Bonjour 
Nous sommes ravis de vous accueillir en ce lieu hospitalier. Loin de nous l'idée de voler la vedette à votre médecin traitant ; nous souhaitons simplement vous faire bénéficier de notre savoir en médecine naturelle en vous proposant des cocktails détonants. Si vous êtes déprimé, voire dépressif, nous vous mettons du baume au coeur avec psychologie. Je revêts ma blouse de pharmacien expérimenté, tandis que Serpentlaineux consulte l'oracle afin de mieux adapter nos prescriptions. Notre domaine de compétences est vaste : de la blessure superficielle de bisounours à la chélation par injection intraveineuse. N'ayez crainte, tout va bien se passer. Peut-être que vous aussi, sans le savoir ou en le sachant, vous possédez quelques ingrédients qui soignent les maux du corps et/ou de l'âme. N'hésitez pas à nous en faire part.
@bisounours.chance a écrit :
"Touhez po à mes z'amis gastéropodes où il faudra me passer sur le corps"
Bonjour ici
Entièrement d'accord Bisounours et pour commencer demandons l'interdiction de la culture du persil !!!
@bisounours.chance a écrit :Bonzour
Pardon !
Ze constate avec dépit et ze ne sais plus trop quoi d'autre que votre clientèle est très coquine
De nos zours, les femmes peuvent tout se permettre sur le plan... enfin vous voyez ce que z'insinue
Non, mais alors là... il y a une explication. Les 2 personnes dont au sujet de qui tu fais allusion sortaient d'une soirée très prolongée dans notre annexe derrière la pharmacie...
... effet relaxant... stimulant... levée de l'inhibition
Ah ça, je ne peux rien dire, je ne m'immisce pas dans la vie privée des clients... et puis c'est Aksel qui gère le MCC
C'est bien l'herboristerie... on y accède par la petite rue derrière
Bonzour
Comme ze repassais par là vraiment par hasard Z'ai vu que z'avais fait une faute 
ze m'en veux, ze m'en veux, ze m'en veux 
- primo Ze rectifie ma faute "touchez po aux gastéropodes" Ouf ! Maintenant ze suis soulagé
- deuxio Toutes ces femmes 
autour d'Aksel, c'est trop, trop, trop, elles vont lui faire tourner la tête comme Edith Piaf
- tertio quand tu parles de "bel outil" @nareio, qu'insinues-tu turlututu chapeau pointu ?
Coucou la Serpentinounette 
@nareio a écrit :
A Monsieur axel, directeur de la société
Non,non,la commande discrète n'était pas pour diablo.Je n'y avais pas pensé.C'est pour Monsieur Donatien, un ancien voisin de Batistin que j'ai embauché pour m'aider au standard,avec tout ces fils,on s'y perd,et la communication risque de rester sur le carreau
Et non,non plus, je n'avais pas repéré la fontaine,j'en avais entendu parler , mais je croyais que c'était une fable,.Sauf qu' avec l'image,j'aurais plutôt cru une espèce de stupa dégoulinant.Encore de la médecine ayureva,hein?? Et vous ouvrez un rayon? Ou bien c'est juste pour la pub?
Cdt.
