le 24-05-2014 17:26
Bonjour toutes-tous,
Maintenant que ce forum n'est plus en lecture libre mais qu'il faut être connecté pour y accéder, nous sommes censés être entre adultes. Les modérateurs ne pourraient-ils pas lâcher un peu de lest (tout en restant dans les limites du raisonnable) pour redonner un peu de vie à ce forum agonisant qui a fait les beaux jours des anciens?
Ça changerait des kikoos bizous (© Lusi)
Le règlement interdit d'encourager la dispute entre membres, ce qui est bien sûr n'est pas déraisonnable, mais une petite prise de bec de temps en temps, toujours (je me répète) en restant dans les limites du raisonnable, ne peut nuire à la bonne ambiance . Aux modérateurs de veiller à ce qu'il n'y ait pas de débordements.
Je me lance :
le 12-12-2015 17:43
moi qui croyais que Richelieu avait interdit les duels, déjà en 1615.....
le 12-12-2015 19:22
le 12-12-2015 19:38
le 12-12-2015 19:41
@rauschomm a écrit :moi qui croyais que Richelieu avait interdit les duels, déjà en 1615.....
Hello Lafleur (merci Wikipédia)
Le duel entra dans les mœurs et devint une sorte d’institution propre à la noblesse et à la bourgeoisie, bénéficiant de la bienveillance des autorités. Il devint l'apanage des parlementaires et des journalistes, en quête de légitimité. Lors du duel opposant Clemenceau et Déroulède, les gendarmes étaient bien présents, mais non pour arrêter les participants : ils s’employèrent à contenir la foule trop nombreuse des curieux. Une codification de plus en plus stricte s'élabora, comme en témoignent la publication de nombreux manuels de duels (le plus célèbre étant l’Essai sur le Duel du comte De Chateauvillard en 1836) qui précisent les procédures :
le 12-12-2015 19:41
@pile_ou_face a écrit :Bonsoir ici
@marje31Je suis outré par ton post .............
Non par pour ton image ....
mais pour le lieu du méssage ... une suggestion
excellent Pile !
Par contre telle que je te connais tu t'en remettras
le 12-12-2015 19:49
@marje31 a écrit :
@pile_ou_face a écrit :Bonsoir ici
@marje31Je suis outré par ton post .............
Non par pour ton image ....
mais pour le lieu du méssage ... une suggestion
excellent Pile !
Par contre telle que je te connais tu t'en remettras
Je pense oui ........... mais je te tournerais jamais le dos
le 12-12-2015 21:08
@pile_ou_face a écrit :je pense oui ........... mais je te tournerais jamais le dos
Tu peux Pile, tu peux me le tourner ! à c’que je sache je ne fais pas partie du gouvernement moi
et puis les trous de balle je les fuis aussi
le 12-12-2015 21:41
Bonne nuit Marje ... lectrices et lecteurs
12-12-2015 23:43 - modifié 12-12-2015 23:47
@pile_ou_face a écrit :
Bonne nuit Marje
... lectrices et lecteurs
Il était un des plus grand jouer du golf....avant!
le 13-12-2015 08:57
Ça, c'était dimanche dernier. Ça va certainement être la même chose aujourd'hui.
le 13-12-2015 10:28
le 13-12-2015 11:33
Rien à voir, mais j'aime bien cette citation :
le 13-12-2015 12:04
Tiens , en nous faisant écouter sa chanson , grincheux m'a fait pensé a vous demander à
vous , les anciens , si un fil de chansons paillardes , pourrait exister sur le bistro , est ce que la modération le tolérerait ?, car il y en a des gratinées , mais bien gauloises
peut être que ça a existé au début ?, s'ils passent par là , ce serait bien d'avoir leur avis !
et quand on y pense , c'est toujours plus saint , que la politique ou la polémique
j'en connais qui pourraient se défouler et feraient rougir ( de plaisir ) nos chastes oreilles ,
@lekandid a écrit :Rien à voir, mais j'aime bien cette citation :
heu!!!
oué !!!
le 13-12-2015 14:27
le 13-12-2015 14:30
le 13-12-2015 14:36
C'est exact !
le 13-12-2015 15:46
Tout d'abord, un petit avertissement. Á prendre au 1er ou deuxième degré, avec dérision ou avec colère, au choix. Il y a assurément parmi ceux qui postent et ceux qui lisent sans poster, certains qui ont leur croyance (peu importe laquelle). C'est la raison pour laquelle je ne recopierai pas la dernière phrase de ce chapitre, afin de ne blesser en aucune façon ceux qui ont leurs principes spirituels.
