Tout d'abord, la formule de politesse of course.
Ce fil afin de ne pas envahir les autres avec les pavés dont je suis coutumier. Si l'envie vous en prend, vous pouvez également en poster, ils seront les bienvenus.
Vous pouvez, bien entendu, chouiner si vous n'êtes pas d'accord avec les écrits. Toute contestation sera prise en considération. 
Á chaque pavé, j'indiquerai l'auteur(e) des écrits, ce qui vous permettra éventuellement de lui envoyer des lettres de menaces, d'insultes, voire des colis piégés.
En tout état de cause, si vous voulez participer, la porte est :
@*cadelac* a écrit :
@lekandid a écrit :Dommage que beaucoup de ces verbes soient tombés dans l’oubli!
Fernand Dupuy, ancien instituteur puis Député du Val de Marne, donnant une leçon à ses petits-enfants.
"Tu le sais, bien sûr depuis longtemps, le coq chante, cocorico, la poule caquète, le chien aboie quand le cheval hennit et que beugle le bœuf et meugle la vache, l’hirondelle gazouille, la colombe roucoule et le pinson ramage. Les moineaux piaillent, le faisan et l’oie criaillent quand le dindon glousse. La grenouille coasse mais le corbeau croasse et la pie jacasse. Et le chat comme le tigre miaule, l’éléphant barrit, l’âne braie, mais le cerf rait. Le mouton bêle évidemment et bourdonne l’abeille. La biche brame quand le loup hurle. Tu sais, bien sûr, tous ces cris-là, mais sais-tu? Sais-tu? Que si le canard nasille, les canards, eux, nasillardent! Que le bouc ou la chèvre chevrote. Que le hibou hulule mais que la chouette, elle, chuinte. Que le paon braille, que l’aigle trompète. Sais-tu que si la tourterelle roucoule, le ramier caracoule et que la **bleep** croule, que la perdrix cacabe, que la cigogne craquète et que si le corbeau croasse, la corneille corbine et que le lapin glapit quand le lièvre vagit. Tu sais tout cela? Bien. Mais sais-tu? Que l’alouette grisole? Tu ne le savais peut-être pas.
Bonjour ici
Bizarre ..... personne n'a demandé qui croule ?
la bécas*se ainsi que sa cousine bécassine
http://www.animaux-nature.com/liste-cri.php
https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9cassine_(oiseau)
https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9casse
TssTss @*cadelac*
Quand je pense que je passe les plus belles années de ma jeunesse à mettre des liens 
À quoi ça sert que je me décarcasse, re
Si tu avais cliqué dessus au lieu de te laisser emporter par ta fougue juvénile 
Cliquez sur le nom de l'oiseau souligné pour avoir plus d'informations sur cet oiseau
L'aigle glapit, trompette.
L'alouette grisolle, tire-lire, **bleep**.
La béc@sse croûle. (d'ailleurs mis dans le texte original mais remplacé par **bleep**. Ça rigole pas.)
La buse piaule.
Le butor butit.
La caille carcaille, courcaille, margotte.
Le canard cancane, canquette, nasille.
La chouette chuinte, hioque, hole, hue,(h)ulule.
La cigogne craquette, glottore.
La colombe roucoule.
Le coq chante, coqueline, coquerique.
Le coq de bruyère dodeldire.
Le corbeau coraille, croaille, croasse, graille.
La corneille babille, corbine, craille, criaille, graille.
Le coucou coucoue, coucoule.
Le cygne drense, drensite, siffle, trompette.
Le dindon glouglotte, glougloutte.
L'épervier glapit, piale, tiraille.
L'étourneau pisote.
Le faisan criaille, glapit, piaille.
Le faucon huit, réclame.
La fauvette zinzinule.
Le geai cageole, cajacte, cajole, cocarde, frigulote, fringote, gajole.
La gélinotte glousse.
Le goéland pleure, raille.
La grue craque, glapit, trompette.
Le hibou bouboule, bubule, hue, (h)ulule, miaule, tutube.
L'hirondelle gazouille.
