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Vouliez-vous dire : 

Le fil des pavés tous azimuts.

Tout d'abord, la formule de politesse of course.

 

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Ce fil afin de ne pas envahir les autres avec les pavés dont je suis coutumier. Si l'envie vous en prend, vous pouvez également en poster, ils seront les bienvenus.

 

Vous pouvez, bien entendu, chouiner si vous n'êtes pas d'accord avec les écrits. Toute contestation sera prise en considération. Homme clignant de l'œil

 

Á chaque pavé, j'indiquerai l'auteur(e) des écrits, ce qui vous permettra éventuellement de lui envoyer des lettres de menaces, d'insultes, voire des colis piégés.

 

En tout état de cause, si vous voulez participer, la porte est :

 

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Message 1 sur 514
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513 RÉPONSES 513

Re : Le fil des pavés tous azimuts.

Fichtre! Lekandid vous êtes de permanence et de garde sur le forum ?! ...

 

Prenez du recul si vous voulez avancer .....

 

 

Message 501 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

Se mêler de ses oignons.

 

 

Se mêler de ses oignons & c'est pas tes oignons ; ce n'est pas ses oignons ; se mêler des oignons de qqun ; s'occuper de ses oignons ; ce ne sont pas mes oignons ; pas mes oignons ; c'est ses oignons ; c'est vos oignons ; c'est tes oignons ; mes oignons
 

S'occuper de ses affaires ; ne pas se mêler des affaires d'autrui, ne pas poser de question, ne pas être indiscret ; ce ne sont pas tes affaires, ça ne te regarde pas, ça ne te concerne pas.

Synonymes : curieux, indiscret.

Message 502 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

Monsieur l'assureur,

Je vous écris en réponse à la demande d'informations complémentaire concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier. J'ai précisé: "manque de chance" dans la case réservée aux "causes du sinistre" et vous me demandez des précisions.

Je suis couvreur de formation. Le jour de l'accident, je travaillais seul sur le toit d'un immeuble de 6 étages. Une fois le travail terminé, cet après-midi là, j'ai constaté qu'il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120kg. Plutôt que de descendre à la main, j'ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce à une poulie fixée au 6ème étage.

J'ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l'immeuble pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manoeuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 kg. Dès que le monte-charge s'est retrouvé suspendu en l'air, j'ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n'ais pas eu la présence d'esprit de lâcher la corde. J'ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l'immeuble et, au niveau du 3ème étage, j'ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précédent.

Mon ascension s'est toutefois ralentie au niveau du 6ème étage et s'est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie. Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j'avais mentionnées. Suspendu en l'air et malgré la douleur intense, je n'ai pas lâché prise. Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol.

Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j'ai commencé une rapide descente vers le bas. Au niveau du troisième étage, comme vous l'imaginez, j'ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente, si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m'a causée qu'une simple fracture du genou.

Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l'enfoncement de la cage thoracique, que j'ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente, ne vous aura sans doute pas échappé. J'ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n'ai pas eu la présence d'esprit de tenir la corde quelques secondes de plus. J'étais dans l'incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 kg a entamé sa rapide descente...

Très cordialement.

Message 503 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

Pour les anciens (pas sur ebay, dans la vraie vie), un pavé tout en images. Par contre, il va falloir cliquer. Bonne balade dans vos souvenirs :

 

http://fr.slideshare.net/LucBerland/les-caisses-de-nos-vingts-ans

Message 504 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

Diantre ! ce n'est plus une permanence mais une occupation à temps plein pour ne pas dire une addiction...

 

Ceci étant dit si vous avez besoin de cela pour exister ...autant user du forum comme thérapie !!

 

 

Message 505 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.


@jmpn1962 a écrit :

Diantre ! ce n'est plus une permanence mais une occupation à temps plein pour ne pas dire une addiction...

 

Ceci étant dit si vous avez besoin de cela pour exister ...autant user du forum comme thérapie !!

