""Je comprends ton sentiment.
Mais tu as aussi des tords.
Tu dois les reconnaitre.
Tu ne peux imposer le partage.
Il dois venir de lui même.""
Non Business, c'est inexact. Certains prétendent ici avoir le monopole du bon goût, je ne vois pas en quoi la philosophie serait plus à rejeter que l'actualité non ebay-ique ou que d'autres niaiseries encore bien plus futiles.
Je n'ai pas souvenir avoir été importuner les paris de foot, chacun son truc, et si certains prennent la philo comme une démonStartion de supériorité, c'est leur pb, et si d'autres ne voient pas le rapport entre philo et travail, c'est aussi leur pb, personne ne les oblige à participer.
Si vous permettez je reprends ce qui m'était adressé.
Bien sûr Dmp, je suis à cce niveau là tout à fait d'accord avec toi. Ce que j'ai dit dans le thread sur ce sujet. Ou est la limite de ce qui est acceptable, nous sommes tous là, avant tout pour échanger. Nous pouvons échanger, philosophie, botanique, Amitié, Amour, Argent.
Qui aurait ?, et je me repete, qui aurait la prétention de nous dire ce que nous pouvons échanger et ce que nous ne pouvons pas échanger ? ou pire! ce que nous devons ou ne devons pas échanger ??? Qui ?
Bien sûr
l'échange est à la base de tout cela. Et je ne cesserai de le repeter. C'est le business.
Alors qu'est ce qu'un échange ?
Un échange est tout simplement un acte bilatérale.
Je te donne! ; tu me donne.
Je t'aime! ; oui! ; mais je t'aime parceque tu m'aimes!
Si je te donne... C'est parceque je reçois de toi!
Je te donne ma parole! Mais donne moi la tienne en échange!
Et quand L'un estime avoir donné à l'autre...Et l'autre éstime n'avoir rien reçu! alors forcémment il ne veut pas donner...
Par exemple, sur un échange de conversation.
Quand l'un parle à l'autre. Si il veut vraiment donner, ne doit il pas se mettre à la portée de celui à qui il s'adresse ? Si celui qui est en face de lui n'est pas à ^mêême de comprendre ce que l'autre lui dit... Comment pourra t-il lui rendre ce qu'on lui a donné...
C'est en cela, pour finir, que je pense qu'il y a une erreure. Comment voulez vous que l'autre vous rendent, ce qu'il n'a, déjà, pas l'impréssion d'avoir reçut ?
En d'autres termes, si tu veut donner quelque chose à quelqu'un, et qu'il se trouve à deux mètres de toi, en toute bonne conscience, tu fais l'éffort de te rapprocher. Du moins si tu espere quelque chose en retour.
Aussi l'impression qui a pu etre donnée, par erreure, est celle d'une donne lointaine, sans laisser aucun espoir de retour de donne quelconque, comme si celui qui donne n'avait absolument rien à reçevoir de celui qui a reçu. E t c'est en cela que je voulai dire qu'elle pouvait paraitre imposée.