La huppe pupule, pupute.
Le jars cagnarde, jargonne.
Le manchot brait.
Le merle appelle, babille, flûte, siffle.
La mésange zinzinule.
Le milan huit.
Le moineau chuchete, chuchote, pépie.
L'œdicnème crie.
L'oie cacarde, crialle, siffle.
Le paon braille, criaille.
La perdrix brourit, cacabe, glousse, pirouitte, rappelle.
Le perroquet cause, jase, parle, piaille, siffle.
La perruche jacasse, siffle.
Le pic jacasse, pleupleute.
La pie agasse, bavarde, jacasse, jase.
Le pigeon caracoule, jabotte, roucoule.
Le pinson fringote, ramage, siffle.
La pintade criaille.
La poule caquette, cocaille, coclore, codeque, coucasse, crettelle, glousse.
Le poussin piaille, piaule.
Le rossignol chante, gringotte, quiritte, trille.
La sarcelle truffle.
Le serin ramage, trille.
La tourterelle gémit.
Si tu avais cliqué dessus au lieu de te laisser emporter par ta fougue juvénile
Ce matin j'ai réussi l'exploit de lire 5 pavés en entier à la suite .... les liens je les ouvrirai l'année prochaine ...
Tiré de :
ON N'EST PAS OBLIGÉ DE TOUT BOIRE!
Finalement, une bouteille, il ne faut rien exagérer, ça ne fait que 75 centilitres! Avec la demie de 37,5, on imagine déjà toute la parcimonie d'un rituel contraint: un demi-verre pour l'entrée, une répartition mesquine à force de volonté égalitariste pour le plat de résistance. À tous les coups, il ne restera pas une goutte pour l'ultime rasade, juste avant le café. Et puis on croit sentir le geste restrictif imposé par la taille de la bouteille: un joujou à boire, restreignant la surface de la table par sa mignardise.
"On n'est pas obligé de tout boire!". La phrase est souvent prononcée devant le serveur. Lui est-elle destinée? Son impassibilité reste ambiguë. Il peut au choix vous ranger dans la catégorie des radins ou dans celle des alcooliques. On prend le risque de sombrer à ses yeux dans la seconde, mais il ne cillera pas. La bouteille commandée, on sent une ampleur bénéfique qui décrispe les épaules. Le repas tout entier vient de gagner en souplesse, en bien-être. En prenant la bouteille, on achète du temps et de l'espace, un rapport avec l'autre différent, quelle que soit sa proximité initiale.
On n'est pas obligé de tout boire bien sûr, mais il y a une place pour une amorce apéritive qui va saluer le décor et même la possibilité d'un silence gourmand (on a bien le temps de tout se dire désormais). Les choses avancent, mais on ne compte pas. Le plat du jour est déjà englouti quand on se risque à jeter un œil sur le niveau de la bouteille, en se disant l'espace d'un instant qu'une demie aurait suffi. C'est là qu'on remplit les verres avec une excessive générosité. Tant pis si le feu monte aux joues, on fera quelques pas dehors pour secouer cette douce hébétude, cet engourdissement très convivial, pas si déraisonnable au demeurant, puisqu'il en reste un peu, un petit fond de faux remords.
On a failli tout boire.
Tiré de :
Cette chronique datant du 9 septembre 2009, elle mériterait un coup de 
LA JOURNÉE MONDIALE DES S@LOPARDS.
Je ne connais rien à la politique étrangère de la France en matière de droits de l'homme. RIEN! Je dois être c0n.
Hier, j'ai lu dans la presse que Nicolas Sarkozy avait adressé ses félicitations à Ali Bongo (le fils d'Omar Bongo) pour son élection à la tête du Gabon. Or, il paraît que ce fut une parodie de démocratie: listes trafiquées, urnes bourrées… Un vrai scandale!
Depuis, à Port-Gentil, tous les soirs des émeutes éclatent, des habitants sont tués par les militaires et des opposants disparaissent.
