Tout d'abord, la formule de politesse of course.
Ce fil afin de ne pas envahir les autres avec les pavés dont je suis coutumier. Si l'envie vous en prend, vous pouvez également en poster, ils seront les bienvenus.
Vous pouvez, bien entendu, chouiner si vous n'êtes pas d'accord avec les écrits. Toute contestation sera prise en considération. 
Á chaque pavé, j'indiquerai l'auteur(e) des écrits, ce qui vous permettra éventuellement de lui envoyer des lettres de menaces, d'insultes, voire des colis piégés.
En tout état de cause, si vous voulez participer, la porte est :
C'est sûr que quand on passe beaucoup de temps dans les transports en commun, il faut prévoir de quoi s'occuper 
Et quand on n'a pas de place assise, ça fait office de tabouret ! 
Tout à fait
Après la viande , soyons généreux , le poisson ,je l'ai trouvé dans la mare a lafleur
étonnant d'habitude il est en rivière !!! pavés garantis frais , sentez
chère Lucrezia, je l'ai vu en télé hier soir, ton homme:
il se demenait pour attraper les harengs, voilà comment il a perdu le chapeau
au moins, il les a ramenés, les harengs???????
Bise du lundi. Lafleur
Pleure pas ,, je t'envoie ça pour tes gamins de 50
Bonzour, des gamins à 50 ans 
Ben voilà qui me rassure! Au fait, on vit combien de temps sur terre ?
Bonjour Bisounours 
Bien, en voilà un de pavé. Juste un conseil, si vous connaissez l'auteur,
EDDIE BARCLAY.
Alors, vous ne le savez sûrement pas, donc maintenant vous le saurez, ou l'essorez si vous pensez que je vous raconte des salades, mais demain, ou deux pieds, ça marche toujours mieux…, ça fera dix ans que le champion vélocipédique Luis Ocaña canait. Perdant ainsi les pédales, il partit de son plein gré rejoindre ses compagnons de route au paradis, qui comptent déjà dans leurs-rangs Fignon.
Ne faisant pas partie des-railleurs de la petite reine, j'envisageais de prendre place à bord de la voiture raclette (c'est comme une voiture balai, mais sans les poils), afin de faire le tour des champions cyclistes (ou 8 clistes si vous comptez fleurette et Coppi). L'immense Fausto Coppi qui, encore aujourd'hui, pourrait ni*quer car oui, c'était un colosse-Coppi! Un physique qu'il devait sûrement à un régime sans selle. Mais là je vous parle d'un temps que les plus de vingt dents ne peuvent pas connaître, même si d'autres coureurs m'épatent, m'épatent, oui c'est de Pantani que je parle, même s'il ne me semble pas oPPortun, avec dopé, de rencontrer ce pauvre Marco, pâlot, qui a dû rendre le maillot jeune car il n'avait plus que l'EPO sur les os. Comme l'Eddy Merckx très justement : "jeux de mots, jeux de vélos!" Alors plutôt que de continuer à pédaler dans la semoule et de me retrouver dans la roue de l'infortune, risquant ainsi de porter le maillot faible, je changerai de braquet afin d'évoquer le 13 mai dernier car celait faisait 9 ans qu'Eddie Barclay, empereur des CD décédait. Eh oui, après 78, 45, puis 33 tours, il s'en est allé faire un dernier tour, en terre, usé des années de labour dans le microsillon.
Afin de rencontrer celui qui dut producteur de légende-âme de Saint-Tropez, je décidai de le rejoindre dans une de ses célèbres soirées blanches où se côtoient stars des yéyés, un peu délayées, et autres jet-setteurs, ou jet-neuf heures pour les plus tardifs, bref de partir festoyer sur un yacht de Millepieds, prêté par le benjamin de la bande. Mais à peine sur le pont du navire, moi qui n'avais ja-ja-jamais navigué, à cause de la houle marinière je devins-blanc comme un linge. Je n'étais pas le seul visiblement car le roulis-Iglesias ne le supportait pas non plus. Lui il état carrément linge comme un blanc, c'est dire s'il était tout retourné. Je débarquai donc sur le champ sur le quai, sur le quai-sur-le-champ, enfin je pris le quai des champs quoi, remettant à demain ce que je voulais faire tout de suite, en l'occurrence vomir sur le Barclay flottant.
Une fois sur la jetée je retrouve quelques célèbres copains d'Eddie, des potes people qui traînaient hagards au port sans entrain. Parmi les gens, et parmi-giano (oui, il y avait une bande de copains italiens) je reconnais Darry Cowl qui se propose de nous conduire vers les hauteurs et compositeurs de Saint-Trop'. Mais comme l'auto et Cowl ça fait deux, c'est Léo Ferré qui prit le volant car le cap, Ferré, il pouvait le tenir.
Dans la voiture, tout en roulant, Thierry ne peut alors s'empêcher de faire le Luron en faisant l'imitation de vitesse. Bon public, au quart de tour, Jean Ferrat rit, suivi de Salvador qui en-rit aussi, et même Dalida s'y met, ou s'y joint (j'sais plus quand).
Parvenant enfin à…ben, bon port puisqu'on venait de le quitter, nous nous frayons tant bien que mal un chemin parmi les badauds qui badaient, les bimbos qui bimbaient et les fans qui fanaient, jusqu'à ce que Nougaro nous aide à nous garer.
Apercevant alors près d'une fontaine Brigitte, Bardot ne me reconnaît pas quand je vais la saluer, ce qui est assez logique puisqu'il ne reconnaît plus personne en Harley Davidson. La devinant un peu embrouillée dans ses souvenirs du temps où elle était encore BB blonde, je la rassure en lui disant combien en repensant à elle mon se*xe s'emballe, et c'est pas cher payé. Émue, elle m'invite alors à me joindre à elle pour une partie de pétanque. Pensant qu'elle Madrague, je lui demande : "OK, mais pétanque, où?". Allez savoir pourquoi, elle le prend super mal et me laisse alors sur la plage, abandonné.
Comme avec Brigitte ça bardait, je restai tout seul avec les boules, réalisant que dés le départ cette chronique partait à vélo. Je décidai alors d'en rester là, et même si d'habitude je ne suis pas du genre à Barclay le travail, pour une fois je choisis de la boucler sur une fin d'artifice car avec Eddie on ne fait pas sans blanc.
(Stéphane de Groodt)
Moi je dirais
" Regardez, lui accepte bien que vous soyez ses parents "
Ok, je sors === > 
C'est un pavé (en stature) ce Lekandid , vais te mettre au régime ; plus de bière, pastis, whisky, ... que de l'eau 
Je comprends ton déséquilibre de l'autre jour sur les pavés, tu vas mieux au fait ?
