le 11-07-2013 00:50
Bonsoir toutes et tous.
Je m'absente une journée et je découvre que les fils créés durant la migration ont disparu !
Julie a déjà expliqué pourquoi, mais quel dommage, il y avait eu des échanges sympas.
@Severus, avez-vous pu voir avant leur suppression les photos que j'avais postées au sujet de votre pelouse géante ?
J'essaye ce soir de rattrapper mon retard de lecture de posts, mais vais devoir continuer plus tard.
J'ai lu que certains demandaient comment mettre des images. Pour celles que je trouve sur internet, je fais juste un "copier-coller".
Bonne nuit tout le monde.
le 03-08-2013 01:02
Un peu de Baudelaire avant d'aller se reposer :
le 04-08-2013 00:45
.
le 04-08-2013 01:06
Bonsoir,
Dans la vidéo du bain de l'oiseau, le chat n'est pas téméraire en effet, ni peureux l'oiseau!
- poème -
ci-dessous, pas de chat, ni de sourire sans chat, mais un rire qui perdure, après le départ de son rieur..
Tête de faune
Dans la feuillée, écrin vert taché d'or,
Dans la feuillée incertaine et fleurie
De fleurs splendides où le baiser dort,
Vif et crevant l'exquise broderie,
Un faune effaré montre ses deux yeux
Et mord les fleurs rouges de ses dents blanches
Brunie et sanglante ainsi qu'un vin vieux
Sa lèvre éclate en rires sous les branches.
Et quand il a fui- tel qu'un écureuil-
Son rire tremble encore à chaque feuille
Et l'on voit épeuré par un bouvreuil
Le Baiser d'or du bois, qui se recueille.
Arthur Rimbaud
Bonne nuit !
le 04-08-2013 22:14
Bonsoir,
Avez-vous de l'humour en matière de philosophie ?
http://www.youtube.com/watch?v=q64oDKv-KnE
le 04-08-2013 22:40
Bonsoir,
"Il ne peut y avoir 2 êtres infiniments parfaits car 2 ne ne feraient pas plus qu'un"...
On dirait un démonstrateur commercial pour Dieu sait quoi!!!...avec un rire d'illuminé à la Mozart
Avec la prestation façon Narcisse-Guignol de B. Giraudeau, ça commence fort...Comme le coup de prétendre avoir démontré l'existence de Dieu et de "tout aussi bien pouvoir démontrer le contraire""si vous l' voulez Votre Majesté
La ..."finition" à la Bastille a quelque avenir devant soi...
excellent...!
le 04-08-2013 23:02
Bonsoir die Katze,
C'est un extrait de "Ridicule", film de Patrice Leconte - Je savais que tu avais de l'humour
J'ai vu que tu postais parfois à 2h du mat., l'heure à laquelle je me lève ! Insomniaque ? Chaleur d'été trop intense ? Ou les 2 ?
le 05-08-2013 00:03
Re Aksel,
J'adore "philosophailler"
..Comme je trouve hilarant l'évocation de nous autres humains - comme spectateurs (extérieurs) du Cosmos confortablement assis (et tant que l'on y est, pourquoi pas dans des fauteuils en velours rouge, comme au théâtre ou à l'opéra), mais un brin plus haut et plus loin qu'au ras de nos douces pâquerettes, dont il reste malgré tout peu aisé de se soustraire, comme du Cosmos lui-même...mais comment faire pourtant, pour se représenter ce "Tout", Espace et Temps mêlé qui nous échappe tout en nous englobant ?
-- sinon par des subterfuges et des images, dont les documentaires sont de plus en plus doués de l'usage à en faire pour nous rendre un peu plus accessibles à une représentation de l'irreprésentable...
quant à la justification par les chiffres et les équations, personnellement, j'me sauve!!!...