LE SAGE RELIGIEUX.
Il y a gens dont on reconnaît l'inutilité patente, on en croise des brassées dans les ministères, mais la pire engeance reste l'ensemble des curetons, moines, exégètes, et autres barbus et chauves, qui passent leur temps à prôner la paix pour mieux déclencher la guerre. Il faut les voir avec leurs tronches de Père Noël se donner la main, s'embrasser l'anneau, se bénir, se b@aiser les pieds en faisant croire aux bl@ireaux en tous genres qu'il n'y a qu'un seul Dieu, qu'il est de paix et qu'il réunit les hommes. Rien qu'à voir le sourire extatique du bonze, du rabbin, du mollah et de l'évêque, on devrait comprendre que ces mecs n'en ont rien à cirer du reste de l'humanité et qu'ils vivent dans le monde étrange de l'illusion et du faux-semblant. Voilà le juif qui s'offusque que l'on souille le mur de la moquée, voilà le musulman qui pleure devant la tombe juive profanée et voilà le curé qui prêche le rapprochement entre toutes les obédiences pendant que le moine tibétain, devenu soudain un héros chez les bobos, manie sa clochette. Chacun sait qu'au nom de la religion, on s'étripe d'un bout à l'autre de la planète, que des bus sont interdits aux femmes, que les h0mosexuels sont exclus et que des prêtres vivent sur le dos de la misère, mais tous continuent de sourire et se donner la main en prêchant un impossible œcuménisme. Les plus pathétiques sont certainement les nouveaux c* qui multiplient les symboles inutiles au nom de la sagesse des religions en organisant, par exemple, des soirées entre chiites et sunnites ou entre pentecôtistes pur jus et catholiques Télérama. Ils multiplient les tentatives pour faire pleurer dans les chaumières et affichent leurs réussites devant les caméras, alors que le résultat est nul au niveau des nations, des états et des populations. Les guerres continuent, les massacres aussi, mais on peut croire un moment que les religions n'y sont pour rien, puisque quelques mitrés et enrubannés se sont embrassés chaleureusement ou ont vaguement échangé sur la vraie marche de Moïse dans le désert, lors d'une passionnante émission sur Arte. Car, bien sûr, vous constaterez que les religieux sont sans cesse en train de nous citer des textes d'amour et de tolérance pour nous faire comprendre que tout ce qui arrive est toujours la faute des infidèles, quels qu'ils soient. Ça ne peut pas être nous, puisqu'en page 6667 du verset du bouquin qui nous de référence, il est écrit : "Jamais la guerre tu feras, toujours l'amour tu prôneras". Alors, hein? Qu'est-ce que vous dites de ça! Et puis ces petits vieux qui marchent avec peine en traînant la patte peuvent-ils être responsables de millions de morts depuis des siècles et des siècles, et encore pour des siècles et des siècles? Car, dans ce domaine, rien ne se compte en années. Avec leurs gueu*les d'angelots vieillissants ou de vieux pébroques repliés, on leur confierait un nouveau-né. Mais ne vous y trompez pas, à chaque fois qu'ils lâchent de l'amour, c'est pour vous poignarder dans la minute qui suit.
le 14-12-2015 14:07
Un peu plus soft qu'hier :
LE NOUVEAU TRAVAILLEUR SOCIAL.
La tendance à l'ingénierie est bien antérieure à la promotion comme ministre du directeur d'Emmaüs. Le travail social, depuis une dizaine d'années, et devenu un tremplin comme un autre pour réussir professionnellement et s'élever dans la hiérarchie sociale. Ces nouveaux travailleurs(euses) sont devenus animateurs, éducateurs ou directeurs pour entrer dans une boîte où ils espèrent bien réussir leur carrière. Puis ils ont suivi des formations où on leur a appris la réalisation de leurs projets, le marketing, le management et la promotion de leurs produits, plutôt que l'aide et le contact aux populations en souffrance. Très vite les travailleurs sociaux troquent le jean et le T-shirt contre le costume trois-pièces et l'attaché-case et commencent à traiter les personnes qu'ils sont censés aider comme des usagers, puis comme des clients. Ils deviennent les rois du bilan, de l'évaluation et des dossiers de suivis, emplissent des tonnes de tableaux avec des camemberts en couleur, afin de remplacer par la parlotte ce qu'ils sont devenus incapables de faire dans le réel. Très vite ils montent le projet qui tue et cherchent les subventions pour payer les sous-traitants et les locaux de l'association. Ils s'associent à d'autres associations qui s'associent encore à d'autres associations jusqu'à devenir incontournables sur un département, une ville ou une région. Le nouveau c* du social devient une "huile de la cité" qui b0uffe avec le maire, le préfet et le député et revient dans son bureau pour engueuler ses collaborateurs. Il est obnubilé par un seul objectif, ressembler comme deux gouttes d'eau à une boîte privée qui gère des voyages, les ordures ménagères ou des services clients.
