosé prend l'eau et se décompose à vitesse grand V.. et mes béquilles glissent sur le carrelage mouillé.. je m'éclate lamentablement à l'entrée d'un bâtiment.. passons.. la journée se termine.. on vient me chercher en voiture.. je monte à l'avant.. pour ce faire je me tiens à l'encadrement de porte.. je pose une béquille à l'intérieur.. deux béquilles.. je m'apprête à m'installer.. et...... je ressens une douleur vive à la main gauche.. arrrrghh (petit cri de douleur).. deux petites larmes coulent de yeux.............. mon frère vient de claquer la porte.. sur mes doigts

En huit jours.. on a changé deux fois mon plâtre.. on a refait deux fois des radios de ma cheville.. au final.. j'ai fait un vol plané et traumatisé à vie le gars qui m'a vue atterrir sur son capot.. ainsi que celui qui m'a shootée.. passé un réveillon de daube.. laissé un souvenir ému au personnel hospitalier que j'ai impressionné.. pris deux bonnes gamelles dues à l'eau.. plus une gamelle dans l'escalier.. et j'ai failli me péter le coxis et quatre doigts de la main.. elle est pas belle la vie..???

lekandid · ‎03-03-2015

Pour apporter de l'eau à ton moulin, je m'en vais te narrer une anecdote qui m'a laissé coi. Un beau jour, ou peut-être une nuit (mais non, suis-je sot , c'était une nuit puisque je dormais à poings fermés), j'entends du bruit sous le lit. Je n'y prête guère attention sur le coup, me disant "ça doit être le chat". Au bout d'un moment, devant l'insistance de ce chambard, je me lève, regarde sous le lit, et que vois-je? Le chat. Ce sont des aventures de ce genre qui donnent un peu de piment à notre vie.

Merci au regretté Jean Carmet sur qui j'ai un peu pompé ce texte.

rauschomm · ‎03-03-2015

très joli ton fil, ma chère diablesse.

On peut parler aussi de mésaventure quand on est très gaffeuse..

Je voyais souvent dans la rue une dame corse, qui m'entretenait interminablement de la maladie de son mari. Souvent j'arrivais à l'éviter, pas toujours. Un (beau) jour j'ai lu dans les nécrologies que son cher était défuncté.

La fois suivante je n'ai pu m'esquiver dans la rue, et bellement je lui ai demandé: "comment va votre mari?" avant de me reprendre "fulmineamente" : "toujours mort?"

Depuis, c'est ELLE qui m'évite.

gsouchet · ‎03-03-2015

Ben comme ça t'es tranquille !

Autre gaffe assez difficile à éviter : faire la différence entre une femme enceinte et une femme qui a du ventre. On demande souvent à une femme pour quand c'est alors qu'elle est juste grosse. Il m'est arrivé de faire la gaffe contraire avec une femme que je connais qui est bien ronde qui un jour m'a dit comme une évidence qu'elle était enceinte. Elle s'étonnait que je n'aie rien remarqué.

cactus031 · ‎03-03-2015

Allez je vais jouer le jeu en narrant la mienne.

Etant cadre commercial depuis bientôt trois décennies, à l'époque je travaillais pour un distributeur des deux groupes de l'édition, les presses de la cité et Hachette et qui de plus lui même était éditeur d'ouvrages pour les enfants. Ma fonction était de convaincre les surfaces alimentaires de moins de 2000 m² du bien fondé d'avoir un rayon livres et de déloger la concurrence sur un secteur de plus de 5 departements

Tel un combattant , je ciblais mes objectifs afin d'accroître mon chiffre; Pourtant un magasin faisait de la résistance étant un bastion de la concurrence ; Et ce concurrent était en même temps mon fournisseur avec des moyens, des budgets marketing et des tarifs bien plus avantageux que les miens.

J'ai systématiquement durant une année, relancé inlassablement ce magasin dont l'emplacement était pour moi gage d'une progréssion sur mon secteur, afin de décrocher un rendez vous , mais en vain;

Au début de l'année suivante, j'ai fini par décrocher un rendez vous avec mon saint graal avec l'adhérent qui devait avec son directeur de magasin recevoir de nombreux commerciaux afin de redéfinir une nouvelle stratégie pour l'année à venir;

Je me suis donc glissé dans le lot passant en avant dernier qui correspond au planning des priorités pour le point de vente , autant vous dire que la partie n'etait pas gagné d'avance bref j'étais tel ce cheval de course en terrain lourd avec une mauvaise côte !