 

 


@cactus031

 

Tain, qu'est-ce que tu peux être chi@ant ma poule! T'as pas d'amis et tu essaies de t'en faire un virtuel? Tes séances d'on@nisme ne te permettent pas d'atteindre le nirvana et tu viens te réfugier ici pour enfin réussir à conclure? C'est possible et je compatis, mais comme déjà dit, pour ne pas s@aloper nos écrans, cadeau :

 

.

 

Ne me remercie pas, c'est de bon cœur si tu peux enfin me lâcher la grappe. Si vraiment tu as un souci insurmontable, allonge-toi et explique-moi ton problème, je suis à l'écoute. Pour toi, la séance c'est gratos, serment d'Hypocrate oblige. Allonge-toi tranquillement, lâche-toi la tige et laisse-toi aller, je suis je suis toute ouïe.

 

.

 

 

Message 506 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

Ah oui, au fait, encoredeux petits C/C/ pour ta pomme. Et c'est tellement vrai ici :

 

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Ceci pour te dire que tu n'es pas n'importe qui. Ta phraséologie me laisse parfois sans voix. Mais je me débats avec humilité. ceci dit :

 

humilité.jpg

Message 507 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

stp Leka, c'est quoi

 

"lâche-toi la tige"????

 

justement il y avait ce genre de choses dans les derniers mots croisés de Télérama et je n'ai pas pu trouver.....

 

MERCI

Message 508 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.


@rauschomm a écrit :

stp Leka, c'est quoi

 

"lâche-toi la tige"????

 

justement il y avait ce genre de choses dans les derniers mots croisés de Télérama et je n'ai pas pu trouver.....

 

MERCI


@rauschomm dite Lafleur :

 

Heu, comment dire, Homme gêné

 

La tige, en argot, c'est l'organe reproducteur de l'homme.

Message 509 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

...........................................

 

"qu'en de termes galants

"ces choses-la sont dites"

 

...........................................

 

merci...

Message 510 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

Prison contre travail.

La prison : On passe tout son temps dans une cellule de 3 mètres par 4.
Le travail : On passe tout son temps dans un espace de 2 mètres par 3.

La prison : On bénéficie de trois repas par jour.
Le travail : On a un repas par jour et il faut le payer.

La prison : Quelqu'un ouvre et ferme la porte pour vous.
Le travail : Il faut le faire soi même.

La prison : On regarde la télé et on joue aux cartes.
Le travail : On se fait virer pour avoir regardé la télé ou joué aux cartes.

La prison : Vous bénéficiez de WC privés.
Le travail : Il faut partager.

La prison : On vous autorise à recevoir des visites de votre famille et de vos amis.
Le travail : On vous refuse le droit de recevoir des visites de votre famille et de vos amis.

La prison : Le séjour est intégralement financé par ceux qui paient des impôts.
Le travail : C'est justement là qu'on trouve ceux qui paient des impôts.

La prison : On passe l'essentiel de son temps à regarder par la fenêtre en attendant de sortir.
Le travail : On passe l'essentiel de son temps à regarder par la fenêtre en attendant de sortir.

La prison : On a le temps de lire des blagues idiotes.
Le travail : On se fait virer si on est pris.

La prison : On est entouré de surveillants sadiques.
Le travail : On les appelle des chefs de service.

 

 

 

Message 511 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

Anonymous
Non applicable

@lekandid Tu as oublié le plus important :

le référentiel bondissant ... Le ballon, quoi

le référentiel de mémoire ... L'enregistreur , le lecteur DVD ou le magnétoscope 

avoir un gain sur les opposants .... Gagner le match

 

avec la participation de Jessica Téchaise, Rachida Tation, Pulchérie Devaux, Mohamed Isant, Sylvie Triolle, Aymar O' Canar, Alain Praivu, Enzo Nomatopet, Henri Viaire, Simon Cussonet.

