01-05-2016 15:09 - modifié 01-05-2016 15:09
Hello,
Un moment que je me tâte pour ouvrir ce fil dont l'espérance de vie va certainement être très limitée (surtout si certains [es] que je connais et avec lesquels [les] j'ai déjà eu affaire peuvent y accéder et poster). J'ai pris mes précautions.
Vu que nous sommes le premier Mai, journée internationale du travail :
http://www.journee-mondiale.com/2/journee-mondiale-du-travail.htm
Pourquoi ne pas en parler aujourd'hui.
Le premier jet du nouveau Code du Travail était honteusement à l'avantage des employeurs mais je n'ai pas suivi le 2ème jet. Donc parlons du premier jet.
Premier postulat : il y a des employeurs pourris.
Deuxième postulat : il y a des employés pourris.
Premier postulat : terminée malheureusement l'époque bénie où un employé pouvait partir et était certain de retrouver un travail du jour au lendemain. Les meilleurs étaient même directement ou indirectement contactés pour aller exercer son professionnalisme dans une autre entreprise.
Maintenant, il faut s'accrocher et les employeurs en abusent : "si ça ne vous convient pas, il y en a des dizaines qui tapent à la porte pour prendre votre place". Donc, il vous en demande plus et encore plus, tout ça gratos (bien que toute peine, supplémentaire qui plus est, mérite salaire). Ensuite à vous d'accepter ou pas avec les conséquences que cela implique. Vous refusez en lui rappelant les conditions de votre contrat de travail, et en général cela entraîne une ambiance délétère.
Deuxième postulat : pendant sa période d'essai, l'employé est absolument exemplaire. Ensuite, son C.D.I. est signé, et c'est là que tout change. Retards récurrents (ce n'est ni une faute grave ou lourde, donc pas de licenciement). Le jour ou il se doit absolument d'être présent pour une raison X ou Y, il peut téléphoner le matin même et s'absenter une journée impunément (trop fait la fête au mariage de Messaline et Bisounours ===>crise de foie carabinée, le fiston ou la fifille a fait un ca*ca nerveux et doit rester sous surveillance, et bien d'autres raisons incontournables. Il est vrai qu'il ne sera pas rémunéré, mais peu importe, ce n'est ni une faute grave, ni une faute lourde, il peut donc en abuser sans crainte).
Alors que faire pour retrouver cet équilibre qui convenait à tout le monde? Perso, je ne connais pas la solution.
Autre chose, il est reproché les débordements dans les manifs. Certes, les casseurs n'ont rien à voir dans ces défilés. Mais la question est la suivante : s'il n'y a pas de violence, vous ne pensez pas que le gouvernement rigole doucement et n'en à rien à battre? Ils passeront leurs lois, leurs codes, tout ce que vous pouvez imaginer d'autre sans aucun souci. De Gaulle avait dit : "Les Français sont des veaux". Il n'en a pas été de même en mai 68. C'est bien parti pour qu'il en soit de même. Vous avez raison les jeunes, ne vous laissez pas faire, qu'il y ait des tables rondes où chacun pourra apporter ses idées, ses espérances.
Bien, bravo à ceux qui ont eu le courage de lire mes récriminations jusqu'au bout.
le 19-06-2016 08:47
peut-être bèn qu'oui.....
sinon, voici la solution .....
le 19-06-2016 11:55
le 19-06-2016 11:56
le 19-06-2016 18:51
le 19-06-2016 19:22
le 19-06-2016 20:13
le 21-06-2016 11:58
le 21-06-2016 18:38
le 22-06-2016 09:18
le 22-06-2016 11:52
le 23-06-2016 13:18
le 23-06-2016 14:13
le 11-07-2016 12:21
le 12-07-2016 15:03
12-07-2016 21:24 - modifié 12-07-2016 21:26
le 13-07-2016 09:58
Grrrrrrrrr Cadelac, tu m'as devancé. Ils n'arrêtent pas d'en parler sur BFMTV.
le 13-07-2016 10:01
le 13-07-2016 10:40
T'inquiète pas tu n'auras pas de mal à trouver une autre info "normale" ... la liste doit encore être bien longue et ce n'est que ce qui sort dans les médias ...
Bonne journée
13-07-2016 11:16 - modifié 13-07-2016 11:17
C'est vrai qu'aujourd'hui tous les médias en font écho
"Contacté par l’Agence France-Presse, la présidence n’était pas joignable dans l’immédiat, mardi soir, pour réagir à ces informations. Mais, la publication satirique assure que « l’Elysée confirme sur toute la ligne ». Et de justifier : Olivier B. « commence très tôt sa journée de travail, avec une grande amplitude horaire : il recoiffe le président tous les matins et autant de fois que nécessaire, à chaque prise de parole publique », week-ends compris.
Interrogée par l’hebdomadaire, l’avocate du coiffeur ajoute qu’il s’agit d’un contrat d’exclusivité, ce qui signifie que son client a dû fermer son salon situé dans le 17e arrondissement parisien : « Il est à la disposition du président 24 heures sur 24, il ne se fait jamais remplacer par des extras. Il a raté la naissance de ses enfants, leurs bras cassés, leurs opérations... »
Le Canard enchaîné cite également l’article 5 du contrat de travail, où l’intéressé « s’engage à observer, pendant et après l’expiration de son contrat, le secret le plus absolu sur les travaux qu’il aura effectués ou les renseignements qu’il aura recueillis ».
le 13-07-2016 15:58
Info bien confirmée :
13 juillet 2016 - Le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a confirmé lors du compte rendu du conseil des ministres le montant du salaire du coiffeur de François Hollande en poste à l'Elysée depuis 2012, soit 9.895 euros bruts par mois (qui s'accompagne d'éventuelles indemnités de résidence et autres avantages familiaux)
"Tout le monde se coiffe, non ?", a lancé Stéphane Le Foll.
Olivier B. commence "très tôt sa journée de travail" avec, apprend-on, la particularité d’avoir "une grande amplitude horaire", autrement dit de coiffer et "recoiffer" le chef de l'Etat "autant que nécessaire"