Un sourd-muet, notamment, a été tué par des policiers. "Sans sommations" nous précise le Figaro. Mais ça n'aurait pas changé grand-chose.
Bref, la terreur règne et Sarkozy envoie un télégramme de félicitations à Ali Bongo!
C'est bizarre d'être aussi gentil avec quelqu'un d'aussi peu recommandable!
Ou alors, il faudrait que ce soit organisé: On crée une Journée Mondiale des s@lopards. Une fois par an, on rend hommage à un s@laud de son choix.
- Qu'est-ce que t'as fait toi?
- J'ai envoyé un télégramme à Ali Bongo pour son élection. Et toi?
- Moi j'ai envoyé des chocolats à Philip Garrido, le ravisseur de la petite Jaycee.
Il faut absolument trouver une date, l'institutionnaliser. La semaine dernière encore, pour souhaiter un joyeux anniversaire à Kadhafi, la France a envoyé deux avions de chasse survoler Tripoli. En 88, pour souhaiter un joyeux anniversaire aux Écossais, Kadhafi avait envoyé un Boeing 747 survoler Lockerbie*.
Ce genre de journée, ça permettrait de faire passer tout un tas de trucs un peu dégueus comme ces fameuses félicitations à Ali Bongo.
Je ne comprends pas l'attitude du Président. J'espère que ce n'est pas une séquelle de son malaise vagal.
Je vous dit ça parce que, en juin dernier, quand il avait encore toute sa tête, il avait dénoncé l'ampleur de la fraude électorale en Iran. Il l'avait fait, détail amusant, à Libreville, en marge des obsèques du président gabonais. Il avait dit aux journalistes présents: "C'est exécrable, le peuple iranien mérite autre chose."
Le peuple gabonais aussi mérite autre chose. Ce pays est le troisième producteur de pétrole d'Afrique subsaharienne, mais ses enfants ne sont pas scolarisés faute de structures… Il y a un problème!
C'est quand même bizarre que les Gabonais aient pu se dire: "Le père nous a ruinés, élisons le fils". Le Gabonais est ruiné, mais pas totalement c0n.
Omar Bongo possédait soixante-dix comptes bancaires en France. Une fois par semaine, il apprenait par cœur les codes de ses cartes de crédit.
Il parait qu'il existe d'autres dictateurs dans le même cas. Éric Woerth, notre nouveau Zorro de la finance, devrait s'en occuper: "Que tous les dictateurs qui possèdent des comptes en France se dénoncent!"
En revanche, si j'ai du mal à comprendre les félicitations du Président Sarkozy, je comprends parfaitement celles de Bernard Kouchner. Ah bah oui, Kouchner-Bongo, c'est une vraie histoire de famille. Bernard faisait énormément d'affaires avec le papa. Quelque temps avant sa mort, Omar avait encore versé 800.000 euros dans une société présidée par M. Kouchner. Le départ du vieux a été une véritable déchirure pour Bernard. Aujourd'hui, il faut reconstruire toute les relations avec le fiston… qui ne connaît pas forcément les procédures, les numéros de comptes, où déposer les valises, où planquer les clés de la consigne, etc.
Mais moi aussi je suis comme ça, je suis fidèle : M. Tétia, mon jardinier, son père travaillait déjà chez mon père. Et je le dis sans honte, à la mort de Tétia père, bien que d'autres jardiniers se soient présentés, j'ai engagé Tétia fils.
C'est quand même emmerd@nt ce télégramme de félicitations. Surtout que, durant sa campagne électorale, le candidat Sarkozy avait promis une rupture avec les anciennes pratiques: "Il faut tourner la page des complaisances, des secrets et des ambiguïtés".
Faudrait créer la journée "On s'en tape de nos promesses!" Une fois par an, on pourrait revenir sur celles déjà faites.
*Le 21 décembre 1988, un Boeing 747-100 assurant la liaison Londres-New York explose en vol, au-dessus du village écossais de Lockerbie et entraîne la mort de 270 personnes.
Extrait de ce livre d'Yvan Audouard (1914-†2004).
