le 14-10-2014 13:35
Bonjour à tous(toutes).
Que diriez-vous d'un nouveau fil pour parler de nos lectures, partager nos opinions, faire découvrir nos préférences, mettre en commun quelques (rares) émotions.....
Je me garderai bien d'octroyer moins d'intêret aux autres fils, que par ailleurs je fréquente ou même que je.. hante (paraît-il)
Sans être "bas-bleu" : nous avons tous en tête quelques lectures qui nous ont laissé des traces, de la nostalgie.
Alors, qu'en dites-vous?
Je vous attends de pied ferme! Rauschomm
(et je vous dirai, si ça marche, quels sont mes préférés)
Résolu ! Accéder à la solution.
le 17-10-2014 20:26
@ Serpent Même pas quand tu vas refaire ton sac à main (en laine) dans la salle d'attente de ton cordonnier ?
@ Rauschom Les bras ne peuvent pas tomber à Serpent contrairement à toi.
@ Blue Moi aussi , même les prospectus pour faire les courses
@ Jacqueline Tu vas chaque mois/semaine pour ne pas louper les N° suivant ?
@ Marje Je comprends ta reflexion sur Bercy et ton dentiste
Bon ........ je divague ![]()
@ Plus. Bonne soirée
le 17-10-2014 20:43
Pile , non tous les 3 mois , alors je ne suis au courant de rien , c'est la cata , mais je vais m'en remettre , je ferai face ,
ho ! je vais allez me coucher , j'ai grillé tous mes circuits
le 17-10-2014 21:14
@pile_ou_face a écrit :@ Serpent Même pas quand tu vas refaire ton sac à main (en laine) dans la salle d'attente de ton cordonnier ?
Eh non... quand je vais chez le médecin, dentiste ou autres joyeusetés, j'emporte un livre ou des mots croisés ou ma console DS (ah, les énigmes du professeur Layton), selon mon humeur ou le temps d'attente que je prévois...
Mon sac à main en laine, je me le tricote moi-même car je n'ai pas l'habitude de baisser les bras devant le travail et je n'ai pas 2 mains gauches...
le 17-10-2014 23:11
Idem pour moi, comme je l'ai déjà dit il y a quelques jours, pas de revue féminine et je prends ma lecture pour les salles d'attente.
C'est bien plus intéressant que Gali ou Voiça ou les journaux économiques et, avantage non négligeable, c'est plus hygiénique.
le 17-10-2014 20:08
Moi non plus , Jamais
le 17-10-2014 20:13
Heu , sauf chez le toubib , car la , je ne le paye pas , enfin , comme beaucoup
le 17-10-2014 20:14
Moi aussi , et chez le dentiste et le coiffeur ![]()
le 17-10-2014 20:23
Alors tu lis plus que moi , je ne vais jamais chez le coiffeur , encore une économie , et pas chez le
dentiste pour l'instant , il va falloir que je les vole , je suis accroc au canard enchainé , ça résume
le 18-10-2014 07:27
le 18-10-2014 10:12
@2014paul31 a écrit :
Slt
Cela m'arrive parfois et je dois avouer que des fois c'est poilant
On peut comprendre après cela, cette certaine tournure d'esprit qui font le charme de la gente féminine !
Les gars si vous voulez une suite aux brèves de comptoir et passer un moment plaisant , il y a de vraies perles ...
bonjour mon Paulo
, ouais mais bon les charmes de la gente féminine faut creuser
un peu plus , sinon c'est comme regarder une vitrine de lingerie ![]()
le 18-10-2014 11:30
le 18-10-2014 11:45
@2014paul31 a écrit :
En fait la grosse différence entre elles et nous, c'est une question de câblage ! bon là je sais que je viens d'en larguer déjà quelques uns et unes !
Chez nous c'est vertical et chez elle transversal et déjà là cela commence à aller de travers!
Mais cela se traduit comment ? Vous auriez compris que je fais référence aux câblages cérébral entre hémisphère gauche et droite !
Cela se traduit par une meilleure intuition et une meilleure capacité cognitive chez les miss et chez nous une meilleure perception dans l’espace et une meilleure synchronisation sensorimotrice
Ce qui ne veut pas dire que nous sommes insensibles et que les femmes ne savent pas lire une carte routière !
Certaines mauvaises langues disent que la seule différences entres elles et nous se résume à 20 cm ...
bah , ce sont de gros beaufs , les uns sans les autres rien n'existe
nous sommes différents mais complémentaires
le 18-10-2014 13:41
Bien dit SEV , que serions nous , les unes sans les autres , une terre inculte , que la vie serait triste
Qu'il est beau , de voir germer la graine dans le terrain fertile que nous sommes , nous les femmes ,
un peu de poésie dans ce monde de brutes
.
le 18-10-2014 14:09
bien sur et puis moi qu'est ce que je ferai sans vous Mesdames ![]()
la vie serai trop triste
remarque , c'est pas vrai pour toutes ![]()
le 18-10-2014 14:58
ca on l'aura compris .on ne peut pas aimer tout le monde , un seul homme n'y suffirait pas .![]()
18-10-2014 17:00 - modifié 18-10-2014 17:05
Bof c'est vite dit ! Jean tu as le péssimiste de Pascal et la souffrance intime de musset
Une vision à la Proust ... A l'ombre des jeunes filles en fleurs ...
Tiens pour les amateurs du genre
LA MUSE
Quel que soit le souci que ta jeunesse endure,
Laisse-la s'élargir, cette sainte blessure
Que les séraphins noirs t'ont faite au fond du cœur;
Rien ne nous rend si grands qu'une grande douleur.
Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ô poète,
Que ta voix ici-bas doive rester muette.
Les plus désespérés sont les chants les plus beaux,
Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage,
Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux,
Ses petits affamés courent sur le rivage
En le voyant au loin s'abattre sur les eaux.
Déjà, croyant saisir et partager leur proie,
Ils courent à leur père avec des cris de joie
En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux.
Lui, gagnant à pas lent une roche élevée,
De son aile pendante abritant sa couvée,
Pêcheur mélancolique, il regarde les cieux.
Le sang coule à longs flots de sa poitrine ouverte;
En vain il a des mers fouillé la profondeur;
L'océan était vide et la plage déserte;
Pour toute nourriture il apporte son cœur.
Sombre et silencieux, étendu sur la pierre,
Partageant à ses fils ses entrailles de père,
Dans son amour sublime il berce sa douleur;
Et, regardant couler sa sanglante mamelle,
Sur son festin de mort il s'affaisse et chancelle,
Ivre de volupté, de tendresse et d'horreur.
Mais parfois, au milieu du divin sacrifice,
Fatigué de mourir dans un trop long supplice,
Il craint que ses enfants ne le laissent vivant;
Alors il se soulève, ouvre son aile au vent,
Et, se frappant le cœur avec un cri sauvage,
Il pousse dans la nuit un si funèbre adieu,
Que les oiseaux des mers désertent le rivage,
Et que le voyageur attardé sur la plage,
Sentant passer la mort se recommande à Dieu.
Poète, c'est ainsi que font les grands poètes.
Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps;
Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes
Ressemblent la plupart à ceux des pélicans.
Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées,
De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater le cœur ;
Leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang.
le 18-10-2014 18:00
ben mon vieux , tu l'est compliqué ![]()
18-10-2014 19:32 - modifié 18-10-2014 19:32
Comme quoi tu me connais bien mal !
le 18-10-2014 19:40
je pourrais te sortir la même ![]()
le 18-10-2014 23:59
Bonsoir,
Autre lecture que j'adore et que j'avais omis de citer : Les brèves de comptoir de Jean-Marie Gourio.