Message 512 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

@christianb4111

 

Étant conscient que mon post d'hier concernant celui du "22" de Marje t'a déplu (vu ta réaction que je ne commenterai pas), sache que ce n'était pas pour me faire valoir, mais pour compléter ledit post. Marje est une ebayeuse qui me fait rire vu la finesse de ses posts.

 

Donc, je ne comprends pas que tu aies pris ombrage de ces écrits, mais il est vrai que certaines réactions puissent être empiriques.

 

Ceci n'est pas de la culture, ça s'appelle savoir lire entre les lignes. Pour moi, l'incident est clos. Maintenant à toi de voir.

 

Bonne soirée. Homme clignant de l'œil

Message 513 sur 514
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Re : Le fil des pavés tous azimuts.

Le premier jour, elle a emballé ses effets personnels dans des boîtes, des malles et des valises...

Le deuxième jour, les déménageurs sont venus pour les emporter...

Le troisième jour, elle s'est assise pour la dernière fois dans leur salle à manger, et à la lueur des chandeliers, bercée par une douce musique de fond, elle s'est fait un festin de crevettes, de caviar et de champagne.

Lorsqu'elle a terminé son repas, elle est allée dans chacune des pièces de la maison et a déposé, dans le creux des tringles à rideaux, quelques crevettes qu'elle n'avait pas mangées.

Elle a ensuite bien nettoyé la cuisine, et quitté la maison.

Lorsque son mari et sa nouvelle petite amie sont revenus s'installer à la maison, ils ont filé le parfait amour durant les premiers jours.

Puis, lentement, la maison a commencé à sentir mauvais. Ils ont tout essayé : nettoyer, récurer, frotter, cirer, aérer... En vain.

Ils ont alors fait vérifier les conduits d'aération, afin de s'assurer qu'il ne s'y trouvait pas de cadavres de rongeurs en putréfaction.

Tous les tapis, moquettes et tissus muraux ont été nettoyés à la vapeur, et des purificateurs d'air installés aux quatre coins de la maison.

Comme l'odeur persistait, le mari et sa petite amie sont partis quelques jours à l'hôtel, le temps qu'une entreprise d'extermination vaporise des produits anti-bestioles dans toute la maison.

Lorsqu'ils sont revenus l'odeur était toujours là.

Ils ont alors décidé de faire remplacer les tapis et moquettes, pour une somme faramineuse.

Et l'odeur a persisté.

Leurs amis ont cessé de venir leur rendre visite, le facteur faisait un détour et oubliait de leur distribuer le courrier, la femme de ménage a donné sa démission...

Finalement, incapables d'endurer la pestilence, ils ont décidé de déménager dès que la maison serait vendue.

Un mois plus tard, et bien qu'ils aient réduit leur prix de vente de moitié, ils ne trouvaient toujours pas d'acheteur pour leur maison puante.

Le mot était passé, et même les agents immobiliers ne répondaient plus à leurs appels.

En dernier recours, ils ont emprunté une importante somme d'argent pour pouvoir acheter une autre maison.

L'ex-épouse de l'homme lui a téléphoné, histoire de prendre de ses nouvelles. Il lui a raconté la saga de la maison puante. Elle l'a écouté poliment, puis lui a dit qu'elle s'ennuyait terriblement de cette maison, et qu'elle serait prête à accepter de réduire ses demandes dans leurs négociations de divorce si elle pouvait récupérer la maison.

Sachant que son ex-épouse ne pouvait s'imaginer à quel point les odeurs de la maison étaient pestilentielles et insupportables, le mari voulut bien lui céder la maison pour le dixième de sa valeur réelle, à la condition qu'elle signe les papiers le jour même et qu'il conserve tout ce qu'il y avait dans ladite maison. Elle accepta et, dans l'heure, les avocats de l'ex-mari lui envoyèrent les papiers.

Une semaine plus tard, l'homme et sa nouvelle petite amie affichaient un sourire narquois en regardant les déménageurs emballer toutes leurs affaires et les déménager dans leur nouvelle maison. Tout, absolument tout.

Y compris les tringles à rideaux...

Message 514 sur 514
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