CÉSAR BIROTTEAU ÉTAIT-IL UN C0N?
Cet ouvrage n'est pas un traité de morale. Il se contente de rassembler un certain nombre de faits qui inciteraient à penser que le respect des lois relève de la plus archaïque des c0nneries. Les tourner ou les vi0ler ouvertement est devenu la règle et permet en outre de donner la pleine mesure de sa virtuosité intellectuelle.
DE LA FAILLITE CONSIDÉRÉE COMME UN DES BEAUX-ARTS.
César Birotteau, le héros de Balzac mort dans la misère mais dans la dignité pour avoir usé toute son énergie à rembourser la totalité de ses dettes, fait partie d'une espèce humaine qui n'est même plus "en voie de disparition". Sa lignée peut être considérée comme définitivement éteinte. La faillite, longtemps considérée dans le monde des affaires comme le déshonneur suprême, non seulement ne soulève plus une réprobation unanime mais est devenue un mode tout à fait normal d'enrichissement. Sa technique est désormais enseignée sans complexes dans les facultés de droit, et des entreprises se sont spécialisées dans l'organisation de séminaires de vulgarisation parmi les petites et moyennes entreprises qui n'en connaissaient pas très bien les avantages et conservaient à son égard des préjugés d'un autre âge.
On peut noter une évolution identique dans la noble profession d'avocat. Certains ingénus continuent de penser que le rôle de ces messieurs en robe est de défendre l'innocence. Ils ne se sont pas aperçus que, dans la plupart des cas, ils se bornaient à relever les failles de la loi pour sortir leurs clients du mauvais pas où les avait conduit leur déplorable malhonnêteté. On a même entendu à la télévision française un avocat américain déclarer sans le moindre trouble: "Quand je fais acquitter un coupable, je suis encore plus fier de moi que si j'avais fait acquitter un innocent".
Évidemment, cette attitude est entièrement contraire aux règles de l'Ordre. Mais il en est des règles de l'Ordre comme la fameuse obligation de réserve des magistrats. Il s'agit dans les deux cas d'une "expression consacrée". Mais de moins en moins par l'usage. Ce qui compte, c'est de trouver un vice de forme et, à partir de cet instant, le fond de l'affaire se volatilise. Ce qui était précisément le but de la manœuvre.
Je connais un docteur en droit qui est aussi une ravissante jeune personne. Précisons tout de suite qu'elle a été engagée comme conseillère juridique par un syndicat d'artisans pour sa compétence et non pour ses beaux yeux. Comme la législation professionnelle ne cesse de changer, elle tient fréquemment des réunions pour informer ses employeurs de son évolution.
"Ils n'ont pas fait d'études de droit, m'a-t-elle confié, mais ils comprennent très vite. Ce qui les intéresse, ce n'est pas la loi elle-même. Ce qu'ils attendent de moi, c'est que je leur apprenne la façon de la tourner. Dans ce domaine, d'ailleurs, ils se passent facilement de mes conseils et ils montrent beaucoup plus d'ingéniosité que je saurais en avoir".
Bonjour LEKANDID: aujourd'hui je vais t'écrire un gros pavé; pour te répondre car, une ou deux fois, tu m'as (très gentiment) chambrée sur le fait que je posais des questions ici, plutôt que de m'adresser à GOOGLE....
Mon Papa, mort il y a 20 ans, était paysan (sa vraie vocation) et ouvrier (car il fallait bien nourrir 5 enfants...). Du temps où j'habitais encore chez lui, en Italie, tous les matins on se retrouvait à 6 heures, moi je partais pour mon travail, lui rentrait de sa nuit à l'usine: il était toujours content, optimiste, avec une foi sans faille mais sans afféterie , il se cachait pour prier. Le matin il arrivait, secouait dehors ses sabots et disait: "che bella nevada" s'il y avait la neige; ou alors "quelle belle pluie, le maïs en a besoin"; ou alors "quel beau soleil, à ton retour ce soir les tomates auront rosi"...
Il connaissait tous les saints du calendrier et pour chacun, tous les matins, il me racontait une anecdote.