Ben voilà, élucubrations, quand vous me tenez
et donc, à 2h00 du mat sur l'ordi', oui, ça m'arrive : j'ajoute que le documentaire via Youtube sur le Temps, l'autre soir, je n'avais pas envie de le différer : c'était un excellent alibi pour donc, l' insomnie, oui, + la chaleur faisant office de cerise sur le gâteau, c'est le bouquet, la preuve :
(Illustration d' Alain Le Foll)
Se lever à 2h00 du matin est plus que matinal
Gute Nacht !
le 05-08-2013 22:54
Bonsoir,
- « Philosophailler » est un terme péjoratif qui me laisse indifférent. Pourquoi ? Je ne sais pas.
- Le cosmos : je trouve naturel de s’y intéresser, pas forcément pour expliquer la vie, simplement pour découvrir ce qui nous entoure ; obtenir des infos sur notre système solaire serait déjà pas mal ! Mais je n’aime pas m’appesantir là-dessus car, entre mon père mathématicien et mon frère prof de maths, j’avoue que ça me saoule (parfois).
- Perso « les fauteuils en velours rouges et l’opéra » j’en mets partout dans mes romans. Je suis en lévitation grâce à l’écriture, et je laisse les pâquerettes aux autres. Désolé pour ceux qui n’ont pas trouvé de sens à leur existence ou qui n’ont pas eu l’occasion, la chance (peut-être) de lui donner un sens. C’est l’égoïste (parmi tant d’autres) qui parle.
- L’aérien : je le déconseille fortement à cause des horaires décalés qui perturbent la santé et l'organisation de la vie de famille.
le 05-08-2013 23:18
Bonsoir tout le monde,
@ Aksel : romancier ? publié ? quel style ?
@ tous :
Je viens de voir sur Arte un film vraiment différent, que je n'avais jamais vu et que j'ai beaucoup aimé : Pique-nique à Hanging Rock de Peter Weir.
Un film lent, très esthétique, troublant.
Pour celles et ceux que ça tente, il sera rediffusé sur Arte le 12/8 à 13h35 et diffusé en replay pendant 7 jours sur Arte+7 :
http://www.arte.tv/guide/fr/030036-000/pique-nique-a-hanging-rock?autoplay=1
le 06-08-2013 00:51
Bonne nuit à tous.
le 06-08-2013 02:09
Bonsoir/bonjour,
@ Aksel,
Oui, « philosophailler » est carrément péjoratif…
-- Qu’un terme péjoratif mérite autre chose que de l’indifférence ? – Je ne vois pas, en effet.
je l’entendais plus simplement au sens de : « jouer » avec la philosophie, avec dérision, sinon autodérision comme par ton abbé du film « Ridicule » joué par B. Giraudeau, ce qui nuance la donne (léger)..
Mais dire : « j’aime philosopher », c’est prétentieux (aussi ) et je ne vois pas qu’il y ait de 3ème terme...je veux bien inventer un néologisme, sauf que l’on ne m’a rien demandé, d'ailleurs!
Résolument j’aime l’approche de la philosophie qu’il m’a été permis d’en avoir, du jour où l’on m’en a dit :
« vous pouvez dire absolument n’importe quoi en philosophie…à condition d’en justifier » :
parce que cela ouvre un champ de possibles incroyables…qu’il « suffit » (...) de maîtriser par des arguments rigoureux…
puis, lorsque - par chance - ta pensée se développe de sorte à ce que tu parviennes à ce que même une seule phrase poétique la dise avec plus de justesse pour l'objet que tu vises, c'est quelque chose..
- « Le cosmos : je trouve naturel de s’y intéresser, pas forcément pour expliquer la vie, simplement pour découvrir ce qui nous entoure ; obtenir des infos sur notre système solaire serait déjà pas mal ! »
-- On a déjà pas mal d’infos sur le système solaire (dont tu (entre autres) sais mieux que moi!).
Pour « le reste » ( !), je préfère la lune et la voie lactée dans l’univers poétique…ou en photographie !