Je rentre dans le bureau , je me présente et puis je présente mon entreprise , nos résultats, notre ambition, ce que nous pouvons apporter au magasin bref! le laïus habituel du commercial !!

mais je voyais bien que l'attention n'y était pas, ils réagissaient mais je sentais bien qu'ils n'étaient pas impliqués et moi je répondais avec la conviction du chasseur, le nez dans mes chiffres en éssayant toutes les techniques de vente, passant des trompettes de l'aida à la programmation neuro linguistique et jonglant avec l'analyse transactionnelle , un vrai cirque mais surtout une castastrophe !

J'ai donc fait ce qu'il ne faut jamais faire, c'est à dire j'ai parlé de moi ,de mes passions pour la littérature, pas du prix que l'on donne aux choses mais de leur valeur , des auteurs qui me sont chers , camus, flaubert, maupassant et d'alimentation de l'esprit et j'ai été intarissable... le directeur lorsqu'il en avait le temps me demanda sur un niveau pragmatique qui sied à la grande distribution quelles sont mes offres au mettre linéraire, me reprenais vous mon ancien stock bref , il voulait me faire redescendre sur terre au niveau de la plèbe commerciale;

mais j'évitais soigneusement de répondre car je savais aussi que sur ce registre , je n'avais pas les bonnes armes , il le savait et moi aussi alors j'ai continué jusqu'a la fin du temps de notre entretien .

Le directeur m'invective en me disant , vous ne m'avez pas répondu et au culot de lui répondre "Monsieur je ne voudrais pas que vous pensiez qu'entre nous , ce ne soit qu'une question d'argent ! "

Ils se sont regardés avec un petit sourire et l'adhérent me dit : banco on va bosser ensemble et je vais vous dire pourquoi . De tous les commerciaux que j'ai pu entendre ce matin , vous êtes le seul qui m'avait parlé de votre produit avec passion. Voyez ls détails avec mon directeur

Le soir même le concurrent était viré , fou de rage , il a même fait des pressions sur mon directeur trouvant ma méthode déloyale , j'ai explosé mon chiffre et j'ai terminé meilleur vendeur ...

lekandid · ‎03-03-2015

Dans les années 70, j'ai fait 3 ans de porte à porte pour vendre des assurances vie. Un jour que je formais un nouveau, on sonne à une porte et soudain je vois le nom des occupants : Mayburn. Je montre le nom à mon coéquipier en faisant le geste adéquat et un fou rire nous prend. Un gars nous ouvre la porte :

- Oui? c'est à quel sujet?

- Monsieur Mayburn? Et le fou rire nous reprend.

- Qu'est-ce que vous voulez?

- Vous vous appelez bien Mayburn? et re fou rire.

Le gars nous a claqué la porte au nez et si ça se trouve se demande encore ce qu'on lui voulait.

*.diablo.* · ‎03-03-2015

J'adore toutes vos histoires.. le "toujours mort?" est particulièrement bon..!!!

4287danielj · ‎03-03-2015

et.....la voiture...pas trop de mal ?

*.diablo.* · ‎03-03-2015

@teigni47 a écrit :

et.....la voiture...pas trop de mal ?

Juste un capot.. mais il parait que le conducteur suit toujours une thérapie..

serpentlaineux · ‎03-03-2015

Dans la série mésaventures... ma première journée de parachutisme...

Je vous parle d'un temps que les paras de moins de 50 ans ne peuvent pas connaître ...

J'insiste sur le fait que la formation était sérieuse. L'atterrissage en ce temps-là était l'équivalent d'une chute du premier étage, on avait intérêt à ne pas rater le roulé-boulé... j'en ai connu plusieurs qui se sont pété une cheville ou une jambe au premier saut.

Donc, premier saut, à l'ouverture du piège, je suis assommée par le ventral que l'on ne m'avait pas dit de serrer au maximum et qui, en remontant, m'a éclaté le nez. ( C'étaient des parachutes militaires pour des hommes d'environ 80 kg, j'en faisais pas 50...)

J'ai vu des chandelles tourner et je me suis dit : "C'est vrai les boxeurs KO dans les BD ! " et je me suis dépêchée de repérer le sens du vent pour me préparer à être dans le bon sens pour l'atterrissage.

Après un nettoyage avec le jet d'eau, ( les copains avaient dit : "c'est bon, le nez n'est pas cassé !")...............................................................