Au bourg, on l'adorait, le jour de son enterrement l'église - pourtant vaste - n'a pas suffi pour contenir tout le monde. Lors de sa courte agonie (entre l'annonce du cancer et sa mort il s'est juste passé 15 jours, il n'a AUCUNEMENT souffert) tous les 5 nous étions allongés sur son lit en lui tenant un ou deux doigts chacun.... à tel point qu'a un moment il a ouvert les yeux en rigolant "vous allez m'étouffer avant l'heure!" - Je lui ai demandé: "oh Pà, tu as peur, dis?" : "Peur? Mais il y a mon père, ma mère, mes frères et soeurs qui m'attendent, je vais les revoir, je suis impatient!"
Ses derniers mots en nous regardant: "Nii sèmper d'acordi" (aimez-vous toujours): encore maintenant je pleure en l'évoquant...
Tout ceci dit: un jour j'ai tapé "Mario C******" sur Google: il n'y avait RIEN
Des personnes comme mon Père, il doit y en avoir des dizaines de milliers: et ils ne seront jamais sur Google.
Quand j'ai besoin de me documenter, j'ai tous mes dictionnaires, vocabulaires, textes d'éthymologie, Atlas de géo..... : quel besoin de Google???
Merci de m'avoir lu jusqu'ici, et je te fais un bisou. Amalia
N'ayant pas eu le temps de répondre hier vu que j'ai passé la majeure partie de la journée avec ma benjamine, je me hâte de le faire ce jour.
Alors là, Lafleur, superbe. Si si, j'ai rarement lu quelque chose d'aussi beau et d'aussi fouillé depuis "Lettres d'une Péruvienne". Jusqu'à ce jour, je ne croyais pas à la réincarnation, mais là le doute m'étreint. Je dirai juste "Françoise de Graffigny, sors de ce corps".
Donc, pour ce superbe texte, bien entendu, je te mets un compliment car tu le vaux bien.
Il méritait une deuxième lecture. Et là, je me dis "superbe rhétorique" (oui, on peut maintenant. Ce terme autrefois réservé aux orateurs a maintenant droit de cité dans les écrits). Mais la seule chose qui me chagrine, c'est le manque de rectitude éthique. En effet, tu utilises le principe de la stratégie de la diversion (maintenant devenue monnaie courante) pour faire passer un message en détournant l'attention du lecteur. En parlant de ton papa, tu fais appel aux beaux sentiments qui retiendront la bienveillance dudit lecteur, et tu en profites pour faire passer un message qui est tout à fait différent, et certainement dû à une vieille rancœur qui ne s'est pas éteinte avec le temps. Eh oui, je n'ai pas souvenir de t'avoir "très gentiment" (j'adore) vannée concernant Google, mais si tu le dis, tu as certainement raison. Je serais juste curieux de connaître la phrase exacte et le contexte.
Maintenant, oui, j'utilise énormément Google, car c'est sur ce moteur de recherches que j'ai jeté mon dévolu. Cela aurait tout aussi bien pu être Bing, ou Yahoo, voire Lycos. Fut un temps où j'en avais essayé un autre, en l'occurrence Sohu, mais vu qu'il est en chinois, je pense avoir bien fait d'abandonner.
Mais au fait, qui n'utilise pas les moteurs de recherche sur le bistro? Toi par exemple Lafleur, les belles images dont tu nous gratifies sont-elles toutes de ton cru? Si ce n'est pas le cas, comment fais-tu pour les trouver?
Tu dis que tu n'as pas trouvé quoi que ce soit concernant ton papa. As-tu trouvé quelque chose dans la multitude de bouquins dont tu sembles friande? D'ailleurs, je n'ai rien trouvé te concernant non plus (du moins sous ton nom actuel). Une malédiction se serait-elle abattue sur ta famille? Ne m'en tiens pas pour responsable.
Toujours est-il que ton superbe texte est une belle perfidie car tu commences par faire appel aux beaux sentiments des lecteurs pour ensuite en arriver au but que tu t'étais fixé dès le départ, c'est-à-dire régler un compte pour quelque chose de vraiment banal, mais qui t'es restée en travers de la gorge.