Les conceptions changeantes de l’Univers au fil du temps et de l’évolution de la pensée des philosophes, comme de ses hypothétiques modèles de fin (celle-ci seule semblant assurée) moi m’intéressent davantage : et le pourquoi…
Pour autant, on ne s’appesantira pas davantage sur ces questions si elles doivent soûler qui que ce soit.
« Perso « les fauteuils en velours rouges et l’opéra » j’en mets partout dans mes romans. »
-- Il y a donc plein de places assises dans tes romans… ? -- A toi de voir si tu souhaites nous en dire davantage !
« Je suis en lévitation grâce à l’écriture, »
-- Cet effet lévitation-là, je le connais je pense, pas pour écrire des romans, mais de la poésie… dans de tels moments , le temps n’a plus guère de prise : on lui échappe – subjectivement seulement peut-être – mais que vive, en de pareils instants, cette « solitude habitée ».
« et je laisse les pâquerettes aux autres ».
– tu ne laisses pas les pâquerettes ! Et j’en parlais aussi en tant que "réalité au sol" : ce n’est pas de ma faute si ces jolies petites fleurs se sont laissées dénaturer , dans une expression parlée, là encore, péjorative : ceci dit, on ne peut pas être « au sol » (notre condition terrestre) ET dans l’espace pour explorer tout ce qui s’y trouve (je veux bien faire le voyage dans le cas contraire, mais ce n’est pas d’actualité)- il faut jongler avec le terre à terre des expressions et leur possible double-sens : c'est mon sel!
« Désolé pour ceux qui n’ont pas trouvé de sens à leur existence ou qui n’ont pas eu l’occasion, la chance (peut-être) de lui donner un sens. C’est l’égoïste (parmi tant d’autres) qui parle. »
-- Serais-tu cassant un brin ? –- Ne le sois pas cependant : Il est des accidents ou cassures de la vie qui coupent parfois les ailes avant d’avoir volé… Je ne te crois pas si "égoïste", par ailleurs.
Et encore ceci que le sens de la vie (?) et/ou la direction qu’on lui donne ne sont pas identiques, je pense.
.
le 06-08-2013 02:13
@ Gsouchet,
le lien vers le film dont vous nous parlez semble plutôt prometteur...je verrai si je suis disponible pour le voir le jour "j" et vous en dire mon opinion (si souhaitée)
Ainsi soit-il dit
Et....bonne nuit!
le 06-08-2013 11:53
Bonjour,
@ Smiling :
Le film sera rediffusé le 12/8, mais avant vous pouvez le voir quand cela vous chante, de jour comme de nuit, en replay sur internet sur Arte+7 (c'est le lien que j'ai mis).
06-08-2013 17:31 - modifié 06-08-2013 17:31
Bonjour,
@ Gsouchet,
film prometteur, je voulais dire, pour le lien ça promet.. autrement (...) (j'suis trop douée avec l'informatique!) je devrai donc attendre sa rediffusion classique (souci de téléchargement etc...)
En attendant, voici un morceau de Gheorghe Zamfir!
Bonne fin de journée!
le 06-08-2013 17:56
No tea, no time : no tea-time
Naughty time!
C' est bon, je sors...
le 07-08-2013 00:23
@ Smiling,
Il n'y a rien télécharger. Une fois que vous avez cliqué sur le lien, vous arrivez sur la page d'Arte. Au-dessus du descriptif du film, vous avez un grand rectangle où il suffit de cliquer sur la flèche pour que le film démarre.
Très reposant, la flûte de Pan.
le 07-08-2013 17:31
@ Gsouchet,
Une feuille, un stylo et de l’imagination, et je me mets à écrire des nouvelles (=courts récits) que je développe par la suite, s’il y a matière à le faire bien sûr. C’est un exercice rigoureux qui nécessite une bonne préparation, « ossature » devrais-je dire. Il faut également être capable de faire son autocritique (pour ma part : rythme trop rapide et personnages souvent ambigus).
C’est le genre fantastique qui m’attire le plus, avec toutefois une bonne dose de réalisme. Que dire sinon vous exposer un fragment de mon « œuvre » (qui sera sans doute publiée dans un futur proche ou lointain).