....embarquement pour le deuxième saut... (on en faisait 4 dans la journée)

Là, pas de pot, triple coupole à l'ouverture, je dois faire ventral... Je dis pas l'atterrissage... (Les copains : "ça arrive une fois sur 100 000 ! Remarque, ça peut encore t'arriver demain... les lois de la probabilité...")

Troisième saut : pendant la montée du broussard, le vent tourne à 180° ( temps orageux d'août)... Le largueur ne fait pas gaffe... trop tard... je suis accrochée au bord d'un toit dans un rosier grimpant... (La précision d'atterrissage en ce temps-là était alléatoire car les parachutes ne se dirigeaient pas, juste par traction, il fallait faire attention au largage).

Les copains du club arrivent déjà en voiture, ils ont l'habitude... Les gens autour du terrain d'aviation aussi... Ils aiment bien ramener des paras perdus, ça leur permet de discuter et de boire un coup au bar de l'aérodrôme ...

Quatrième saut : je dis au moniteur d'effacer mon nom du stick...

Chez les paras, on arrosait son premier saut, son premier ventral, sa première vache ( se poser hors du terrain, dans les jardins, dans les champs avec des vaches...)

J'ai fait les trois le premier jour. Mon histoire a fait le tour des terrains...

*.diablo.* · ‎03-03-2015

.. et.. ce jour là.. tu es devenue alcoolique..???

4287danielj · ‎03-03-2015

@*.diablo.* a écrit :
@teigni47 a écrit :

et.....la voiture...pas trop de mal ?
Juste un capot.. mais il parait que le conducteur suit toujours une thérapie..

fallait qu'elle soit solide....la voiture......c'était quoi?

*.diablo.* · ‎03-03-2015

Je ne sais pas comment je dois le prendre..?!?

J'en sais rien.. faut dire qu'après m'être écrasée sur le capot je suis tombée par terre.. et quand j'ai repris connaissance il y avait tout un troupeau de gens autour de moi en train de me regarder comme une bête curieuse..

*.diablo.* · ‎03-03-2015

En parlant de bête..

J'ai une douzaine d'années, nous sommes à Djibouti.. nous habitons dans un quartier résidentiel non loin de la base

A deux rues de chez nous, juste à côté de l'arrêt de bus, il y a une propriété avec des tortues dans le jardin.. (des grosses tortues de terre dites "de Madagascar").. nous engageons la discussion avec le gardien.. nous aussi nous aimerions avoir une grosse tortue dans le jardin..!!!

Un jour il nous dit que si on veut il peut nous en vendre une.. nous sautons sur l'occasion et négocions la tortue.. 5000FD (l'équivalent à l'époque de 200FF)..une affaire..!!! la bête est superbe et énorme.. il est convenu qu'il nous l'amènera sur sa brouette

Le jour J la bête arrive pour notre plus grande joie.. intrigué par nos petits cris enthousiastes mon père sort.. et découvre ce qu'il est en train de se passer.. il tente de nous dissuader.. il faudra la nourrir.. pas de problème.. on y a pensé.. notre argent de poche devrait nous permettre de le faire.. il faudra lui faire un enclos.. oui oui on fera promis.. (rien ne pourra nous dissuader d'avoir ce bel animal dans le jardin..!!!).. Brutalement la bête bouge.. et fait une bouse énorme (l'équivalent d'une bouse de vache) et mon père d'ajouter.. il faudra nettoyer l'enclos de la tortue.....

Nous n'avons jamais eu de tortues..

serpentlaineux · ‎03-03-2015

Pas grave... Tu as des chevreuils et des grues cendrées..

*.diablo.* · ‎03-03-2015

Sans enclos à nettoyer..!!!