Bien, sur ce, je te remercie également de m'avoir lu jusqu'au bout, et ne manque pas à tous mes devoirs, c'est-à-dire te faire le même bisou que celui que tu m'as accordé.
espérant à une mise au point et non à l'écriture de part et d'autre à celle de la haine ,(enfin je me comprends)
à de la taquinerie,mais qui sait combien futée à de la mesquinerie. ne voulant pas prendre partie ,car appréciant si ce n'est aimant les ces deux personnages du bistro ,et voulant faire diversion,j'ai trouvé pas loin de chez moi(Bordeaux) sur les pages jaunes (donc livre de chevet pour certains(es) un certain laf...r. spécialiste du bois et sur Google un certain k...d chanteur ,mon avis est partagé,on ne trouve pas tout n'importe où .une bonne journée à vous deux,en espérant que tout sera rentré dans l'ordre très rapidement.
bon je sais je connais le chemin 
Ce moment de décontraction vous a été offert par Lekandid et Lafleur qui se respectent mutuellement en tant qu'amoureux de la langue de Molière.
Mais revenons à nos moutons (si j'ose dire, Lafleur )
Extrait de :
En décembre 2000, soirée mémorable à "Qui veut gagner des millions?".
Arrive Christine. Elle, on a senti qu'elle aurait du mal. Première question : "Quel est le plus haut sommet de France?"
- Le Mont Blanc.
- Le Mont Canigou.
- Le Puy de Sancy.
- L'Aiguille du Midi.
Elle dit : "Ah ben, j'vois pas, j'voudrais pas dire de bêtise".
Foucault, atterré, lui dit d'un ton énervé : "Le tout est de savoir si vous voulez utiliser un joker ou pas".
La fille : "Oui, je vais demander l'avis du public paske j'ai un doute".
C'était à cause du Mont Canigou. C'est un nom qui lui disait quelque chose rapport aux croquettes de sa chienne Pépette.
Arrive ensuite Jimmy, étudiant en sciences. Dans le public, il y avait sa maman. Il dit que s'il gagne il va la gâter. La mère levait les yeux au ciel du genre Marthe Villalonga: "Oui c'est ça, vas-y, joue d'abord…" Alors lui, par contre, il a trouvé la réponse à la première question. Il faut dire que c'était: "Par quel cri le public d'une corrida encourage-t-il le torero?"
- Coucou.
- Alléluia.
- Olé.
- Bingo.
Au soupir que sa mère a poussé, on a compris qu'elle doutait de son fils. Et la question suivante justifia ses craintes: "En musique, le signe placé en début de portée pour donner le ton, est :"
- La clé.
- La molette.
- Le clou.
- Le marteau.
Jimmy : "Ah ben, j'vois pas du tout…un clou d'sol…une molette de fa…". Foucault était carrément en colère! Il se met à gueuler, mais en l'appelant par le prénom de sa mère: "Mais réfléchissez un peu Dominique! Vous n'allez pas gâcher un joker!" La mère dans le public: "Mais j'ai rien dit moi!" Le candidat à Foucault: "Moi c'est Jimmy".
La question suivante ne fut pas plus facile: "Créé en 1968, le MLF est le Mouvement de Libération:"
- Des femmes.
- Des fleuristes.
- Des fonctionnaires.
- De la famille.
Vous vous en doutez, il hésitait entre les fleuristes et les fonctionnaires. Sa mère était effondrée, des gens l'aéraient avec des mouchoirs, mais la pauvre n'avait pas encore tout vu. La question d'après était la suivante: "Des cheveux grisonnants sont:"
- Charbon et neige.
- Jour et nuit.
- Café et lait.
- Poivre et sel.