Chère cliente @nareio,
Tout d'abord, je suis d'origine scandinave côté père, par conséquent "Aksel" prend un "k". Je n'ai rien contre le "x" au contraire, mais avec un boulot de nuit, une relation amoureuse normale est difficilement envisageable. Je suis nullement directeur car j'ai un vrai problème avec l'autorité, d'ailleurs mon chef en a ras-le-bol. A la rigueur, je lui aurais volontiers offert ton cadeau. Quant à Baptistin, c'était le grand ami d'Emile Zola qui lui a inspiré L. Dubuche. Voici un extrait d'une lettre que l'écrivain lui a adressée
Révélation
"Veuille le ciel que je reste toujours fou"
Mon cher ami,
[…]
Tu me parles justement de l’idéal et de la réalité, et tu me proposes de recommencer notre ancienne discussion sur ce sujet, seulement en changeant les positions, toi devenant l’idéaliste et moi le réaliste. Une telle idée ne saurait me plaire ; j’ai écrit selon ma façon de voir et, si je m’examine, je ne trouve aucun changement dans ma pensée. Je me mentirais à moi-même si je t’adressais à cette heure les lettres que tu m’as adressées anciennement. Je ne puis devenir réaliste dans le sens que tu donnais à ce mot et, me faisant une loi des nécessités matérielles, étouffer tous les nobles élans de la créature. Mais comme je ne cessais de te le répéter, je me suis souvent heurté à la réalité ; je la connais et, si tu le désires, je puis te la montrer, quitte à te parler ensuite du ciel et à te découvrir une établie dans chaque bourbier que je sonderai. Ce qui m’irritait profondément autrefois était cette persistance de ta part à ne pas vouloir comprendre ma philosophie. J’avais beau te crier : « La réalité est triste, la réalité est hideuse ; voilons-là donc sous des fleurs ; n’ayons de commerce avec elle qu’autant que notre misérable humanité l’exige ; mangeons, buvons, satisfaisons tous nos appétits brutaux, mais que l’âme ait sa part, que le rêve embellisse nos heures de loisir. » Tu me répondais invariablement que je me perdais aux nues, que je ne voyais pas ce qui m’aveuglait. Ne pas voir, bon Dieu ! Je détourne les yeux du fumier pour les porter sur les roses, non pas je nie l’utilité du fumier qui fait éclore mes belles fleurs, mais parce que je préfère les roses, si peu utiles pourtant. Tel je me montre à l’égard de la réalité et de l’idéal. J’accepte l’une comme nécessaire, je m’y soumets selon la nature ; mais dès que je puis m’échapper dans cette ornière commune, je cours à l’autre et je m’égare dans mes prairies bien-aimées.
[…]
Mon cher ami,
[…]
Tu me parles justement de l’idéal et de la réalité, et tu me proposes de recommencer notre ancienne discussion sur ce sujet, seulement en changeant les positions, toi devenant l’idéaliste et moi le réaliste. Une telle idée ne saurait me plaire ; j’ai écrit selon ma façon de voir et, si je m’examine, je ne trouve aucun changement dans ma pensée. Je me mentirais à moi-même si je t’adressais à cette heure les lettres que tu m’as adressées anciennement. Je ne puis devenir réaliste dans le sens que tu donnais à ce mot et, me faisant une loi des nécessités matérielles, étouffer tous les nobles élans de la créature. Mais comme je ne cessais de te le répéter, je me suis souvent heurté à la réalité ; je la connais et, si tu le désires, je puis te la montrer, quitte à te parler ensuite du ciel et à te découvrir une établie dans chaque bourbier que je sonderai. Ce qui m’irritait profondément autrefois était cette persistance de ta part à ne pas vouloir comprendre ma philosophie. J’avais beau te crier : « La réalité est triste, la réalité est hideuse ; voilons-là donc sous des fleurs ; n’ayons de commerce avec elle qu’autant que notre misérable humanité l’exige ; mangeons, buvons, satisfaisons tous nos appétits brutaux, mais que l’âme ait sa part, que le rêve embellisse nos heures de loisir. » Tu me répondais invariablement que je me perdais aux nues, que je ne voyais pas ce qui m’aveuglait. Ne pas voir, bon Dieu ! Je détourne les yeux du fumier pour les porter sur les roses, non pas je nie l’utilité du fumier qui fait éclore mes belles fleurs, mais parce que je préfère les roses, si peu utiles pourtant. Tel je me montre à l’égard de la réalité et de l’idéal. J’accepte l’une comme nécessaire, je m’y soumets selon la nature ; mais dès que je puis m’échapper dans cette ornière commune, je cours à l’autre et je m’égare dans mes prairies bien-aimées.
[…]
Voir la fontaine plutôt en fable qu'en édifice est une vision hallucinogène au sortir du M.C.C. Il n'y a pas de stūpa stupéfiant, ni pub ; on a pas le budget pour. Tiens ! A propos de budget, vous avez vu que E. Macron avait dépensé 26 000 euros en maquillage en 3 mois seulement. Qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour arranger les thons ! Entre l'idéal et la réalité, c'est vrai qu'il n'y a pas photo :