Pour lui il n'y a aucune différence entre l'action sociale et une entreprise d'import-export et fera tout pour ressembler lui-même à ces patrons qu'il admire. La qualité du travail sur le terrain est parfaitement secondaire par rapport à l'image de la boîte et la satisfaction des commanditaires. La fin justifie tous les moyens et, d'ailleurs, les pauvres et les indigents doivent exécuter sans broncher les diktats de ces petits chefs représentants béats devant une société déjà bien aimable de s'occuper de ces miséreux. Les pauvres deviennent alors simplement une source de revenus potentiels, si l'on sait monter le bon projet et n'ont d'intérêt que s'ils adhèrent à ce projet lucratif pour l'association ou la fédération porteuse. Ces nouveaux c* cherchent cependant la reconnaissance du cœur et savent aussi se mettre en avant pour obtenir colifichets ou autres breloques distribués par l'état aux meilleurs de ses citoyens. On voit alors de véritables consortiums privés accaparer l'essentiel des subventions allouées au travail social et sanitaire. C'est déjà le cas pour les handicapés, le sida ou la lutte contre la lutte contre la toxicomanie. Les personnels de ces maisons ne savent même plus quel est l'enjeu de leur boulot et ne parlent plus que de bénéfices, de placements, de fonds propres et de gestion. Ils sont sous-diplômés, afin de coûter le moins possibles, tandis que le travail se transforme peu à peu en pure garderie. On préférera toujours droguer un patient plutôt qu'il ne se lève et par là-même, il fait dans sa couche alors qu'il vaudrait plutôt l'accompagner aux toilettes. La femme de ménage coûte bien moins cher que l'éducateur.
le 14-12-2015 14:34
Bonjour.
J’ai aimé (Façon de parler) l’humour de TF1 sur la programmation du film d’hier soir,
juste âpres les résultats des élections,…
Métaphore ou comparaison à ???
le 14-12-2015 14:45
Explication de mon post
Qu'appelle-t-on les enfants du bon dieu ? Certaines personnes croient qu'il s'agit des anges !
Si c'était le cas, un chasseur de canards ayant oublié ses lunettes pourrait se méprendre et, un soir d'hiver, lors d'un passage à basse altitude d'un nuage d'anges migrateurs au-dessus de la toundra amazonienne, pourrait par hasard en mettre un au tapis.
Notez que cette bavure pourrait grandement lui faciliter une de ces très nombreuses recettes de cuisine où, après avoir mis ensemble plusieurs ingrédients dans un récipient, on met l'ange.
Bon, trêve de jeux de mots douteux et indignes de moi (quoique...), revenons à nos canards.
Les enfants du bon dieu, ce ne sont certainement pas des anges, puisque ce sont les hommes. C'est-à-dire vous, moi, ma soeur qui est aussi mon masseur, le policier qui vient de me coller une prune pour stationnement illégal et que je hais, le voisin du dessus qui écoute du rap à longueur de journée sans savoir que le bouton du volume peut aussi se tourner vers la gauche, ou ma très charmante voisine qui ne vit malheureusement pas seule.
Dans l'expression, les enfants du bon dieu, ce sont les hommes 'dignes de ce nom', donc intelligents, honnêtes et respectueux de leur prochain, qui sont opposés à des volatiles, supposés être de fieffés imb€ciles.
Son origine exacte étant inconnue, le choix du canard sauvage au lieu du piaf, du macareux moine ou de l'albatros à sourcils noirs reste inexpliqué.
Mais si son histoire n'est pas connue, cette expression a tout de même été utilisée par des personnes relativement célèbres comme Antoine Blondin, Michel Audiard ou le Général de Gaulle.
Pendant les périodes électorales, cette expression est brutalement oubliée par nos hommes politiques de tous bords qui n'arrêtent pas de nous prendre pour des imb€ciles.