Là, le candidat n'a pas hésité une seconde : "Des cheveux grisonnants sont des cheveux charbon et neige." Sa mère avait la main sur sa bouche pour ne pas hurler, les yeux exorbités. Foucault, au bord des larmes: "Mais attendez, est-ce qu'on dit de quelqu'un qui a les cheveux grisonnants : Tiens, il a les cheveux charbon et neige?" Le type, enfin saisi d'un doute, "Bon, je vais prendre un joker". Je vais appeler Stéphane, un ami". Quand Foucault lui a demandé: "Que fait votre ami?", l'autre a répondu: "Il travaille".
Pour finir, un adjudant retraité de la gendarmerie (52 ans donc) devait répondre à la question suivante: "Lequel de ces écrivains n'était pas un surréaliste?"
- Mauriac
- Aragon
- Éluard.
- Breton
Évidemment il ne savait pas. Il croyait qu'André Breton c'était le mec qui donnait la météo sur RTL. Alors Foucault lui dit:
- Ben téléphonez à un ami qui aime la lecture.
- Ben ça va être difficile…C'est-à-dire qu'ils sont tous gendarmes…
Ce qui est sûr, c'est que samedi soir, Mauriac n'était peut-être pas un surréaliste, mais l'émission "Qui veut gagner des millions?" atteignait, elle, les sommets du surréalisme.
QUATRE PETITS
PLUS PROCHES DE NOUS.
#quiperdgagne : Jean-François Copé et François Fillon.
Aux élections de 2012, pour la présidence de l'UMP, les deux hommes s'affrontent. Parti de très bas dans les sondages, Copé remonte peu à peu la pente. Il la remonte tellement qu'il se persuade d'avoir dépassé l'ancien Premier Ministre. Le soir des résultats, farce sans précédent au siège du parti: chacun déclare avoir gagné. Fillon semble l'avoir effectivement emporté, mais Copé n'est pas prêt à laisser la place. Un rien culotté, il revendique la victoire alors qu'il sait très bien ne pas la tenir. Y'a qu'à serrer les fesses et foncer dans le tas, on verra bien. C'est tout vu: chaos, menaces, hystérie généralisée. Ou comment ne jamais perdre: en trichant. Coup de pu*te "ça-se-tente-et-en-plus-ça-marche". Ça rappellera quelques souvenirs à gauche.
#sansrancune : Arnaud Montebourg, Ségolène Royal et François Hollande.
En 2007, Ségolène Royal représente le PS aux élections présidentielles. La candidate a choisi Arnaud Montebourg comme porte-parole. Sauf qu'il ne porte pas vraiment la bonne parole lorsqu'il balance sur le plateau du "Grand journal" de Canal+: "Ségolène n'a qu'un défaut, c'est son compagnon". Alias François Hollande, alias le premier secrétaire du parti, alias un compagnon de lutte, alias ton futur ex-boss. Coup de pu*te "contre-son-camp".
#phobiepayer : Thomas Thévenoud.
Modeste héritier de Jérôme Cahuzac qu'il fustigea pourtant lorsqu'il était membre de la Commission des Finances de l'Assemblée Nationale, Thomas Thévenoud connut aussi la carrière ministérielle la plus courte de la Vème République. Nommé secrétaire d'état en août 2014, il démissionne (presque) aussitôt: ayant régulièrement omis de payer ses impôts, car atteint de "phobie administrative", selon ses dires, il est parvenu à concurrencer l'ex-ministre du budget en terme de foutage de gueule. On espère que signer sa lette de dem' ne fut pas trop douloureux. Coup de pu*te "tu-bluffes-Martoni".
#pasconcommeidée : Marc Zuckerberg.
Son nom est aussi connu que celui de Bill Gates, et pour cause: "fondateur" de Facebook, il est une des plus grandes fortunes mondiales. Sauf que le jeune prodige de Harvard aurait en réalité piqué l'idée à deux de ses camarades de fac: Cameron et Tyler Winklevoss, peut-être un peu longs à la détente, il faut bien le dire. Allez les gars, haut les cœurs: c'est pas comme si Facebook était un succès. Y'a qu'à voir, qui l'utilise encore? Coup de pu*te "t-as-pensé-au-suicide?"