Même période.. même endroit.. à l'entrée de la base à gauche il y avait.. (je ne sais pas si elles sont toujours là).. des tortues de Madagascar dans un enclos.. (oui oui.. encore des tortues qui font des bouses).. elles faisaient partie du décor et à part intriguer les nouveaux arrivants elles n'intéressaient personne

Un jour devant l'enclos en question nous voyons un attroupement.. bizarre.. mais que se passe t'il donc..?? nous arrêtons la voiture à hauteur de l'enclos.. brutalement la foule s'écarte laissant apparaître un petit singe (cynocéphale) qui vient de sauter sur la clôture.. puis en quelques secondes le voici sur le rétroviseur à côté de ma vitre.. ouverte bien sûr (bah oui.. on est en Afrique).. il ne lui faut pas plus de temps pour sauter dans la voiture et s'installer sur mes genoux.. tout le monde sort de la voiture.. sauf moi qui ai le singe sur les genoux.. le troupeau est à présent autour de la voiture et tout le monde y va de son commentaire.. "il est peut être dangereux".. "ne bouge surtout pas".. "d'où vient il..??".. "fais gaffe il peut mordre".. (là je suis d'autant plus rassurée que quelques années avant un chimpanzé a tenté de me mordre dans un cirque).. "il est mignon quand même"...... "taisez vous vous allez l'affoler..!!!".. le calme revient à peu près.. on me dit qu'on va ouvrir ma portière tout doucement pour ne pas lui faire peur et qu'avec un peu de chance il va sortir.. c'est chose faite et...... le singe est toujours sur mes genoux.. il n'a visiblement aucune envie de sortir.. il semble bien là.. il observe tout ce qui se passe.. on me dit alors de sortir très lentement de la voiture.. ce que je fais.. le singe s'accroche à mes vêtements.. et grimpe sur mes épaules.. il commence alors à regarder si j'ai des poux.. je sens ses petits doigts me tripoter le crâne.. le troupeau d'humains n'est plus autour de la voiture mais autour de moi à présent.. (pour être aux premières loges des fois que le singe déciderait de me bouffer sans doute).. le temps s'écoule.. j'ai toujours le singe sur mes épaules.. finalement quelqu'un s'approche de moi et m'explique qu'ils vont attraper le singe à deux afin qu'il ne m'étrangle ni avec ses "mains" ni avec ses "pieds" (rassurant..!!!)

Quelques secondes plus tard j'étais libérée de "mon" singe.. moralité.. quand vous voyez un attroupement.. passez votre chemin.. ça vous évitera peut être de devenir un animal de foire..

lecolonel33 · ‎03-03-2015

ah djibouti,+ 40° à l'ombre que de souvenirs confus ..pour lecolonel,à l'époque il y avait le palmier en zing qu'ils appelaient,

c'était un bistrot,si la légion étrangère nous payait à boire il ne fallait pas refuser,le colonel,est rentré bien souvent porté par un légionnaire j'usquà son camp...faut dire que j'étais bien jeune.

*.diablo.* · ‎03-03-2015

@lecolonel33 a écrit :
ah djibouti,+ 40° à l'ombre que de souvenirs confus ..pour lecolonel,à l'époque il y avait le palmier en zing qu'ils appelaient,
c'était un bistrot,si la légion étrangère nous payait à boire il ne fallait pas refuser,le colonel,est rentré bien souvent porté par un légionnaire j'usquà son camp...faut dire que j'étais bien jeune.

Je me souviens du palmier en zinc..!!! probablement le seul palmier de Djibouti..!!! je ne sais pas s'il existe encore..?!?

Oui un doux climat.. en passant la porte de l'avion à mon arrivée j'ai cru crever.. je n'arrivais pas à respirer cet air chaud chargé de poussière.. je croyais naivement que c'était du à la proximité des moteurs de l'avion.. le jour de mon départ.. il faisait 47°C à l'ombre.. c'était une température "normale" début juillet..

lecolonel33 · ‎04-03-2015

diablo ,comme le camp où je me trouvé était en ville,du moins pas loin,je ne sais pas si tu te rappelles aussi le matin quand il fallait mettre ses habits ,ils étaient (humides ),voir moites.Malgré la chaleur toute la nuit ,au petit matin,je rentais dans mon duvet...

Pour le palmier en zinc,il n'existe plus .Malgré qu'il a été plastiqué plusieurs fois .Cela commençait vers 1970ou 1971,puis en 1977

mais là je n'y étais plus où il y a eu des grenades ,avec hélas beaucoup de victimes ...pour ma part c'était en 1971 où j'y étais mais pas longtemps,juste pour faire des manoeuvres avec les parachutistes de mont de Marsan ,et la légion étrangère,(ils sont ouf dans la légion,ils partaient avec une gourde de 2xlitrespar jour,après il fallait qu'ils se débrouillent,bon il y avait des réserves d'eau pour eux mais ,avant tout débrouillez vousmais bon ce n'est pas le fil pour en parler

veuillez m'en excuser,je n'ai fait que répondre à diablo