@ Smilingcheshirecat,
Le fait même que tu aies l’apparence du familier m’oblige à te tutoyer, mais c’est une maladresse de ma part car tu es poétesse, et que le « tu » te rebute probablement. Je m’excuse de tant de familiarité à ton égard, mais ne peux revenir sur ce pronom si personnel.
« tu ne laisses pas les pâquerettes ! »
Serre les dents Smilingcheshirecat car je vais scier l’arbre de la connaissance pour te faire tomber dans les pâquerettes avec moi. On pourra philosopher, que dis-je, philosophailler. Et lorsqu’on aura fini de parler pour ne rien dire, on philosophera dans le bon sens du terme, à moins que tu aies un néologisme à nous proposer (?)
le 07-08-2013 17:38
Bonjour,
@ Gsouchet, merci encore pour le lien et la suggestion (renoncé à comprendre pourquoi ça n'avait pas marché du 1er coup : je l'ai vu, c'est le principal)
une belle critique à lire: http://www.filmdeculte.com/cinema/film/Pique-nique-a-Hanging-Rock-2150.html
J'ai bien aimé ce film au climat étrange en effet. Images des jeunes filles à la David Hamilton un peu.
Les rochers noirs - Hanging Rock - imposants comme des personnages - parfois presque personnifiés.
Sans cesse le film insiste sur le contexte victorien : image la plus concrète: le portrait de la reine Victoria siégeant en bonne place dans le bureau de la directrice du pensionnat.
Discrète, mais revenant de manière récurrente - visuellement - la règle d'or du silence, inscrite en lettres d'or dans l'escalier central de l'école : "Silence is golden" :
le silence est d'or : il est intéressant de noter que la formule en anglais comporte de l' ambiguïté : elle pose question (jusque sur les forums anglophones de vocabulaire )
-- est-il plus juste/justifié de dire : "silence is gold" ou "silence is golden" ? La deuxième formule semble l'usage ( si même on peut rencontrer la première)
"Silence is golden" -- d'où l' ambiguité ? : parce que "golden" veut à la fois dire "en or", "d'or" donc, mais aussi "doré" Le silence n'est pas fait en or (gold made) mais il en a valeur symbolique.
En français, la formule ne prête pas à interprétation (confusion?), tout en ayant même sens.mais le double sens est possible en anglais, puisque clairement, golden veut aussi dire "doré".
Le silence - à faire sur le drame (?) - comme le mystère qui ne se lèvera pas sur sa cause - et jusqu’à la fin du film - baigne dans une lumière dorée : celle de l'été (?) ou du chaud soleil australien, comme de la photographie...
Le drame est dans "un cri muet" :
car, absurde, les battues des policiers ne les mènent pas jusqu'en haut des rochers suffisamment pour trouver au moins la jeune fille retrouvée par un des 2 garçons. A lui seul, il parvient là où je ne sais combien de professionnels, avec chiens et grappins échouent...
Par contre, au "pied du drame" (les rochers) on va se prendre et se faire prendre en photo...
Des (faux ?) "ingrédients" pour une piste ?
l'un des lézards, plus gros, partiellement bleu semble faire front, à un moment sur le chemin : comme pour (nous) suggérer une menace (?)......
les anfractuosités des rochers dont l'une, filmée de l'intérieur, semble évoquer que quelque chose surveille de là (en même temps, cela renvoie à notre place de spectateur, comme d'abord à celle du caméraman, nous posant tous en voyeurs) -
L'austère directrice fait office de caricature.Tenue de gérer la fragilisation financière de son école, suite au scandale des événements, elle a plus de larmes pour elle que pour les disparues, ou pour Sara qu'elle flanque à la porte. Vêtements noirs du deuil absolu sur la fin du film qui focalise l'image sur elle, hébétée, stupide, méchante et enfermée en elle-même alors que ne l'ébranle pas le nouveau drame survenu par sa faute : le suicide de Sara ; nous avons vu par les yeux de son tuteur venu la chercher qu'elle s'était tuée, comme par le désespoir dans ses yeux qui n'engendre pas d'écho dans le regard de cette "veuve noire" , qui est allée jusqu'à jeter l'opprobre sur la disparition (et sa cause possible) des jeunes filles : s'il y a au moins un "monstre" visible dans ce film, c'est elle...
Clins d'oeil :
. romantique : au "Petit Poucet", via les petits papiers blancs accrochés aux branches par le garçon parti en recherche des jeunes filles perdues, (mieux vaut que le vent ne se lève pas trop!)
. plus ambigu , la référence au petit chaperon rouge par le costume on ne peut plus rouge de la seule rescapée qui va quitter le pensionnat et fait effectivement voir rouge à ses camarades la pressant, jusqu'à l'hystérie collective, de dire "qu'as-tu vu? Pourquoi?Comment...?"...
Bon, il y aurait encore à dire (j'ai voulu faire court)
Bref donc, et les musiques : belles sur toute la ligne -
vous aurez aimé qu'il y ait "la petite musique de nuit" de Mozart j'en suis sûre.
Ma préférence à la flûte de
Et vous, quelles sont vos impressions?
07-08-2013 18:07 - modifié 07-08-2013 18:07
Bonjour Aksel,
qu'ironises tu sur le "tu" ? Quelqu'un y a - t-il trouvé à redire ?
J'ai dit que j'écrivais "de la poésie" je ne me suis pas dite poétesse...? mon "style" t' insupporterait-il ? Auquel cas, bien ton droit, mais je ne peux guère changer cela.
Quel arbre de la connaissance scierais-tu ? Et dès lors que cela ne faisant bruit, mes dents ne grinceraient non plus d'ailleurs... Que d'ironie...me semble-t-il, pas forcément justifiée, mais bon....
Ciel, "philosophailler" était bien piètre mot,
que tu me fais payer
comme de "rimailler" si d'aventure je m'y mettais
Je veux bien tenter de philosopher avec toi, mais je crains fort en effet d'être battue à plate couture : il m' est un peu trop facile d'écrire, je te l'accorde, (et de lire beaucoup moins)
L'image de la chute dans les pâquerettes est quelque part assez jolie...
Un néologisme? Pour l'heure je n'en vois, mais ça pourrait venir, au détour de quelque chemin!
Sérieux, les pâquerettes, quand j'en vois, je slalome entre elles comme je peux pour ne pas les écraser, pauvres fleurettes, mais ce n'est guère aisé.
Ton style est incisif dis-moi. L'est-il aussi pour tes nouvelles ? Si tu es partant pour nous transmettre un aperçu, je gage que personne ne s'en plaindra.
le 08-08-2013 01:02
Bonsoir,
@ Aksel,
Ainsi vous écrivez des nouvelles ! Merci d'avoir précisé que ce sont de courts récits, mais je savais déjà que des nouvelles ne sont pas nécessairement des informations !
Ce serait effectivement intéressant de nous en présenter un extrait choisi, à moins qu'il soit trop difficile, à partir d'un tout, de prélever un extrait représentatif et compréhensible. A vous de voir...
@ Smiling,
Heureusement que vous avez fait court ! Quelle analyse !
Quant à moi, je ne verbalise pas tout ce que je perçois d'un film. J'en apprécie l'ambiance, les différents allusions et sous-entendus, l'esthétique de l'image, etc... Je n'avais pas remarqué l'inscription au sujet du silence.
La petite musique de nuit de Mozart n'aurait à mon avis pas "collé" dans ce film, mais ce n'est qu'un avis personnel.
C'est une bonne chose que vous ayiez également aimé ce film ; je ne vous ai donc pas fait perdre votre temps en vous le proposant.
Je vais maintenant me livrer à ma petite lecture d'avant sommeil, rituel obligatoire, quelle que soit l'heure à laquelle je me couche.
Bonne nuit.